Monsieur le Président de la République,
Emmanuel MACRON,
République Française,
Copie adressée à :
Monsieur le Premier ministre,
Jean CASTEX ;
Monsieur le Ministre des
solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN ;
l’Assemblée nationale ;
[au] Sénat ;
la haute autorité de santé
(HAS) ;
l’agence nationale de sécurité
du médicament (ANSM).
« Patere legem quam
fecisti » (respecte la règle que tu as
faite).
« Vaccination.
COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est
que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (Olivier Véran, 9 juillet 2021, 21h08,
sur le réseau social Tweeter).
À nouveau, Monsieur Olivier VÉRAN,
Ministre des solidarités et de la santé, vient donc de récidiver. Sa
communication sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, à
destination du public, heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens
large) ; dont le Code de la santé publique. Il est, pour le moins,
insupportable de voir un Ministre de la santé continuer de tenir des
affirmations inexactes auprès d’un public vulnérable.
C’est donc avec urgence et gravité
que j’ai l’honneur de saisir votre bienveillance en vous adressant la présente
lettre ouverte en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
et juriste (droit de la santé) ; responsable de la pharmacovigilance, de
la coordination des vigilances sanitaires et du CTIAP (centre territorial d’information
indépendante et d’avis pharmaceutiques) au centre hospitalier de Cholet dans
lequel j’exerce depuis 2002.
Et avant tout, cette nouvelle alerte
vous est également transmise en ma qualité de citoyen français.
Depuis plusieurs mois, le CTIAP vous a
proposé ses analyses, documentées et vérifiables sur pièces, concernant notamment
les vaccins contre la Covid-19. Ces preuves émanent des écritures des autorités
ad hoc elles-mêmes telles que l’agence
européenne du médicament (EMA), l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM),
la haute autorité de santé (HAS), le ministère des solidarités et de la santé,
le Conseil d’État, etc. Ces preuves sont disponibles sur le présent site
internet.
Récemment, dans une revue juridique, un
professeur de droit public à l’Université de Perpignan est venu, lui aussi,
confirmer le bien-fondé de ces analyses proposées au public.
Mais, depuis l’attribution des
autorisations de mise sur le marché (AMM) « conditionnelles », temporaires et dont la durée n’excède
pas un an, aux quatre vaccins commercialisés en France, Monsieur le ministre
des solidarités et de la santé a, publiquement et à plusieurs reprises, tenu des
affirmations, pour le moins, inexactes.
Par exemple, récemment et selon des
médias, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait affirmé ceci
: « Parmi les fake
news qu’on entend, il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin
sera encore en cours d’expérimentation. C’est absolument faux, la phase
3 est terminée depuis des mois. Elle est validée. Trois milliards d’injection
ont été validées sur la planète Terre. Les choses se déroulent au mieux. Vous
pouvez y aller, il n’y aucune inquiétude à avoir ».
Avec certitude, le Ministre des
solidarités et de la santé aurait donc affirmé que ledit vaccin n’est plus « en cours d’expérimentation » puisque, selon lui, la « phase 3 » des essais cliniques (menés chez l'Homme) « est terminée
depuis des mois ».
Selon lui, cette phase 3 expérimentale « est validée ».
Il aurait ajouté qu’« il n’y a aucune
inquiétude à avoir »
et inviterait les gens à « y aller ».
Autrement dit, ce vaccin ne présente, selon le Ministre des solidarités et de
la santé, aucun risque d’effets indésirables, notamment graves.
Or, en réalité, même le journal Le Monde constate ceci : « Il est vrai que
les essais de phase 3 sont toujours en cours… En affirmant de manière
catégorique que la phase 3 des essais des vaccins déployés en France est « terminée »,
Olivier Véran se méprend. Contacté par Le Monde, le laboratoire
Pfizer assure bien que son « essai de phase 3 se poursuit ».
Le fabricant, lui-même, met donc en
évidence les affirmations inexactes que le Ministre des solidarités et de la
santé aurait tenues.
Ledit Professeur de droit public, lui
aussi, relève que « la formule « essai clinique » utilisée par l’Agence
européenne est sans équivoque ».
Il soutient : « Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase
expérimentale ne saurait donc faire de doute ». Il affirme qu’il s’agit d’« une
expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la
médecine ».
Mais, Monsieur le ministre des
solidarités et de la santé aurait récidivé en tenant de nouvelles affirmations
inexactes et en usant d’un vocabulaire qui interroge. En s’adressant à des jeunes
dont il aurait tenté d’extirper le consentement, il semble persister dans cette
voie :
« Il ne faut pas
avoir peur de ça, je vous assure. Lisez les revues scientifiques, les choses
comme ça. N’allez pas sur les blogs ou les trucs des rageux qui
vous racontent n’importe quoi. Moi j’entends tout le temps le vaccin : il
est encore en développement, il n’a pas fini sa phase expérimentale. Pardon, c’est
des… c’est vraiment n’importe quoi. On n’a jamais eu quasiment autant de
recul pour un vaccin que celui-ci vu le nombre de vaccinations qu’on a faites. »
Inacceptable. Condamnable. Fautif. Voire répréhensible.
Ces nombreuses « vaccinations
faites » pourraient s’avérer être la
conséquence d’un consentement vicié des personnes.
Si ces affirmations relatées par ces
médias sont exactes, alors l’attitude du Ministre des solidarités et de la
santé ne peut que heurter plusieurs dispositions de la loi (au sens
large) qui encadrent notamment la communication sur le rapport bénéfice/risque
d’un médicament tel que le vaccin.
Or, toute personne a le droit à une
information claire, loyale et appropriée. Cette information conditionne la
validité du consentement libre et éclairé. Ce consentement est une liberté
fondamentale. Heurter l’autonomie de la personne revient à porter atteinte
à la dignité de la personne humaine.
Ne pas pouvoir accéder à cette information
indépendante est la première des pauvretés, des inégalités et des
vulnérabilités.
Les maladies inscrites sur la liste des
maladies à déclaration obligatoire, elles, ne sont soumises à aucun « passe sanitaire ».
Mais, ce « passe sanitaire » est imposé à la Covid-19 ; alors que cette
maladie, elle, n’est pas inscrite sur ladite liste des maladies à déclaration
obligatoire.
Le droit a conduit à la suspension de l’obligation
de la vaccination (contre la grippe) ; alors que ce vaccin bénéficie, lui,
d’une AMM standard.
Mais, Monsieur le Ministre des solidarités et de la
santé menace de rendre la vaccination (contre la Covid-19) obligatoire pour
notamment les « soignants » ; alors que ces vaccins, eux, ne bénéficient
que d’une AMM « conditionnelle », temporaire (dont la durée n’excède pas un an) ;
et dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.
De nombreuses personnes, dont des « soignants »,
ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19. Publiquement, elles
sont devenues, sous vos yeux, la cible de comportements inqualifiables,
potentiellement fautifs et répréhensibles.
Ces personnes ont choisi la prudence eu
égard aux incertitudes et des questions en suspens. Ces personnes ont peur de voir venir notamment des hospitalisations, des séquelles, des malformations congénitales. Elles semblent
percevoir la mort au bout de la seringue remplie de ce vaccin (contre la
Covid-19). C’est si difficile à comprendre ?
Le ressenti d’un patient, de toute
personne, compte. La prise de décision dépend du rapport aux risques de cette
personne. Cette décision est le fruit d’une expérience de vie ; peut-être
d’un parcours accidenté.
Nous savons qu’il est difficile d’établir
la certitude du lien de causalité entre les effets indésirables et tel ou tel
médicament présumé à l’origine de ces dommages corporels. Mais, ne pas pouvoir
établir cette preuve de façon certaine ne signifie pas, nécessairement et
systématiquement, que ce lien de causalité n’existe pas. Le juge civil a d’ailleurs
assoupli sa position sur ce point depuis plusieurs années.
Les décideurs ne devraient pas profiter
de cette incertitude qui jaillit du régime probatoire pour « inciter », « encourager », « contraindre »
les personnes à se vacciner ; pour extirper leur consentement par notamment
le dol ou la violence.
En général, qu’il s’agisse du bénéfice
ou du risque, le doute semble toujours profiter aux produits pharmaceutiques et
à leurs fabricants. Et après, certains semblent étonnés lorsque, quelques
années plus tard, des drames sont constatés.
Mais là, nous sommes face à une
situation inédite dans l’histoire de la médecine, celle d’une expérimentation
vaccinale à grande échelle. Il serait vain et illusoire de vouloir occulter une
telle évidence.
Dans le cadre de la gestion de cette Covid-19,
ce n’est pas la première fois que Monsieur le Ministre des solidarités et de la
santé tient des affirmations inexactes. Il y a lieu de rappeler, en effet et
par exemple, une décision qu’il aurait prise en se fondant sur un article
publié dans une revue ; article qui a été ensuite retiré suite aux critiques
formulées par des personnes qualifiées et indépendantes.
Monsieur le Ministre des solidarités et
de la santé est également Docteur en médecine. À ce titre, il a aussi des
devoirs à respecter ; comme tout médecin ou autre professionnel de santé.
L’attitude de Monsieur le ministre des
solidarités et de la santé est, pour le moins, incompréhensible. Le CTIAP lui a
soumis de nombreux éléments utiles qui auraient pu l’aider dans ses décisions.
Je lui ai adressé des alertes. Je lui ai proposé un face-à-face télévisé, en
direct, afin d’offrir à nos concitoyens un débat public, contradictoire, utile
et de qualité. En vain.
À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse
à mes propositions.
Comme le disent souvent les juges, la
contradiction des motifs équivaut à leur absence. Et l'appréciation des faits relève toujours de la décision souveraine des juges.
Les multiples contradictions de Monsieur
le ministre des solidarités et de la santé, ses nombreuses affirmations inexactes
seraient-elles la matérialisation d’une incompétence, ou l’expression d’une
mauvaise foi, ou le reflet d’un sentiment d’impunité notamment ? Ou tout à la fois ? Ce comportement,
constaté par tout le monde, ne semble pas respectueux des prérogatives de sa charge
et de son honorable fonction. Ce hiatus ne peut que porter atteinte à la
crédibilité des institutions et à la politique de santé publique. Ces
distorsions ne peuvent aboutir qu’au délabrement de la confiance accordée au
système de soins ; elles ne peuvent conduire qu’à l’exacerbation de la
défiance envers les (autres) vaccins qui, eux, ont apporté la preuve d’un rapport
bénéfice/risque favorable.
La communication de Monsieur le
ministre des solidarités et de la santé semble devenir dangereuse.
Face à cette situation, et à leurs
tours, nombreux professionnels de santé - lesdits « soignants » - menacent de démissionner. Et je tiens à vous rassurer, je n’en
fais pas partie ; tout comme je souhaite rappeler que mes réflexions ne
présument pas de ma décision personnelle de se vacciner ou non.
Les établissements de santé ont
davantage besoin de « soignants » que d’un Ministre.
Par ces motifs non exhaustifs, que je
pourrais parfaire, et sous toutes réserves, je ne peux donc que me résoudre à suggérer
à Monsieur le ministre des solidarités et de la santé de tirer toutes les
conséquences utiles de ce constat ; en envisageant, notamment et a minima, de présenter sa démission du
gouvernement ; dans les plus brefs délais eu égard à l’urgence et à la
gravité de la situation.
Je demande sa démission immédiate. Je l’exige.
De même, je suggère à notamment tous
les détenteurs de l’autorité et tous les soi-disant « représentants »
des soignants, qui ont soutenu Monsieur le ministre des solidarités et de la
santé sur ce point, de suivre la même voie.
Le 8 juillet 2021, à travers un retour
d’expériences (des exemples du terrain), le CTIAP vous a également alerté sur
le risque de « violence sur les soignants » et de « violation du
secret professionnel médical ». Cet article a été relayé par le journal FranceSoir. Dès le lendemain, et publiquement, j’ai
fait l’objet d’« attaques » et de « menaces », écrites, de
la part de quatre personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet. À mon
égard, l’un de ces agresseurs recommande même ceci à l’ensemble des médecins et
au directeur de l’hôpital : « Si quelqu’un a un traitement de choc, c’est le moment ou
jamais ». Cet agresseur serait l’une
des personnes impliquées dans le « traitement de choc » qui aurait été réservé à la présidente de la commission
médicale d’établissement (CME) de l’hôpital. Cette présidente aurait porté
plainte pour « faux, usage de faux et séquestration ». Cette « affaire » a été
révélée, en décembre 2020, par le journal le Courrier de l’Ouest.
Cette « affaire » était l’un des arguments, utilisés par le
maire de Cholet, pour annoncer son retrait du conseil de surveillance du centre
hospitalier (CH).
Simultanément, parallèlement et
publiquement, ce 9 juillet 2021, je reçois aussi ce nouvel appel à l’aide
émanant d’une femme qui serait une aide-soignante :
« Dr, le couperet
arrive pour les soignants help ! »
Par ailleurs, je suis informé de ceci :
« le syndicat (…) du
CH de Cholet a déposé un recours à la CNIL [commission nationale de l’informatique
et des libertés] concernant la vaccination du personnel. En effet, pourquoi
est-ce un directeur administratif qui est en possession de toutes les
identités des vaccinés COVID de l’hôpital ? ».
La protection du secret professionnel
médical semble s’effriter.
D’un signalement et/ou d’une
notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s’orienter vers
une surveillance des personnes (cf. l’article du CTIAP en
date du 6 mai 2021).
Il est, pour le moins, insupportable de
continuer de voir nos vies, nos droits et libertés fondamentaux, piétinés à ce
point. Et en toute impunité.
Dans un pays civilisé, les rapports entre les individus sont régulés par le Droit. Or, et selon le même
Professeur de droit public : « Que le Premier ministre puisse envisager une obligation
vaccinale étendue à partir de techniques médicales aussi incertaines traduit un
effondrement des principes éthiques et politiques qui fondent notre
système juridique depuis 1789 ».
La paix sociale serait menacée. Les
valeurs, inscrites sur les frontons des institutions de la République, seraient
en danger.
En pareilles circonstances, une hypothétique loi consacrant
une « obligation » vaccinale pourrait se
révéler être de nature fautive, délictuelle, voire criminelle.
C’est au pouvoir de continuer d’arrêter
le pouvoir.
Enfin, concernant la sortie de cette
situation inédite, des idées sont disponibles et des solutions
sont possibles. Elles sont, naturellement, à la disposition des gouvernants
qui le souhaitent.
Et pour ma part et à titre subsidiaire,
je vous rappelle que je ne suis pas prêt de revenir dans un bureau de vote ;
jusqu’à nouvel ordre. Les pratiques politiques me contraignent à m’éloigner le
plus loin possible de ce monde, pour le moins, obscur.
De même, une question fondamentale
mérite d’être soulevée : quelle serait la nature de la relation des
Hommes (femmes et hommes) au pouvoir ? Pourquoi des Hommes oublient
leurs valeurs une fois investis de ce pouvoir ? Que reste-t-il à un Homme
une fois son honneur perdu : une fois sa parole et son engagement trahi ?
Au peuple français, et solennellement, vous
avez donné votre parole. Vous avez pris l’engagement de ne jamais rendre cette
vaccinale (contre la Covid-19) obligatoire.
« Patere legem quam
fecisti » (respecte la règle que tu as
faite).
En vous remerciant de l’intérêt que
vous pourriez porter à ces quelques lignes,
En restant à votre disposition pour
toute information complémentaire ou pièce utile,
Et sous réserve de pouvoir parfaire mes
écritures,
Je vous prie de bien vouloir recevoir,
Monsieur le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’expression
de mon profond respect.
Docteur Amine UMLIL
Citoyen français
Pharmacien des hôpitaux, praticien
hospitalier
Juriste (droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
Bravo Madame
RépondreSupprimervous faites honneur à la médecine
nous patients nous sommes déroutés
Merci
SupprimerMerci Madame vous faites honneur à votre métier.
SupprimerNous patients nous sommes déroutés. Encore merci
Merci beaucoup et bravo vous faites honneur pour ce que vous avez signée le serment d'yppocrate vous avez tout mon soutien...
SupprimerTrès belle lettre !!!! rien à ajouter, tout est dit et bien dit !!! je souhaiterai que tous vos confrères vous rejoignent dans cette démarche !
RépondreSupprimerMr Amine,je vous adresse mes félicitations pour ce courrier ô combien bien rédigé, que la démission du ministre de la santé soit immédiate, suivi de démissions d élus, en attendant des jugements, que les citoyens retrouvent leur souveraineté,
RépondreSupprimerTout comme vous , je n irai pas dans les bureaux de vote..
Recevez mes sinceres salutations
Docteur,
SupprimerJ'ai lu votre courrier attentivement et il n'y a pas une phrase ou un mot où je ne sois pas d'accord avec vous ! Avez-vous le dernier tweet de Mr VERAN ? Je le cite : "Le vaccin est 95% efficace contre les formes graves, 100% efficace contre le confinement. #TousVaccinés"... Celà signifie t'il que les gens qui refusent d'être vaccinés, on va faire comme en Chine ? Clouer leur porte d'entrée pour les empêcher de sortir ? Nous confiner à vie ? Et même ISRAEL commence à avoir de sérieux doutes sur la vaccination de masse car les vaccinés, qui ont moins d'immunité, tombent de pus en plus malades en développant des formes plus dangereuses du covid ! Normal, en vaccinant ainsi, moins d'immunité et le virus se nourrit de çà et se renforce ! Ils sont en train de fabriquer une bombe biologique et en octobre, préparons-nous à des millions de morts ! Ils nous diront que c'est le relâchement ! Mais bien sûr !!! Pire, Mr CASTEX a annoncé qu'il faudrait une troisième dose vu que la vaccination avait fait régresser le système immunitaire ! Ils sont tout simplement en train de nous tuer ! Et je comprends tout à fait que les soignants ne veulent pas se faire vacciner ! Chacun doit être libre de prendre sa propre décision ! Ils ont instauré un climat anxiogène et un sondage indique que 10% des français ont peur des menaces du gouvernement ! La stratégie par la peur a bien fonctionné en tout cas et le sondage n'est pas encore clos ! Il n'y a pas que Véran qui doit démissionner, c'est ce gouvernement dans sont intégralité vu leur incapacité à diriger la France détruite en 5 ans ! Il leur a fallu seulement 5 petites années pour détruire la France ! Et vacciner les enfants est une ignominie ! Je ne comprends même pas ces parents qui ont peur de leurs enfants ! Ce monde est fou ! ON EST DE TOUT COEUR AVEC VOUS, NOUS VOUS COMPRENONS, NOUS VOUS SOUTENONS ! Amitiés, Nathalie...
Cher Docteur Amine UMLIL,
RépondreSupprimerQuand des gens qui ont été formés par la république, sont de hauts fonctionnaires, violent ainsi la séparation des pouvoirs, et se servent de leurs savoirs et prérogatives pour brimer le peuple qui pourtant les finance et les nourrit, vous comme moi savez qu'il n'y a plus d'autre alternative que de les expulser par la force, hélas, du pouvoir et des affaire.
Fonctionnaires, démissionnez en masse.
Citoyens, refusez dès demain de payer vos impôts qui sont dilapidés par des irresponsables aux poches trouées et qui ne sont jamais impactés eux mêmes par les lois qu'ils vous soumettent pourtant à vous, à commencer par l'accumulation sans fin de déficits et de dettes qui vous envoient en prison, et les propulsera eux toujours plus haut dans la hiérarchie du pouvoir sans le moindre dommage.
Si l'Etat qui est censé protéger les plus faibles et les plus vulnérables se met lui même à exploiter les plus faibles et les plus vulnérables avec les mêmes méthodes que les pires voyous et escrocs, dans l'indifférence d'une justice qui n'en a plus que le nom, alors il n'y a plus d’État, il ne reste que le désespoir et les lois des plus forts dont les pouvoirs maintenant (70% de non inscris, d'abstentionnistes, de blancs et de nuls) sont plus qu'illégitimes.
L’heure n'est plus aux mots mais au traitement radical des maux. Lorsque la gangrène s'installe, il faut amputer au plus vite...
A Marseille, les brimades avec le nouveau directeur de l'APHM vont bientôt commencer. Pour moi, la révolte est proche, et elle ne sera pas que sanglante...
Bien à vous, et portez vous bien.
Très belle lettre, mais comme ses gens n'ont aucune idée de l'honneur ou de la parole donnée, il va se torcher le cul avec. Ceci dit vous avez fait le premier pas, le Peuple fera le second. Merci Docteur.
RépondreSupprimerbien
RépondreSupprimerBravo !!
RépondreSupprimerBravo!
RépondreSupprimerBravo excellente lettre!
RépondreSupprimerTrès belle lettre bravo
RépondreSupprimerMerci Docteur Umlil et bravo pour vos initiatives.
RépondreSupprimerCette lettre ne devrait pas nous épargner des élucubrations de Véran & Co à venir, mais ne pourra rester dans l'ombre de la censure médiatique très longtemps.
Dans leur fuite en avant, ils envoient des "VacciBus" sur les lieux fréquentés par la jeunesse.
Cette pratique à elle seule suffirait à les faire condamner pour crime contre l'humanité. Les jeunes gens n'ont qu'un risque infinitésimal de covid létal mais présentent un risque élevé de thrombose et de stérilité définitive.
Je pense que le mot d'ordre devient Boycott des lieux public exigeant le pass-sanitaire et des établissements qui en feront usage au nom du zèle et il faut également harceler ces "VacciBus" de la honte pour éveiller les consciences.
C'est un long combat, mais Madame Henrion-Caude, vous même et tant d'autres de plus en plus nombreux avec l’appui des français encore libres de leur conscience viendront à bout de cette hégémonie des lobbies de l'industrie pharmaco-financière.
Et dire que ces VacciBus pourraient bientôt venir dans nos écoles ! Maintenant, dans l'école, devrait se jouer le théâtre ignoble de propagande vaccinale.
SupprimerQuel désastre humain se présentera demain grâce à tous ces mensonges et manipulations médiatisés ?
Hommage aux victimes
Pertinent ! 👍
RépondreSupprimerSon incroyable et scandaleux mensonge à la télévision sur les ''essais de phase 3 terminés depuis des mois'' justifierait à lui seul le licenciement sans préavis et sans indemnités de ce criminel. Et pourquoi pas une action en justice, car les conséquences sur les esprits crédules et mal informés peuvent être désastreuses.
RépondreSupprimerFélicitations ! Soyez abondamment béni au Nom Puissant de JÉSUS CHRIST !
RépondreSupprimerBeau réquisitoire ! Malheureusement la situation est bien pire car ne se limite pas aux exactions du ministre VERAN. Ce sinistre personnage ne cesse de mentir pour un but qu'il poursuit dans l'intérêt de nuire, évidemment en accord avec CASTEX et MACRON, tant il est évident qu'ils ne peuvent méconnaître l'importance de la littérature scientifique et les mises en garde contre une politique délétère et persiste à l'ignorer pour leur plan criminel qu'ils poursuivent. C'est la raison pour laquelle, après 18 mois de constats de fraudes, de violation des libertés et droits fondamentaux et de tergiversations malveillantes le collectif CSAPE a déposé plainte le 28 juin 2021 devant la Cour pénale internationale pour crime contre l'humanité. Consultable sur : www.csape.international et qu'il est essentiel de soutenir cette plainte pour tenter de mettre un terme à cette politique totalitaire et indéniablement criminelle...
RépondreSupprimerMerci Docteur pour votre courage exemplaire. Vous faites partie des nombreux combattants qui luttent contre cette dictature dont les représentants n'ont que faire de la France et des français. Ils poursuivent un chémin sur lequel ils veulent nous emmener de force sans notre consentement, en enfer. Non merci, nous sommes de plus en plus nombreux à voir et comprendre leurs vilaines intentions. Le peuple s'éveille à l'image de la fleur qui s'ouvre le matin. Les jours sont comptés pour ces gens qui ne sont pas humains et que la justice du peuple punirà.
RépondreSupprimerGrâce à de belles personnes comme vous, les forces d'opposition vaincront. Une nouvelle page se tourne pour une vie meilleure dans l'amour, la solidarité et la justice...
BRAVO merci à vous pour votre courage
RépondreSupprimerBRAVO DOCTEUR merci pour votre courage
RépondreSupprimerJe suis sidéré de cosntater que des personnes de mon niveau scientifique (je suis polytechnicien) ne se rendent pas compte de la gravité d'avoir accepté d'être injecté de ce poison d'ARN messager. Depuis qu'ils sont infectés ils sont devenus des messagers de cette maladie fabriquée par des chercheurs rémunérés par l'américain Antony Fauci. Ne se rendent-ils pas compte qu'ils vont mourir à la prochaine tempête cytokine ? Moi je me bat pour que mon épouse de fasse pas la folie d'aller chercher la troisième dose de ce Moderna. Au secours.
RépondreSupprimerAun secours comment éviter quie mon épouse aille se faire injecter la troisième dose de Moderna ?
RépondreSupprimerBelle lettre, mais comme un plus haut, je pense que vous vous fatiguez un peu trop à mettre les formes. Cela va bien les faire se gausser, mais ne fera que les renforcer à vous répondre de la même manière avec une empathie ironique détestable.
RépondreSupprimerEnfin merci de tenter quand-même, toute nouvelle voix, tout nouveau visage qui ose se lever pour dire non à cette clique oligarchique mondialiste est la bienvenue. Jusqu'au jour où ils feront le faux pas de trop.
bravo docteur merci à vous
RépondreSupprimerMerci !!!
RépondreSupprimerBravo Madame pour cette courageuse lettre circonstanciée.
RépondreSupprimerPar contre, quid de la nano magneto technologie injectée à base d'oxyde de graphene ?
Vrai, je vous remercie d'éclairer
RépondreSupprimerBravo et merci
RépondreSupprimerDes personnes de votre envergure sont la fierté de notre pays tant abîmé par la corruption et iniquité. Chaque homme, y compris nos dirigeants doit retrouver sa liberté et son intégrité tant physique que morale pour que le monde ancien fasse réellement la place à un monde où tout sera régénéré et mis au service de la VIE.
RépondreSupprimerNous souhaitons de tout notre coeur que chacun prenne ses responsabilités pour un changement profond et radical des consciences.
Notre immunité naturelle est un bien inaliénable que nul n'a le droit de violer car il s'agit ici d'une atteinte à notre intégrité la plus vitale et essentielle.
Elle est véritablement le socle sur lequel repose notre Santé.
MERCI,MERCI,MERCI
Très bien écrit. Cela reflète parfaitement ma pensée. Que le gouvernement démissionne et que le Passage vaccinal et l obligation vaccinal soit abrogée. Je veux être libre de choisir.
RépondreSupprimerExcellents commentaires. Tout en accusant les autres de fausses nouvelles, le gouvernement français est devenu maitre du mensonge, notamment Olivier Veran et le premier ministre. Quoique l’on pense de l’efficacité des vaccins, il est aberrant de demander à ceux qui n’ont pas de comorbidités de se faire piquer et c’est même scandaleux de pousser les jeunes à le faire sur la base d’un chantage infame. Il est clair que l’on est en présence d’une expérimentation massive totalement irresponsable et d’une distribution des vaccins qui vise à enrichir les grands labos. Ce gouvernement a refusé de soigner les français, il a imposé avec le confinement des mesures de type carcéral à toute la population, jamais vues dans l’histoire même en temps de guerre, il impose des mesures de contrôle social orwelliennes inspirées des communistes Chinois, il impose une censure sur tout débat digne d’un Etat totalitaire, il a empêché les médecins de soigner et s’est livré à une intimidation généralisée des soignants en utilisant les sanctions administrative ou l’ordre Vichyste des médecins, il a enfin terrorisé par des méthodes inqualifiables toute la population qui est maintenant tétanisée et se trouve en situation d’accepter la « servitude volontaire ». La France n’est plus un pays libre et la dictature sanitaire s’étend un peu plus chaque jour avec d’anciens responsables comme Kouchner qui tiennent un discours de haine inacceptable ou des journaliste vendus au régime comme Lechypre qui tiennent des propos inqualifiables et insultants pour ceux qui ont fait le choix de ne pas se vacciner.
RépondreSupprimerTenez bon
RépondreSupprimerJe suis vacciné , etant dans le groupe a risques , pas pour faire plaisir a Veran , mais pour etre en sécurité "relative" , comme le vaccin de la grippe qui ne garanti pas d'etre grippé, votre commentaire et courrier est une bombe mais personne ne jugera de la faire exploser , Veran restera , c'est ca la politique de cet homme et de surcroit medecin qui trahi le serment qu'il a fait .
RépondreSupprimerMerci également
RépondreSupprimerDémission inévitable
RépondreSupprimerMerci pour votre engagement, votre honnêteté, votre dévouement.
RépondreSupprimerDepuis la Belgique :)
N'oublions le premier vaccin hépatite B, notamment le Genhevac de Sanofi-Pasteur. C'était un vaccin nouveau, lui aussi vaccination de masse, promu par une propagande mensongère et la peur à destination de tous : jeunes et moins jeunes , vieillards etc. Les accidents, les morts ont été nombreuses. Quelques cas ont été reconnus, mais la grande masse des victimes a été abandonnée et la justice a le plus souvent épargné les responsables : "prouvez", leur a-t-on dit ! ce sera pareil pour les victimes des vaccins Covid. Les fabricants ont déjà obtenu l'impunité !!! Bravo, les artistes !
RépondreSupprimerBravo pour votre plume, votre mesure et votre courage. Et immense merci pour votre engagement.
RépondreSupprimerLe président après avoir déclaré la guerre au virus en mars 2020, vient de la déclarer le 13 juillet aux citoyens prudents qui gardent un sens critique. A se demander qui a perdu la raison ! Je retiens l'idée de ne plus payer ses impôts pour les non vaccinés qui n'auront plus accès à la vie sociale et seront persécutés par les représentants de l'Etat qu'ils nourrissent...
bravo pour cette lettre courageuse ! Et honorée de vous avoir écoutée lors d'un des derniers CSI du jeudi !
RépondreSupprimerBonsoir Cher Confrère ,
RépondreSupprimerAdmiratif pour vos prises de position que je partage ,je voulais juste vous interroger sur un point qui me paraît essentiel dans le contexte actuel : les vaccins anticovid sont à priori toujours en essai de phase 3.
Dans ces conditions,il devrait y avoir un bras contrôle avec un placebo ?
Qu'en-t-il exactement ?
Si c'est exact,c"est un scandale planétaire dans la mesure où les gens vaccinés ne savent pas que pour la moitié d'entre-eux,ils n'ont reçu que du sérum physiologique.
Qu"en pensez-vous ?
Cordialement
Dr B.Crozet
c'est exactement la question que je me pose aussi...
Supprimerils tracent les "placébos" avec le pass sanitaire étant donné qu'ils ont accès au numéro de la dose et au nom du vaccin, c'est donc facile pour eux de corréler les effets indésirables ou complications graves avec le contenu de l'injection....et hop beaucoup de "volontaires" pour leurs essais de phase 3 ! :-(
j'aimerai bien savoir aussi....
Merci, Vous êtes une personne courageuse, de très grande qualité.
RépondreSupprimerMerci pour ce que vous faites pour les patients ! Vous avez toute ma reconnaissance ! Merci beaucoup !
RépondreSupprimerBravo ne suffit plus. Merci pour le travail et le soutient. En retour je vous envoie le réconfort de l'histoire du maquisards qui a su préserver la liberté. Seul la somme des consciences au service du respect des libertés individuelles forme un peuple digne. Le monument du plateau des glieres vous souri docteur. Encore merci.
RépondreSupprimer