La prescription politique et médiatique de l’obligation
vaccinale a conduit à la suspension de plusieurs professionnels de santé ainsi
que d’autres professionnels relevant d’autres professions. C’est un fait de
société qui trouve sa source dans la divergence d’interprétation des normes
médicale, pharmaceutique et juridique notamment. Incontestablement, un tel
sujet relève de la pharmacologie sociale dont une introduction vous est
proposée dans l’article publié, le 7 juin 2020, dans le journal Le Point.
Ce vendredi 17 septembre 2021 consacre mon deuxième
jour de suspension automatique. Ma rémunération est interrompue depuis deux
jours. Et, je suis interdit de tout travail rémunéré. Je continue donc de vous
proposer des réflexions à titre gratuit et à distance.
D’abord, j’aimerais vous remercier infiniment pour
les très nombreux messages de soutien et de générosité que j’ai reçus en
provenance de différents territoires français, et sous diverses formes aussi
touchantes les unes que les autres ; dont certaines vont même jusqu’à s’inquiéter
de ma situation financière.
Afin de ne pas rompre le lien, fort, qui,
désormais, unit le CTIAP à ses lecteurs, il semble utile de suivre l’évolution
des événements. D’où l’instauration de ce « Journal d’un condamné, sans procès équitable, à la peine
capitale psychologique » en
référence à l’image que j’ai proposée dans ma réponse, en date du 15
septembre 2021, au courrier du directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) du centre
hospitalier de Cholet en date du 14 septembre 2021.
Et surtout, cette idée cherche à continuer de
donner de l’espoir à plusieurs de mes collègues, quelle que soit leur
profession, qui m’ont témoigné leur grande souffrance en pareilles
circonstances.
Aujourd’hui, j’ai quelques nouvelles à porter à
votre connaissance.
Sur la chaîne de télévision CNEWS, Madame le docteur Brigitte MILHAU avoue ce que le
CTIAP vous disait avant même la mise sur le marché des vaccins contre la
Covid-19
Sur cette chaîne, ce médecin admet enfin : « À ceux qui disent effectivement que le
vaccin est toujours en phase d’expérimentation, oui vous avez raison, il est
toujours en phase d’expérimentation ».
Elle précise : « Je vous rappelle tout de même que le vaccin Moderna à ARN
est en phase d’expérimentation jusqu’en octobre 2022 ; et le Pfizer sera
toujours en phase d’expérimentation jusqu’au 2 mai 2023. Donc oui, on en a pour
un moment ».
Mais, elle tente de justifier, ce qui a été jusqu’à
présent caché à la population, par un argument irrecevable. Elle affirme que c’est
« pour de bonnes raisons :
c’est sérieux et c’est pour votre sécurité ». Une justification qui signe, presque mécaniquement, la négation du
consentement libre et éclairé ; qui est, pourtant, mis au rang des libertés fondamentales et relié à
la dignité de la personne humaine. Cette justification est d’autant plus irrecevable
que ce consentement est renforcé lors d’une telle « expérimentation »
impliquant des personnes humaines : des milliards de personnes.
Sur l’une des agences de presse du Gouvernement, un
médecin contredit donc Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé notamment.
Alors, si c’est CNEWS qui le dit, je pourrais être rassuré : désormais,
les données acquises de la science se dictant sur les plateaux de télévision.
L’un des articles du CTIAP publié, le 5 juillet 2021 sous le titre « Vaccins
contre la Covid-19. Le consentement libre et éclairé : « un frein à l’expérimentation
médicale », « un obstacle à l’obligation vaccinale » (par
Philippe SÉGUR, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan », mérite une nouvelle lecture.
Dès le 12 novembre 2020, le CTIAP vous alertait :
« Vaccin contre la Covid-19 :
ce que la population devrait savoir ».
Mais, le CTIAP a été la cible de plusieurs attaques ;
telles que celle formulée par l’Agence France Presse (AFP) – Factuel et par l’AFP.
Mais, désormais, l’AFP semble s’intéresser aux articles du CTIAP.
Une journaliste de l’Agence France Presse (AFP) m’écrit
Je suis surpris de découvrir la correspondance qui
m’est adressée par une journaliste de l’AFP ; alors que je suis désormais
suspendu. Elle semble s’intéresser aux articles du CTIAP et sollicite des
informations sur l’un des articles.
Ce qui m’a permis de lui adresser la réponse
suivante :
« Bonjour Madame,
Je vous remercie pour votre message (…) et de
l’intérêt que vous semblez porter aux articles du CTIAP.
Je ne refuse pas de vous livrer les
informations sollicitées.
Mais, au préalable, je souhaite savoir
pourquoi l’AFP-Factuel avait publié un article concernant le CTIAP et me
concernant ; alors même que je n’ai jamais été contacté, ni même informé
de la parution dudit article. De même, ma réponse contradictoire, en
date du 8 mai 2021, n’a suscité, non plus, aucun intérêt de la part de l’AFP-Factuel
et de l’AFP.
Serait-il possible de voir l’AFP rectifier ce
que je peux, encore, considérer comme une erreur ?
Dans l’attente de votre réponse,
Bien à vous,
(…). »
Le directeur, Monsieur Pierre VOLLOT, m’écrit, lui
aussi, à nouveau. Et plus que ça même...
Deux « courriers RAR [recommandé avec avis de réception] » datés du 15 septembre 2021, jour de ma « suspension », me
sont adressés par Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet ;
le premier me fixe une mission impossible ; le second m’enjoint :
« Aussi,
au titre de mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai
décidé que le blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu
inaccessible au public à effet immédiat »… Alors
qu’il n’a cessé d’affirmer à ce public que ce blog était « mon »
blog « personnel »…
Premier
courrier recommandé
Le premier
courrier m’indique : « (…) je vous informe que vous êtes suspendu
à compter de ce jour, mercredi 15 septembre 2021 (Décision jointe) ».
Il me rappelle :
« Vous avez déjà été informé des conséquences de la décision de suspension,
notamment par courrier du 14 septembre 2021 (…) que la suspension emporte
notamment interdiction d’exercice et privation de toute rémunération ».
Et, il m’« invite
à vous [me] présenter à un entretien, à mon [son] bureau, jeudi 16 septembre
2021 à 10h00, pour (…) [l’]informer du mode de régularisation que vous
avez [j’ai] retenu et faire le point sur votre [ma] situation au regard de l’obligation
vaccinale COVID 19, sauf à ce que vous ayez clarifié votre [ma] position avant
cette date ».
Il m’adresse
donc un courrier en recommandé le 15 septembre 2021 qui,
au mieux, arrivera le 16 septembre 2021 dans la journée ; afin
que je me présente à un « entretien » dès le matin, à 10h00,
de ladite journée du 16 septembre.
Le 17 septembre 2021,
je découvre l’existence de ce courrier en consultant ma boîte e-mail personnelle.
J’y découvre l’e-mail que Pierre VOLLOT m’a adressé le 15 septembre à 14h36.
Dans cet e-mail, il m’indique une chose étrange :
« Docteur,
L’assistante de
direction s’est présentée à votre bureau à 13h20 pour vous remettre en
main propre une décision de suspension (…) Elle a aussi tenté de vous
joindre à 13h51 par téléphone [de mon bureau à l’hôpital].
Du fait de votre
absence,
ce courrier n’a pu être remis en main propre. C’est pourquoi je vous l’adresse
par messagerie électronique en pièce jointe, que vous recevrez par ailleurs par
voie postale avec accusé de réception.
(…). »
« Du fait de
votre [mon] absence » ?
Je croyais que j’étais
« automatiquement interdit d’exercer votre [mon] activité » et
que cette « suspension emporte interdiction (…) de vous [me] rendre sur
votre [mon] lieu de travail » comme cela m’a été enjoint par le même
Pierre VOLLOT dans son courrier en date du 14 septembre 2021 et auquel il
renvoie dans son courrier du 15 septembre 2021.
Si vraiment Pierre
VOLLOT voulait me joindre par « téléphone », pourquoi ne m’a-t-il
pas appelé sur mon portable personnel ? Comme il m’a adressé un e-mail sur
ma boîte personnelle.
Ce 15 septembre 2021,
deux heures après, soit à 16h36, Pierre VOLLOT m’adresse également un second
e-mail.
Second courrier
recommandé
Et donc à 16h36,
le directeur m’adresse ce second e-mail :
« Docteur,
Je vous prie de
trouver ci-joint copie du courrier qui vous a été adressé ce jour par voie
postale.
(…). »
L’« Objet »
de ce courrier indique : « Dysfonctionnement CTIAP ».
Dans ce courrier,
Pierre VOLLOT soutient :
« Docteur,
De nombreux dysfonctionnements
m’ont récemment été signalés concernant le contenu du blog (…) [lien vers le
CTIAP] du Centre hospitalier de Cholet.
Ainsi, les articles
les plus récents de ce blog ne correspondent absolument pas à la communication
définie originellement pour le CTIAP et, en particulier, présentent un
caractère insuffisamment informatif sur le plan scientifique (voire ne
contiennent strictement aucun avis de nature pharmaceutique) et ont un contenu
clairement polémique.
Certains articles usent
de termes outranciers et irrespectueux qui sont totalement inadaptés à la
communication informative d’un établissement public de santé.
De plus, plusieurs
articles remettent gravement en cause la politique et l’action des pouvoirs
publics en matière de lutte contre la pandémie de la COVID 19 et vont même
jusqu’à contester la loi relative à l’obligation vaccinale contre la COVID 19
(loi du 5 août 2021) et à recommander aux personnels de contester son application.
D’autres articles
font état de différends personnels et internes de leur auteur avec la Direction
de l’établissement et de critiques vives à l’encontre de la note de service
transmise au personnel et relative à la mise en œuvre de l’obligation vaccinale
au Centre hospitalier de Cholet.
De tels articles du
blog (…) [lien vers le CTIAP] portent atteinte à l’image et à la réputation du
Centre hospitalier de CHOLET et de ses soignants (tant en interne auprès des
patients et du personnel qu’au-delà de l’établissement notamment auprès des
pouvoirs publics et des professionnels de la santé).
D’ailleurs, ces
articles publiés au nom du CTIAP impliquent l’établissement et ses soignants
dans la polémique relative à la vaccination contre la COVID-19, et donnent même
largement l’impression que l’établissement et son personnel sont opposés aux
actions décidées et mises en œuvre actuellement par les pouvoirs publics pour
lutter contre la pandémie notamment par la vaccination.
Cette situation s’est
particulièrement aggravée depuis un mois et doit cesser immédiatement.
Aussi, au titre de
mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai décidé que le
blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu inaccessible au
public à effet immédiat.
En parallèle, je
charge la direction de la communication en lien avec le service informatique de
réfléchir aux modalités pratiques et techniques de l’hébergement d’une
communication numérique adaptée aux missions du CTIAP.
En conséquence, je
vous prie de bien vouloir immédiatement :
-
mettre hors ligne le blog (…) [lien vers le CTIAP] pour
rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet,
-
remettre à la direction de la communication et au service
informatique les codes d’accès et d’administration du blog (…) [lien vers le
CTIAP] et les informations techniques utiles pour son administration au nom du
centre hospitalier,
-
remettre à Madame (…) directrice adjointe chargée de la
communication et Monsieur (…), responsable du service informatique la liste et
le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament
répondant à la mission du CTIAP.
A ce sujet, avec les
représentants de la CME [commission médicale d’établissement] nous aurons très
prochainement l’occasion de nous réunir avec vous, pour mettre à plat le
fonctionnement du CTIAP et notamment préciser ses modalités de communication.
Pour conclure, je
vous invite à me faire des propositions adaptées concernant la communication du
CTIAP.
Je vous prie d’agréer,
Docteur, l’expression de mes salutations distinguées.
Le Directeur,
Pierre VOLLOT. »
Que dire ?
Souvenez-vous…
Le directeur, Monsieur
Pierre VOLLOT, me suspend, me prive de ma rémunération, m’interdit toute autre
activité rémunérée. Mais, il me donne des tâches à accomplir.
Je ne m’attendais pas
à une telle prose. Car, le 6 août 2021, alors que j’étais en congés annuels,
Pierre VOLLOT m’a menacé de « sanctions disciplinaires »
et de « poursuites pénales » en me dénonçant, de façon
injustifiée, au CNG (centre national de gestion des praticiens hospitaliers
et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière) qui est l’autorité
investie du pouvoir de sanction des praticiens hospitaliers et des directeurs.
Et le 13-14 août
2021, le journal Le Courrier de l’Ouest est venu s’associer au lynchage public ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable.
Dès le 28 juillet
2021, le journal FranceSoir publie un article sous le titre « L’Hôpital
de Cholet prive ses visiteurs d’accès au service de pharmacovigilance et CTIAP puis
modifie ».
Le 12 août 2021, FranceSoir
publie un nouvel article intitulé : « Le Dr Amine Umlil,
pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction ».
Désormais, Pierre
VOLLOT avoue que le CTIAP et son blog font bien partie intégrante du centre
hospitalier de Cholet : « (...) concernant le contenu du blog (…) [lien vers le
CTIAP] du Centre hospitalier de Cholet ».
Alors que depuis le
mois d’avril 2021, il n’a cessé de soutenir publiquement, sur notamment le réseau
social Twitter, que le blog du CTIAP était « mon »
blog « personnel » qui n’avait aucun rapport avec l’hôpital de
Cholet ; en me livrant aux insultes et aux injures de mes détracteurs sur
ce réseau social.
Manifestement, ma
réponse circonstanciée en date du 23 août 2021, accompagnée de ses pièces
jointes, que j’ai adressée notamment audit CNG et au Procureur de la République
s’avère totalement fondée ; laissant, à nouveau, mon détracteur (Pierre
VOLLOT) sans issue.
Alors, il récidive
autrement, avec les mêmes reproches qui ne citent aucun fait précis et qui se
contentent de nourrir une appréciation d’ordre général. Des griefs qui sont
totalement infondés et qui pourraient être qualifiés de projection.
Il tente donc de m’intimider
à nouveau avec son soi-disant « pouvoir d’organisation du service ».
Son but est clair : priver les lecteurs du CTIAP d’une information,
claire, loyale, appropriée et indépendante ; et par conséquent, les priver
d’un droit qui conditionne la validité de leur consentement libre et éclairé
dans le cadre de l’actuelle vaccination contre la Covid-19 : « Aussi,
au titre de mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai
décidé que le blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu
inaccessible au public à effet immédiat ».
Son but est très
clair. Il veut empêcher le CTIAP de révéler les informations inexactes et les
contradictions, desdits pouvoirs publics, qui ont été diffusées auprès de la population : « De plus, plusieurs
articles remettent gravement en cause la politique et l’action des pouvoirs
publics en matière de lutte contre la pandémie de la COVID 19 ».
Monsieur Pierre
VOLLOT ne semble toujours pas avoir compris qu’il n’y a rien de plus puissant
qu’une idée venue à maturité. Et cette idée siège dans mon respect et ma
fidélité, absolus, au Serment de Galien notamment. Et que ʺsonʺ pouvoir
cède face à mon indépendance professionnelle qui est là non pas pour mon
confort personnel, mais pour « la protection du public ». Il s’agit
de protéger les personnes humaines dont la vie et l’intégrité physique et
morale peuvent être menacées par des choix faits par des Administrations
publiques, notamment. Et mes affirmations sont extraites de notamment les écritures
de l’Ordre national des pharmaciens. Mon indépendance professionnelle est
non négociable.
Il est stupéfiant de
voir un directeur administratif s’ériger en juge du pharmacien : « Ainsi,
les articles les plus récents de ce blog ne correspondent absolument pas à la
communication définie originellement pour le CTIAP et, en particulier,
présentent un caractère insuffisamment informatif sur le plan scientifique
(voire ne contiennent strictement aucun avis de nature pharmaceutique) et ont un
contenu clairement polémique ».
Il me demande donc de
confier la gestion de ce qu’il qualifiait de « mon » blog « personnel »
à la « directrice adjointe chargée de la communication et Monsieur (…),
responsable du service informatique ».
En réalité, et sauf
évolution que j’ignore, cette « directrice adjointe chargée de la
communication » est une « cadre faisant fonction de directrice
adjointe ». Dès son arrivée au centre hospitalier de Cholet, elle a
pris l’initiative de vider de sa substance le site intranet de l’hôpital dont
je suis le concepteur au niveau fonctionnel et que j’ai créé pour la
coordination des vigilances sanitaires ; l'une de mes autres responsabilités. Comme tous
les autres dossiers qui m’ont été confiés, ce site intranet avait apporté à l’établissement
le maximum de points lors des visites de certification menées par les experts
de la Haute autorité de santé (HAS). Mais, désormais, ce site intranet nous
livre un proverbe par jour et nous informe sur le repas du jour au self, la
météo, les tournois de pétanque, la fête de la musique, etc. Et, Pierre VOLLOT
me demande de lui « remettre (…) les codes d’accès et d’administration
du blog (…) [lien vers le CTIAP] et les informations techniques utiles pour son
administration au nom du centre hospitalier » ainsi que « la liste et
le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament
répondant à la mission du CTIAP »…
Puis, Monsieur Pierre VOLLOT m'invite à se « réunir » avec les soi-disant « représentants
de la CME [commission médicale d’établissement] (…) pour mettre à plat le
fonctionnement du CTIAP et notamment préciser ses modalités de communication ».
Des ʺreprésentantsʺ élus avec une procédure illégale ; une telle
illégalité est reconnue par Pierre VOLLOT, lui-même, dans ses propres réponses
qu’il m’avait adressées suite à mes nombreuses alertes. Une petite « bande
locale », déguisée en « blouses blanches » et dont
les méthodes pourraient être comparées à celles d’un « système
mafieux » ; comme j’ai pu le soutenir, à plusieurs reprises, auprès des autorités et des juridictions ad hoc notamment.
Et la plus belle
preuve, de ce fonctionnement défectueux et dangereux pour les patients, est celle qui a été révélée par un journaliste du Courrier de l’Ouest ;
et que je résume dans un article publié, le 16 février 2021, sur mon blog personnel,
cette fois, sous le titre : « Retrait du maire de Cholet du
conseil de surveillance du centre hospitalier : lettre ouverte à Monsieur
Gilles BOURDOULEIX, maire de Cholet ».
Le maire, lui-même,
parle de « criminalité ».
Et la présidente de
cette CME a été, selon ledit article du Courrier de l’Ouest, « ficelée
dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui
lui ont « mis un drap sur la tête »… avant d’être expédiée,
le « 31 mars » 2020, vers « l’hôpital Saint-Jacques du
CHU de Nantes » : un hôpital psychiatrique. Au moment de
ces faits, et en pleine crise liée à la Covid-19, il me semble que ce médecin
était également le chef de service de réanimation… Selon le Courrier
de l’Ouest, ce médecin « a porté plainte (…) pour faux, usage de
faux et séquestration ».
Cette même « bande
locale » qui a géré la vaccination contre la Covid-19…et dont le « chef » me propose une réunion avec elle...
Et le directeur,
Pierre VOLLOT, qui vient de me propulser dans une situation inédite, m’écrit :
« nous aurons très prochainement l’occasion de nous réunir
avec vous ».
Je ne serais plus le
pestiféré qu’il vient de jeter dans les oubliettes pour une durée indéterminée ;
sans procès équitable, ni même un entretien préalable ?
Ce jour, le directeur Pierre VOLLOT a aussi donné l’ordre
au service informatique de l’hôpital de bloquer mon accès informatique à mes
dossiers professionnels, à mes messageries professionnelles (dont celle du
CTIAP) que je pouvais consulter à distance
Ce soir, vers 21h, je
souhaitais consulter mes e-mails. Sans succès. Je contacte alors l’astreinte du
service informatique. L’informaticien m’indique :
« Bonsoir Dr
Umlil,
Suite à votre appel à
l’astreinte informatique du CH, je vous confirme que nous avons eu pour consigne
d’inactiver votre accès au SIH [système d’information hospitalier].
Nous attendons donc
la consigne inverse de la part de la direction pour le réactiver.
Cordialement.
(…). »
J’ignorais que l’accès
à distance à mes dossiers et à mes messageries professionnelles, dont celle du
CTIAP, pouvait représenter un risque pour la santé des personnes. Pierre VOLLOT en supportera la totale et l'entière responsabilité en cas de non-traitement d'un dossier ou d'une alerte urgents.
Donc, je ne peux
plus lire vos e-mails que vous m’adressez notamment à l’adresse mise à votre
disposition sur le site du CTIAP (elle aussi est suspendue, et sans préavis) : ctiap@ch-cholet.fr
Il y a quelques années, Pierre VOLLOT m'avait supprimé le même accès au système informatique, à trois reprises...
En réalité, et comme
je l’ai indiqué à Pierre VOLLOT dans ma réponse en date du 15 septembre
2021, il profite de cette occasion (de l'obligation vaccinale contre la Covid-19) pour régler ses comptes personnels en m'infligeant de véritables sanctions et en toute impunité... pour l'instant.
La violence de ces
deux courriers recommandés, et de cette interdiction inattendue à l’accès au
système informatique, a été atténuée par la réception de deux magnifiques
cartes postales, manuscrites, envoyées par des lecteurs du CTIAP.
Deux douceurs : l’une venue de la Cité de
Carcassonne ; l’autre de l’île de la Réunion
« Cher Monsieur,
De très nombreuses
personnes vous soutiennent dans votre combat contre la non science. Nous
sommes contre cette absurdité d’obligation ʺvaccinaleʺ pour les médecins, infirmiers,
aides-soignants, etc. Courage !
M. Umlil, Tenez bon. »
Message
du Sud… CITÉ DE CARCASSONNE
« Un arbre
endémique de l’île de la Réunion pour vous.
Le bois de joli cœur.
Un grand MERCI et
BRAVO pour vos travaux et leurs partages, votre engagement et ténacité à vous
et à votre équipe, de tout cœur, merci,
Raphaële. »
Un grand merci à vous !
Gardons espoir.
Et à bientôt.