« Absence d’enquête
de terrain, « people-isation », perte de neutralité au profit d’un
genre de militantisme, enquête à charge, dépendance totale envers la
communication des agences gouvernementales et des industries, le journalisme
tel que défini il y a 50 ans dans la Déclaration de Munich est en train de
disparaître sous nos yeux, éclipsé par un « fact-checking » général
aussi superficiel que biaisé. »
« La crise sanitaire a révélé l'inquiétant déclin du journalisme », le 15 juillet 2021
Laurent MUCCHIELLI
Sociologue, directeur
de recherches au CNRS
Le samedi 14 août 2021, je découvre l’article
publié (ce même jour) par le journal le Courrier de l’Ouest (cf. pièce jointe) intitulé « Amine Umlil de
nouveau en conflit avec l’hôpital » ; avec un sous-titre : « Dans une lettre
ouverte, le pharmacien Amine Umlil se dit menacé de sanctions disciplinaires.
Lui seraient reprochés ses multiples propos anti-vaccin ». La version internet de cet
article, elle, est parue la veille (vendredi 13 août 2021).
« (…) se dit » ?
Pourtant, le courrier du directeur
(Monsieur Pierre VOLLOT) du centre hospitalier de Cholet est reproduit
dans ladite lettre ouverte qui a été publiée, le 10 août 2021, sur le
site du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis
pharmaceutiques) du même centre hospitalier de Cholet. Un courrier que le
journaliste, Monsieur Alexandre BLAISE, omet de mentionner.
« (…) ses
multiples propos anti-vaccin » ?
Cette affirmation imprécise ne peut
que nourrir une appréciation d’ordre général. Pourtant, le courrier du
directeur, lui, mentionne : « vives critiques à l’égard de la politique de santé
publique du gouvernement » ; « critiques violente de la politique de santé publique
gouvernementale, incitations à l’indiscipline collective notamment ». En aucun moment, la direction
du centre hospitalier de Cholet ne fait mention desdits « multiples
propos anti-vaccin ».
Alexandre BLAISE a omis de
signaler que l’un de mes avocats a invité le directeur « à formuler, de
façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et
concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ». D’ailleurs, Pierre VOLLOT a
répondu à mon avocat : il n'a formulé aucun grief envers ces analyses.
Une telle déformation des faits, malgré
les écrits disponibles, ne peut qu’interroger sur les intentions de cet article du Courrier de l'Ouest ; voire sur la compétence de son auteur.
Cet article du 14 août 2021 utilise une photo (de moi) prise, le « 11 mars 2021 » par l’un des autres journalistes (Monsieur Yves BOITEAU) exerçant dans ce même journal, pour un thème bien précis. Mais, sous cette photo, Alexandre BLAISE, lui, note ceci : « Le Dr Amine Umlil n’en est pas à son premier conflit avec son employeur ». Une nouvelle insinuation qui laisserait entendre que je serais à l’origine de ces conflits, que « j’aimerais ça »… et en présentant les procédures auprès des juridictions compétentes de façon incomplète… Par exemple, il affirme : « Dès 2014, la Cour de cassation a rejeté le pourvoi d’Amine Umlil, mettant un point final au conflit ». Manifestement, soit il ne connaît pas le dossier, soit il est de mauvaise foi ; dans les deux cas, cela semble inquiétant. J’invite Alexandre BLAISE à relire les anciennes publications du Courrier de l’Ouest et d’Ouest-France notamment ; ainsi que, par exemple, les articles du 16 janvier 2021 et du 12 mars 2017 qui ont été publiés sur mon blog (« personnel » intitulé « Analyse citoyenne indépendante » ; il est aussi bien connu du Courrier de l’Ouest et de toutes les autorités ad hoc).
N.B. : Le 7 mai 2013, Yves BOITEAU (actuellement journaliste au Courrier de l’Ouest), et alors qu’il était journaliste à AngersMag en 2013, avait présenté ce conflit d’une autre manière dans le petit article suivant (comme l’avaient fait d’ailleurs les anciens journalistes du Courrier de l’Ouest et d’ Ouest-France) :
La lettre d'Adèle complète cette analyse.
Ladite photo (reprise par Alexandre BLAISE dans cet article du 14 août 2021) a été prise le 11
mars 2021 lors d’un entretien bien précis. En effet, initialement, cette photo était
destinée à l’article qui a été publié sur internet, le 14 mars 2021, par ce
même Courrier de l’Ouest sous le titre : « Covid-19.
Vaccination : un pharmacologue choletais s’oppose à toute obligation
en l’état » ; avec un sous-titre :
« À rebours du
discours sanitaire ambiant, le Dr Amine Umlil, pharmacologue du centre
hospitalier de Cholet, reste réservé sur les conditions de vaccination
actuelles contre le Covid-19. Et s’oppose fermement à l’obligation vaccinale
pour les soignants. Entretien ». Sous cette photo, on pouvait lire plutôt ceci : « Cholet, centre
hospitalier, jeudi 11 mars 2021. Le Dr Amine Umlil est le responsable de l’unité
de pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet. »
N.B. : J’ai donné mon autorisation à la première publication
de cette photo pour l’article du 14 mars 2021 (version internet) et du 15
mars 2021 (version papier en pièce jointe) ; en aucun cas pour celui paru le 13 août 2021 (sur
internet) et le 14 août 2021 (version papier en pièce jointe).
Le 15 mars 2021, ce même Courrier de l’Ouest relevait : « Sollicité pour
réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un
soignant acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas
souhaité donner suite à nos demandes ».
Pourquoi Alexandre BLAISE n’a-t-il
pas jugé utile de rappeler cet article de son propre journal paru en mars
2021 ? Sans doute pour pouvoir affirmer ce qu’il vient de publier, ce 14
août 2021, en me qualifiant de « Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19 » ; et non plus à ladite « obligation »
vaccinale…
Monsieur Alexandre BLAISE poursuit :
« Il est aussi
reproché au directeur d’avoir invité Amine Umlil à son devoir de réserve ». Ce journaliste aurait pu relever le fait selon lequel un pharmacien des
hôpitaux, praticien hospitalier, n’est pas un fonctionnaire. Il n’est pas soumis
audit « devoir de
réserve ». Le pharmacien bénéficie d’une
protection de son indépendance professionnelle. Ladite lettre ouverte, citée
par Alexandre BLAISE, le précise clairement : « Cette lettre [de mon avocat] lui rappelle [rappelle
au directeur] également plusieurs textes de loi (au sens large) qui garantissent
une protection de l’indépendance professionnelle du pharmacien hospitalier
notamment. Vous trouverez un extrait de ces textes, ainsi que les directives
de l’Ordre national des pharmaciens, dans l’article publié le 17 février
2021 sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : le pharmacien réduit à un simple distributeur automatique ? ».
J’invite vivement le Courrier de l’Ouest à lire ces textes ainsi que les directives de l’Ordre
national des pharmaciens.
Puis, le Courrier de l’Ouest livre son « jugement » à mon égard : « Le pharmacien est très actif sur son blog et
sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19,
le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a
aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans
journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. Ce qu’ont
notamment soulevé Le Monde, Libération ou FranceCulture ».
Prenons l’exemple de « Libération »… cité par Alexandre BLAISE.
Le 1er mai 2021, le CTIAP
publie un article intitulé « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets
indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des
affirmations « inexactes » (contraires à la « loi »)
diffusées par le journal « Libération – CheckNews » ».
Ce même 1er mai 2021, ledit
journal FranceSoir reprend l’article du CTIAP sous le titre :
« Libération : une désinformation sur les vaccins contraire à la loi qui nécessite rectification ».
Le Courrier de l’Ouest vient donc nous dire que dans ses références, qu’il
considère comme respectables, figure un journal qui diffuse des informations
illégales.
Après ce 1er mai 2021, le
CTIAP subit de nombreuses attaques par un « Chef de service tech @BFMTV » ; par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et par l’« AFP »…
Et maintenant, par le Courrier de l’Ouest... Ce dernier ne peut ignorer, non plus,
mon alerte au Ministère public (Procureur de la République) en date du
11 mai 2021 ; elle est mentionnée dans ladite lettre ouverte citée par Alexandre BLAISE dans son article du 14 août 2021. Pourtant, il évite d’en parler.
Le 8 mai 2021, FranceSoir publie un article ainsi intitulé :
L’AFP épinglée une nouvelle fois pour publication d’informations inexactes sur le vaccin ».
Le Courrier de l’Ouest me reproche de m’exprimer dans les rares médias, comme FranceSoir, qui ont accepté une diversité des analyses portant sur ce thème d’intérêt général. Alors que, ce même Courrier de l’Ouest avait refusé de publier mon droit de réponse à l’un de mes contradicteurs en date du 18 mars 2021 dans lequel je demandais notamment : « Enfin, je demande au Courrier de l’Ouest notamment, de bien vouloir relayer la présente invitation [à un face-à-face télévisé en direct], avec tous ses éléments (en mettant éventuellement un lien vers cette lettre), dans ses colonnes afin que l’intéressé, Monsieur Jean-Michel BEBARRE, puisse en prendre connaissance ».
Le Courrier de l’Ouest semble avoir choisi le camp des médias qui ont
refusé le débat public, contradictoire et utile. Il devrait s’interroger,
sérieusement, sur sa responsabilité suite à sa contribution à la diffusion, auprès du public, d’informations
(sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19) susceptibles d’avoir
vicié le consentement de plusieurs milliers, voire millions, de
personnes. La méthode employée heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens
large) dont celles du Code de la santé publique et celles relatives à la
publicité sur les médicaments notamment.
Cet article du Courrier de l’Ouest est diffusé par Ouest-France (sur internet).
Il y a lieu de rappeler ce que Ouest-France avait publié dès le 30 juillet 2020 ;
il y a donc plus d’un an et avant même la commercialisation des vaccins
contre la Covid-19. Son article s’intitulait : « Pourquoi le futur vaccin contre le coronavirus aura des effets secondaires (et c’est normal) ». Dans cet article, qui méconnaît la
dynamique et l’Histoire de la pharmacovigilance, on peut lire notamment ceci :
« Alors que la
course contre la montre pour trouver un vaccin contre le coronavirus s’intensifie,
des scientifiques américains se sont inquiétés d’un potentiel rejet de la
population. En cause : les fake news qui fleurissent ici et là
sur internet. Alors pour couper l’herbe sous le pied à toute théorie complotiste,
des scientifiques américains ont fait le choix de la prévention : oui, le
vaccin contre le coronavirus aura des effets secondaires [indésirables est le
terme exact] ». Nous invitons les
lecteurs à lire cet article ; et à comparer la liste des effets
indésirables mentionnés dans cet article avec celle que nous connaissons aujourd’hui. Lesdits « fake news » seraient plutôt dans cet article d’Ouest-France.
En pareilles circonstances, qualifier
son contradicteur d’« antivax », de « complotistes »…signe, presque mécaniquement, l’absence d’arguments objectifs et
vérifiables. Faute de pouvoir contredire, avec des preuves sérieuses, les analyses du CTIAP, l'astuce consiste à attaquer son pharmacien responsable ainsi que les médias alternatifs qui lui donne la parole.
Même le Ministre des solidarités et de
la santé, Monsieur Olivier VÉRAN, a avoué, a minima, qu’il fallait entre « 2 à 6 mois d’utilisation » pour espérer repérer un minimum d’effets
indésirables. Mais, le groupe Ouest-France, lui, serait capable de « lire l’avenir » en devinant le futur profil des effets
indésirables des vaccins contre la Covid-19...
Un journaliste est, en principe,
qualifié de « chien de garde de la démocratie » ; et non du « pouvoir ».
Monsieur Alexandre BLAISE aurait pu
rappeler aussi ma réponse circonstanciée au directeur (Pierre VOLLOT) en
date du 10 avril 2021 ; et son complément en date du 4 mai 2021 qui
met à disposition notamment les deux pièces suivantes qui attestent des
affirmations, pour le moins, inexactes de Pierre VOLLOT (ce dernier
continue d’affirmer que le site (blog) du CTIAP n’aurait aucun lien avec l’hôpital
de Cholet et qu'il serait mon blog personnel) :
« Extrait du « Guide
médical » du centre hospitalier de
Cholet ;
« Article d’HOSPIMEDIA
« Le CH [centre hospitalier] crée un centre territorial d’information
indépendante et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] ».
Jusqu’à cet article du 14 août 2021, le
Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avait toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du
CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre
2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment
l’indépendance et la rigueur des analyses proposées. Mes réflexions et alertes ont
été également relayées par des journaux tels que Le Point, Le Monde, Le NouvelObs,
Le Quotidien du Pharmacien, Hospimedia, etc.
Mais, brusquement, les analyses
proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19,
avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax », « complotiste », pourvoyeur de « fausses
informations »…
Puis, cet article du 14 août 2021 se termine ainsi : « Contacté, Amine Umlil n’était pas disponible, hier ». Or, Alexandre BLAISE m’a contacté hier pour un entretien le jour même dans l’« après-midi ». Mais, là encore, il a omis de dire la teneur de nos échanges écrits qui montrent l’engagement pris par le Courrier de l’Ouest :
Alexandre BLAISE
« Bonjour M.
Umlil,
Je suis journaliste au
Courrier de l’Ouest, à la rédaction de Cholet.
Nous avons pu lire, sur le blog du CTIAP, une lettre ouverte [cliquer ici] dans laquelle vous accusez Pierre VOLLOT d’être à l’origine d’une procédure disciplinaire, en s’étant rapproché du CNG.
Seriez-vous disponible
pour en discuter, cet après-midi ? D’avance, merci.
Cordialement,
(…) »
Amine UMLIL
« Bonjour
Monsieur Blaise,
Merci pour votre
message.
Je ne peux pas cet
après-midi.
La semaine prochaine,
si vous pouvez.
Bien à vous,
(…) »
Alexandre BLAISE
« C’est noté. Pour information, nous allons en dire un mot, bref, dans le journal demain [du 14 août 2021].
La semaine prochaine,
vous serez contacté par un ou une de mes collègues.
Bonne fin de semaine.
Cordialement,
(…) »
Et ce « demain » (samedi 14 août
2021), je découvre donc ce « mot, bref »… qui pourrait s’apparenter
à un « règlement de compte » venant au soutien de Monsieur
Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet.
Au moins, maintenant, le positionnement du Courrier
de l’Ouest est clair.
Je suppose donc que l'engagement pris par Alexandre BLAISE ne sera pas respecté. Je ne serais plus « contacté
par un ou une » journaliste du Courrier de l’Ouest ; et qu’il
serait impossible de prétendre à la publication de ce droit de réponse dans ce
même journal.
Cet article du Courrier de l'Ouest, en date du 13 (version informatique) et 14 (version papier) août 2021, ne peut que porter atteinte à mon
honneur et à ma réputation en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien
hospitalier notamment; et de façon injustifiée.
Le 12 août 2021, le journal FranceSoir,
lui, publie un article sous le titre : « Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction ».
Autres lectures (non exhaustives) :
Selon le Courrier de l’Ouest, les auteurs suivants seraient donc des
vilains « antivax », des méchants « complotistes »,
des diffuseurs de « fausses informations »… Ces accusations (fausses)
signent, presque mécaniquement, l’absence d’arguments objectifs et vérifiables…
1. « Laurent Mucchielli dépublié par Mediapart : sa réaction et son article republié : La vaccination Covid à l’épreuve des
faits. Deuxième partie : une mortalité inédite. », FranceSoir, le 4 août 2021
Auteurs :
Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de
recherche au CNRS) ;
Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne
chargée de recherches à l’INSERM) ;
Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférence en
informatique à l’université de Poitiers) ;
Eric MENAT (docteur en médecine, médecin
généraliste) ;
Vincent PAVAN (maître de conférences en
mathématiques à Aix-Marseille Université) ;
Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien
hospitalier, unité de « pharmacovigilance / CTIAP (centre territorial d’information
indépendante er d’avis pharmaceutiques) / Coordination des vigilances
sanitaires » du centre hospitalier de Cholet ».
2. « La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique »,
FranceSoir, le 13 août 2021
Auteurs :
Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de
recherche au CNRS) ;
Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne
chargée de recherches à l’INSERM) ;
Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférence en
informatique à l’université de Poitiers) ;
Eric MENAT (docteur en médecine, médecin
généraliste) ;
Vincent PAVAN (maître de conférences en
mathématiques à Aix-Marseille Université) ;
Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien
hospitalier, unité de « pharmacovigilance / CTIAP (centre territorial d’information
indépendante er d’avis pharmaceutiques) / Coordination des vigilances sanitaires »
du centre hospitalier de Cholet ».
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Membre de l’AFDS (association française de droit
de la santé)
Unité « Pharmacovigilance / Coordination des
vigilances sanitaires / CTIAP »
Centre hospitalier de Cholet
1, rue Marengo
49325 CHOLET Cedex
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
Pièces jointes :
Article du Courrier de l’Ouest en date du 15
mars 2021
Article du Courrier de l’Ouest en date du 14
août 2021
Rares sont les hommes qui osent lever la tête en pleine tempête.
RépondreSupprimerQue la force soit avec vous cher Docteur Amil !
Honte a tous ces collabos criminel , soutien au Docteur Umlil
RépondreSupprimer