Avec
l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne
directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie
pharmaceutique.
Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de
fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les
incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes
concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces
détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la
reproductibilité des lots commercialisés, etc.
Dans le domaine du médicament (dont les vaccins),
l’acte pharmaceutique de « libération »
du produit fini (produit autorisé destiné
à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à
disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des
fabricants, notamment.
Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc,
à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive,
de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins
contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui
du laboratoire Astra
Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.
Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution
de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires
internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous
a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document,
elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars
2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM
qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par
quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables.
Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce
plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à
préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie
pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le
CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé,
des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne
devrait lire de façon attentive.
La présente réflexion présente d’abord ce qu’est
une AMM « conditionnelle » (I).
Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées
puisqu’elles s’étalent de « 2021
à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans
doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence
européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves
concernant également la « qualité » de la « substance
active » et des « excipients », du « procédé de
fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III).
Enfin, cette analyse propose une conclusion.
I- En premier lieu, il est important
de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »
L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise
représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa
qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque
positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques.
L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire
pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.
En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la
Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de
validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de
« données allégées
incomplètes ». Pour
obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir
des dossiers complétés « d’études
en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les
laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de
discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée
chaque année » en
fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires
fournies et recueillies durant une année complète.
Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure
centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les
30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de
libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie,
Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande,
Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège,
Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.
Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours
en cours.
II- En deuxième lieu, les études
planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de
« 2021 à au moins 2024 »
L’ensemble des études déposées lors de la demande
d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report :
Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du
Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent
également.
Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini
dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.
À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21
décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au
mois de « décembre
2023 ».
Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le
délai pour déposer « la
confirmation » d’efficacité, de sécurité et de
tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au
moins.
Le vaccin Astra Zeneca a
obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du
vaccin est fixé au mois de « mars
2024 ».
Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne
conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du
vaccin est fixé au mois de « décembre
2023 ».
Mais, à
ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive,
un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement
les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la
substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du
produit vendu et administré à des millions de gens.
III- En troisième lieu, et cela
semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le
caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la
« substance active » et des « excipients », du « procédé
de fabrication », de la « reproductibilité des lots »
commercialisés, etc.
C’est ainsi que le délai pour déposer les
compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit
fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et
vendu) est fixé aux mois de :
« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;
« juin 2021 » pour Moderna ;
« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;
« août 2021 » pour Janssen.
En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique
relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le
marché conditionnelle », extrait
de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :
Pour le vaccin
BioNTech/Pfizer (pages 18-19)
À échéance de « mars 2021 », le
laboratoire doit fournir « des
données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer
la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».
À échéance de « juillet 2021 », le
laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :
« compléter la
caractérisation de la substance active et du produit fini » ;
« renforcer la stratégie de
contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit
fini » dans le but « d’assurer une qualité
constante du produit » ;
« fournir des informations
supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient
ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre
les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;
« fournir des informations
supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer
un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du
cycle de vie du produit fini » ;
Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer
l’efficacité et la sécurité » de ce
vaccin, le laboratoire « devra
soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée
contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».
Pour le vaccin
Moderna (page 15)
Le laboratoire doit fournir les informations
manquantes afin de :
« compléter la
caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du
produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;
« confirmer la
reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit
fini (tailles de lot initiale et finale)
(échéance « avril
2021 ») ;
« fournir des informations
supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et
revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une
plus longue pratique industrielle » dans le
but « d’assurer une qualité
constante du produit »
(échéance « juin
2021 ») ;
« soumettre le rapport final
de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en
aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine
Moderna » (échéance « décembre 2022 »).
Pour le vaccin Astra
Zeneca (pages 14-15)
Le laboratoire doit verser les informations
manquantes afin de :
« fournir les données de
validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus
approfondis » dans le but de « confirmer la
reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du
produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;
« fournir l’analyse
principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la
base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer
l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour
l’analyse principale) et « 31
mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;
« soumettre les rapports
finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et
COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine
AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;
« fournir des données
supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit
fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique
industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;
« soumettre la synthèse et
les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour
l’étude D8110C00001 » en vue
de « confirmer l’efficacité et
la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le
sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour
l’analyse principale) et « 31
mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).
Pour le vaccin
Janssen (page 18)
Le laboratoire doit transmettre les informations
manquantes afin de :
« fournir des données de
comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du
produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;
« déposer le rapport final de
l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle
VAC31518COV3001 » en vue
de « confirmer l’efficacité et
la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).
Ces faits nous permettent de proposer une
conclusion.
Conclusion
Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile
de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique
relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le
marché conditionnelle »,
extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre
la Covid-19.
L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas
seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)),
mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont
certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés
à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.
D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être
considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet
d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un
principe actif nouveau.
Le changement du nom commercial de l’un de ces
vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du
laboratoire Astra
Zeneca, ne pourrait être considéré que comme
un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête
d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas
aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du
produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller
(dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une
technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur
meilleur jour.
Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine
du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit
fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc
de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.
Cette étape clef de « libération »
des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la
responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé
notamment) peut également être engagée.
À notre avis, ces études cliniques n’auraient
jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité
intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la
stabilisation des formules de ces vaccins.
Comment pourrait-on comparer les résultats de ces
essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut
varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à
l’autre… ?
Ces variabilités, qui impactent même le cœur du
produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.
Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile
de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché)
qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.
Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont
ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque
même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.
La manœuvre semble subtile. Les informations utiles
sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de
l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours
officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces
et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de
fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.
Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et
exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une
liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait
été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.
Toute personne a le droit à une information claire,
loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de
révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être
informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).
L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ;
même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».
Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage
nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ;
ou celles exprimées dans les deux lettres
ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.
La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement
de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder
à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la
première des pauvretés et des inégalités.
D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité
de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu
du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de
l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis
de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers
la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une
nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État
change de position et admet « l’incertitude
qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février
2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également,
et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que
ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse
à partir de 34min
44s).
Dans son dernier « Point de situation sur la
surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 »
publié le 26 mars 2021 - mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de
sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces
vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment
de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces
décès) : « 311
décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ;
« 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ;
(pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé).
En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire
de ces déclarations.
Par conséquent, la prudence notamment
voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été
commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient
retirés immédiatement ;
et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des
recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc,
et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.
D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables
graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité »
avec certitude, les victimes et leurs familles se
trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».
stupéfiant !!
RépondreSupprimerComment peut-on alors qualifier de "éclairé" le consentement qui a été donné par des milliers de gens sans avoir été informés de cela avant leur vaccination ?
A diffuser largement. Merci pour votre courage !
Dr Simone Gold, Code de Nuremberg et éthique médicale
Supprimerhttps://odysee.com/@Miniver:4/DrSimoneGold:a
Les incertitudes concernant la qualité intrinsèque de ces produits vaccinaux ne font pas de doute et les AMM fournies, le sont de complaisance. De plus ces "vaccins" s'éloignent du principe même de la vaccination et ne peuvent pas être considérés comme des vaccins mais comme de xénoproduits à but bien précis qui n'est certainement pas celui de protéger les gens.
RépondreSupprimerJe ne veux pas de ces vaccins qui ne sont pas "finis" Les laboratoires avec l'accord des gouvernements et de leur ministres de la santé ont pris les peuples pour des cobayes, en France seul l'institut Pasteur pouvait nous sortir un "vrai" vaccin, il a été obligé de s'expatrier faute de subsides! Je préfère être soignée par l'hydrox chloroquine du Docteur Raoult, j'aurais au moins une vrai chance d'en sortir si je suis contaminée!
RépondreSupprimerBravo! Je suis absolument d'accord avec vous
SupprimerAlors quel est le but en fait de vacciner les populations ! Les Officiels savent pertinemment que nous ne sommes pas protégé, leur but est donc de nous tester et peu importe si les personnes décèdent ! C'est pour moi un génocide déguisé !
RépondreSupprimerLe but est le passeport V pour le contrôle des gens et finaliser ce que les 1% veulent pour l'avenir de leurs troupeaux.
SupprimerOui, en effet, toutes ces démarches "forcées" cachent une véritable autre raison que nous ne connaîtrons hélas que très très tard...ou pas) Il faut vendre coûte que coûte et infecter des biens portants : ce sont les futurs "soigneurs financiers des labos et de leurs commanditaires ! Si nos gouvernements ne craignaient pas la VERITE et le bien fondé d'autres soins, ils devraient au moins avoir la dignité et l'humilité de laisser faire leurs preuves. mais des preuves nous en connaissons tous...! merci pour cet article.
SupprimerL'ancien vice-président de Pfizer s'exprime sur la finalité du passeport vaccinal, la voilà la raison de ce passeport : https://www.medias-presse.info/lancien-vice-president-de-pfizer-les-gouvernements-vous-mentent-et-preparent-le-depeuplement-massif/141650/
SupprimerBen mes cadets..!
RépondreSupprimerPourriez-vous s'il vous plait mettre le lien de ce fameux document officiel dont vous citez les passages tout au long de l'article ? Je ne le trouve nul part !!!
RépondreSupprimerhttp://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
SupprimerBonjour, merci pour toutes ces informations pour la connaissance desquelles se bagarrent quelques députés européens dont Michèle Rivasi. En vous lisant, on comprend précisément pour quelles raisons la commission européenne refusent de dévoiler les contrats signés avec les laboratoires pharmaceutiques. Vous indiquez que l'ANSM mentionne au 18 mars 2020 311 signalements de décès de personnes vaccinées par pfizer, 4 par Moderna, 20 par Astrezeneca. Comme c'est bizarre !!!! Astrazeneca suspendu en attendant une décision de l'EMA. Pas un mot sur Pfizer et ses 311 signalements de décès en France. Et dans les autres pays, combien ????
RépondreSupprimerpour info en europe Mise à jour (partielle...) Adrreports au 03 Avril 2021 de la base Européenne de suivi des effets secondaires des médicaments pour les "Vaccins Covid"
Supprimer5 993 Décès suite à vaccination... et plus de 100.000 cas de déclarations dont 21% graves....
Pratiquement aucune remontée Pfizer cette semaine ... étonnant...
Au 25 mars, on en était à 354 décès pour Pfizer, 34 décès pour Moderna et 27 décès pour Astrazeneca ... Tout le monde est persuadé que Pfizer est le plus sûr... Toutes les données sont sur le site de l'ANSM et il y a un point toutes les semaines.
Supprimerhttps://ansm.sante.fr/actualites/point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-covid-19-periode-du-19-03-2021-au-25-03-2021
Pourriez-vous nous donner SVP des précisions sur le vaccin chinois CoronaVac, qui semble être un vaccin classique produit à partir du virus atténué avec poyr adjuvant l'hydroxyde d'aluminium.
RépondreSupprimerIl existe des traitements anti-covid efficaces, dit-on, parmi d'autres qui ne le sont pas.
SupprimerYes the inactivated virus vaccines like Coronavac by Sinovac, or Sinopharm, or India's Covaxin, which I am promoting in U.S. Far less risk. Would like to mention that Valneva, which is an inactivated vaccine coming up, uses a genetic adjuvant, CpG1018 which most people don't realize, so I wouldn't be interested in that. Actually I just received Sinovac vaccine. Felt some decided fatigue about 4 hours after shot, rested for an hour, got up and made a sandwich and that was it. Contrast that with all of the research I have done just on initial vaccine reactogenicity from the mrna and dna vaccines, which is often quite severe for days and that research was on young healthcare workers. And more serious effects from those vaccines as well of course. I hope the inactivated vaccines are the future. And of course their coverage of the variants is more complete since vaccine involves the whole virion.
Supprimerhttps://www.lelibrepenseur.org/direct-3-avril-2021-le-vaccin-ne-sert-a-rien-dixit-olivier-veran-par-salim-laibi/
RépondreSupprimerNo plus ni moins qu'une dictature sanitaire !!!!
RépondreSupprimerPour etre clair nous sommes effectivement des cobayes et des rats de laboratoire. Les instigateurs de cette horreur sont dans une strategie eugeniste et veulent faire disparaitre une bonne partie de la population dont ils n ont que faire. Triste et depite. Merci pour ces infos honnetes.
RépondreSupprimerLes vaccins ont sauvé des millions de personnes ! il faut arrêter de les mettre en permanence au pilori.
RépondreSupprimerQue ceux qui ont des doutes ne se fassent pas vacciner ._
mais on ne parle pas ici de vaccin..mis d'une thérapie génique, ou d'une injection expérimentale....sachez de quoi vous parlez: le mot "vaccin" n'est pas utilisé à bon escient.Comparez ce qui est comparable...
SupprimerBravo! Rien à ajouter! Pas de vaccination obligatoire donc beaucoup de bruit pour rien
SupprimerElle le deviendra, déjà en Europe et à l'étranger puis insidieusement chez nous. Ça vient pour les enseignants. Libre à vous de vous faire administrer des substances non stabilisées et d'être le cobaye du petit chimiste...
SupprimerBien sûr ! mais faut-il encore respecter leur liberté de vivre normalement
SupprimerD'autre part les vaccins dont vous parlez sont des vaccins à virus vivants atténués vis à vis desquels en tant que médecin je n'ai aucune réserve et non des thérapies génétiques innovantes expérimentales dont ON NE SAIT RIEN
Ce ne sont pas des vaccins mais une thérapie génique :-)
SupprimerAbsolument, il suffit de s'appliquer le principe de précaution, ou pas ! C'est très simple !
SupprimerPrimo, Il n'a jamais été prouvé que les vaccins avaient sauvés des millions de personnes. Où sont vos sources scientifiques ? Lorsque les vaccins ont été introduits lors de crises sanitaires, les courbes épidémiques s'étaient déjà depuis un bon moment, inversées. Et ce n'est donc pas grâce aux vaccins.
SupprimerSecondo, dans le cas de cette pseudo-pandémie, il n'est pas question de vaccins classiques, mais d'un nouveau procédé expérimental, jamais testé sur l'être humain, qui vise à nous modifier génétiquement. Si les vaccins étaient déjà très toxiques de par leur composants, les laboratoires pharmaceutiques jouent aux apprentis sorciers avec ces "thérapies géniques" qui vont nous transformer en OGM. Les risques et les conséquences pour la race humaines pourraient bien être catastrophiques.
Tout çà finalement pour soi-disant, se protéger d'une forme de grippe. Les gens ont perdu la raison.
Primo, Il n'a jamais été prouvé que les vaccins avaient sauvés des millions de personnes. Où sont vos sources scientifiques ? Lorsque les vaccins ont été introduits lors de crises sanitaires, les courbes épidémiques s'étaient déjà depuis un bon moment, inversées. Et ce n'est donc pas grâce aux vaccins.
SupprimerSecondo, dans le cas de cette pseudo-pandémie, il n'est pas question de vaccins classiques, mais d'un nouveau procédé expérimental, jamais testé sur l'être humain, qui vise à nous modifier génétiquement. Si les vaccins étaient déjà très toxiques de par leur composants, les laboratoires pharmaceutiques jouent aux apprentis sorciers avec ces "thérapies géniques" qui vont nous transformer en OGM. Les risques et les conséquences pour la race humaines pourraient bien être catastrophiques.
Tout çà finalement pour soi-disant, se protéger d'une forme de grippe. Les gens ont perdu la raison.
D apres le code de.nuremberg,ces substances dites vaccins ne peuvent etre injectee qu avec le consentement libre et eclaire du patient.Vous venez d d'expliquer qu il ne peut y avoir consentement.eclaire car nous ne savons rien de ces"vaccins"
RépondreSupprimerEt nous ne pouvons avoir un consentement libre car la presse propagandiste du pouvoir tant dans ses debats que dans ses.publicites.televisees fait pression sur la population,dixit par ex:
Que les non vaccines soient confinés.chez eux
Par controle du passeport vaccinal les nons vaccines ne pourront rentrer dans un
Restaurant.une.salle de spectacle.peutetre pas non plus dans un magasin ou un transport en commun.C est souvent par peur des représailles que le vaccin est accepte.Le gouvernement ne.sanctinne pas les medias pour les pressions qu ils exercent donc on peut supposer qu il.en est d accord et donc engage sa responsabilite.Toute personne qui administre un"vaccin"dans ces conditiions ainsi que les responsables de ces conditions tombent donc sous.le.coup.des sanctions prévues par le code de nuremberg,(crime contre l humanite)
Excellent article fort bien documenté, partagé sur mes réseaux sociaux.
RépondreSupprimerPour info, une consultation des citoyens européens a lieu sur le sujet du PASSEPORT SANITAIRE.
RépondreSupprimerQue vous le sachiez nous paraît très important afin que vous puissiez agir si vous le souhaitez.
Vous devrez vous enregistrer si vous n'avez pas encore de compte EU - un lien de connexion vous sera envoyé, il peut arriver jusqu’à 24h ouvrés après dans votre boîte mail et check vos spam aussi.
https://ec.europa.eu/info/law/better-regulation/have-your-say/initiatives/12961-Procedures-for-alerts-and-contact-tracing-of-passengers-identified-through-Passenger-Locator-Forms
Le site est en anglais mais vous pouvez vous y exprimer en francais.
Ce n'est pas demain la veille qu'ils tiendront compte de l'opinion publique. La publicité faite autour de cette enquête est quasi inexistante. C'est un referendum suite à un débat contradictoire de grande ampleur et de très longue durée qui n'aura pas lieu qui devrait être fait, pas ce machin déjà inscrit sur la feuille de route de la Commission européenne publiée en 2018, mise à jour en 2019 en prévision de 2022 et portant le titre "Vaccination roadmap", très innocemment sans doute. Ils n'ont que faire de nos opinions. Cette enquête proposée sur un laps de temps aussi court. Ils cherchent le chaos, ils finiront par l'avoir. Ils cherchent les peuples, ils finiront par les trouver. Quand en plus on à la surface des médias de propagande, il n'est même pas question d'en discuter. C'est NON, un point c'est tout.
SupprimerQuand en plus on connaît les finalités technologiques de contrôle des populations par l'entremise du passeport vaccinal et que l'on sait qu'elles ne seront jamais débattues dans les médias de propagande, il n'est même pas question d'en discuter. (...) Donner son opinion, c'est leur donner le moyen de contourner les oppositions pour imposer leur projet. Le passeport vaccinal est déjà obligatoire au Danemark. L'obligation des tests est une première entorse au code de Nuremberg. Un test, c'est un traitement.
SupprimerMerci pour vos articles Amine, ils sont extrêmement précieux car contiennent de nombreux éléments réutilisables pour dénoncer la folie qui s'est emparé de nos autorités sanitaires.
RépondreSupprimerJe trouve ça dingue que nos politiques fassent preuve d'un précautionnisme extrême concernant la prévention contre le virus (allant jusqu'à s'en prendre aux enfants, séparés et masqués toute la journée quand on les mélange...), mais soient incapables de dénoncer la mise en danger de la population provoquée par l'hystérie autour de ces vaccins, présentés désormais comme la SEULE ISSUE possible à la "crise sanitaire" (qui me paraît surtout être une crise de folie collective, une crise politique).
Cette crise surnaturelle est parvenue à banaliser l'idée que la discrimination des citoyens sur une base purement médicale (passeport vaccinal ou sanitaire) serait devenue acceptable. Cette idée est complémentement folle, elle me semble représenter un basculement de la pensée dominante vers des préoccupations qui n'ont rien à envier à celles qui ont marquées la crise des années 30 en Allemagne.
Merci pour votre implication, pour votre bon sens et pour l'intelligence de votre cœur.
"Je trouve ça dingue que nos politiques fassent preuve d'un précautionnisme extrême concernant la prévention contre le virus [...]"
SupprimerPour mieux comprendre ce qui se joue autour de cet évènement, je vous invite à écouter cette très intéressante interview : https://www.youtube.com/watch?v=vsDfTrn7gdQ
Si elle disparaît de YT, cherchez "Les coulisses du covid" sur Odysee.
Il est étonnant de proposer un vaccin pour une maladie fort bénine dans la plupart de cas. De plus les virus du type Corona sont connus depuis plusieurs dizaines d'années et sont connus pour muter facilement... Le gros problème avec ces 4 vaccins est qu'ils ne méritent pas ce nom, c'est un abus de langage. Il semblerait que les plus gros problèmes n'arrivent pas au moment de l'injection mais bien plus tard. Ces problèmes ne seront pas investigués, pour la plupart, car qui va faire le rapprochement entre une rupture d'anévrisme ou une crise cardiaque et l'injection reçue 6 mois auparavant ? En cas d'effet secondaire juste invalidant comme une paralysie faciale, de nouveau, cela ne sera pas démontrée car on ne pourra pas établir le lien de cause à effet... Tout cela est de la pure expérimentation médicale et est d'ailleurs une clause d'exclusion de la plupart des assurances-vie. Si vous pensez être couvert par une telle assurance pour assurer la survie de votre conjoint, assurez-vous qu'il recevra la somme convenue auprès de votre courtier si vous participer à cette expérimentation en vous faisant injecté un de ces 4 produits...
RépondreSupprimerJe me demande pourquoi les chercheurs, les médecins, les politiques focalisent sur les vaccins sans jamais évoquer ni même imaginer d’autres possibilités comme un traitement par voie orale ! J’ai lu que l’institut Pasteur de Lille cherchait dans cette direction , et s’intéressait notamment à des antibiotiques. Le groupe LVMH aurait apporté sa contribution financière aux recherches. A suivre.
RépondreSupprimerQmais il y a déjà des remèdes qui marchent... bcp de p
Supprimermais il existe de nombreux remèdes simples qui existent et utilisés dans de nombreux pays ! c'est le gvt et l'ordre des médecins qui interdisent au médecins de les utiliser !!!
SupprimerLa réponse fait peur.
RépondreSupprimerOui d'autant que les séquelles de la campagne du vaccin contre l'hépatite B type sep ont très rarement été reconnues il y a 25 ans déjà...
RépondreSupprimerBonjour, pouvez-vous confirmer cette analyse https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=534364950879600&id=100029182981068. Merci
RépondreSupprimerMerci pour cet article, je l'ai inclu dans la bilbliographie de cet article qui reprend les sources les plus crédibles et detaille les risques connus et ceux potentiels à plus long termes (incluant les mécanismes probables et les études scientifiques à ce propos) des vaccins du Covid, ainsi que une partie sur les traitements comme l'ivermectine et les études scientifiques liées se trouvent ici: La stratégie du tout vaccin, les traitements négligés, un pass pour la liberté ou en route vers l’Armageddon ? https://auxamescitoyennes.com/2021/03/24/covid-vaccin-mortalite-et-ivermectine/
RépondreSupprimerLe Covid nous a appris que les conflits d'intérêts sont gigantesques dans le domaine scientifique et médical. Il est impératif que chaque expert, scientifique ou politicien indique quels sont ses conflits d'intérêts avant même de s'exprimer ou de prendre une décision.
RépondreSupprimerLes AMM fournies le sont par complaisance c’est une évidence ! Et ces pseudos vaccins ne peuvent pas être considérés comme tels et surtout pas celui de protéger les gens. Horrible !!!
RépondreSupprimerMerci beaucoups très très bien dit et documenté votre texte
RépondreSupprimerEffarant...
RépondreSupprimerPourquoi les pharmaciens et l ordre des médecins ne font-ils pas ce travail d analyse publique et de communication dans la semaine qui précède ou suive chaque AMM?
Rappel : en période de contamination telle que subie depuis de nombreux mois il ne faut surtout pas vacciner mais traiter sous peine de propager fortement l'agent pathogène ,ce qui est bien le cas avec les variants passes actuels et a venir . Ce qui vient de se passer depuis de nombreux mois relevé de Nuremberg de la même façon qu'a la fin de la dernière guerre . D'ailleurs nous sommes en guerre selon une déclaration présidentielle .
RépondreSupprimerLes AMM fournies le sont par complaisance c’est une évidence ! Et ces pseudos vaccins ne peuvent pas être considérés comme tels et surtout pas celui de protéger les gens. Horrible !!!
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec vous.
Je crois que l'industrie pharmaceutique est du charlatanisme. Certains produits semblent en apparence apporter un bénéfice mais qui pourra en évaluer les effets sur le long terme. Des substances vénéneuses prescrits par nos soi-disant experts et on se retrouve avec les muscles tout dévastés et la vie brisée. En survie depuis 15 mois et là plus personne le milieu médical sans lave les mains.
N' y aurait il pas matière à s' interroger ?
RépondreSupprimerN' y aurait il pas matière à s' interroger ?
RépondreSupprimerJuste vous dire un très très grand merci pour ce document éclairant et qui me donne raison de ne pas l'être fait vaccinée
RépondreSupprimerBonjour. Vous écrivez que les 4 AMM sont conditionnelles et temporaires, leur durée de validité n’excédant pas un an.
RépondreSupprimerComment se fait-il alors que ces produits n'aient pas été retirés de circulation au bout d'un an ? Ce délai a-t-il été renouvelé ?
Merci. Daniel.