mardi 11 mai 2021

Vaccins contre la Covid-19 : Alerte au Ministère public suite aux « attaques » ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable

 

Madame, Monsieur le Procureur de la République,

 

 

 

 

 

 

 

Le centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques (CTIAP) du centre hospitalier de Cholet a l’honneur de vous adresser la présente alerte.

 

Cette alerte s’inscrit dans le cadre des vaccins contre la Covid-19, maladie liée au Sars-CoV-2, qui ont bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle » (temporaire ; dont la durée n’excède pas 1 an) européenne ; et qui ont été commercialisés notamment en France.

 

Depuis la création du CTIAP en réponse notamment au rapport n°RM2007-136P établi par l’inspection générale des affaires sociales (IGAS), et conformément à sa mission affichée sur son site internet (le présent blog), ce service hospitalier d’information indépendante (sans aucun lien ou conflit d’intérêts) propose notamment au public et aux professionnels de santé une information de proximité, pratique, actualisée et accessible sur les médicaments (dont les vaccins). Pour cela, il utilise notamment deux moyens : des publications sur son site internet ; et des réunions d’information indépendante destinées au public qui se déroulent dans les locaux de l’hôpital public de Cholet (et actuellement, à distance, du fait de la gestion de ladite Covid-19).

 

Le CTIAP est connu de notamment toutes les autorités ad hoc, du public, de la presse, du Ministère public. Il poursuit un seul but : celui de l'intérêt général. Il est attaché au débat public, contradictoire et utile concernant tel ou tel sujet dans le domaine complexe du médicament.

 

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier (et juriste ; Droit de la santé), j’assure la responsabilité du CTIAP ainsi que celle de l’unité de pharmacovigilance et de la coordination des vigilances sanitaires au centre hospitalier de Cholet. C’est ainsi, et par exemple, que le directeur de cet hôpital public (Monsieur Pierre VOLLOT) a pu affirmer, dans une attestation qui est déjà entre les mains de vos services, notamment ceci : « (…) A ce titre, Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines ». Et, dans le cadre desdits vaccins contre la Covid-19, il a pu soutenir auprès des journalistes du Courrier de l’Ouest : « (…) La réussite de ces opérations [de vaccination contre la Covid-19] suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue ».

 

La septième réunion d’information indépendante du CTIAP a été diffusée en direct, le 17 décembre 2020 (soit avant l’attribution de ces AMM européennes), par notamment la télévision locale du choletais (TLC). Elle a porté sur le thème intitulé : « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir ».

 

La huitième réunion d’information indépendante du CTIAP s’est tenue le 27 avril 2021 et a porté sur le sujet suivant : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ». Elle a été diffusée par le journal FranceSoir. Après une « introduction » expliquant notamment ce qu’est une AMM « conditionnelle », la « première partie » rappelle certaines dispositions de la loi (au sens large) relatives à l’information sur les médicaments : information (claire, loyale et appropriée) et validité du consentement (libre et éclairé ; une liberté fondamentale) ; défaut d’information comme source potentielle de la « défectuosité » du produit ; une information en tant qu’obligation qui pèse sur les professionnels de santé (médecin et pharmacien notamment). La « seconde partie » a cherché à vérifier si ces éléments de droit ont été respectés et appliqués au cas d’espèce (pris comme exemple) concernant le premier vaccin commercialisé (le plus grand nombre d’injections, plus de recul) : vaccin COMIRNATY° des laboratoires BioNTech -Pfizer. Enfin, cette intervention s’est achevée par une « conclusion ». Cet exposé met en évidence les injonctions paradoxales de certaines autorités ad hoc telles que l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), la direction générale de la santé (DGS). Ces autorités semblent inciter au « mésusage » de ces vaccins contre la Covid-19 ; ce « mésusage » étant défini par les dispositions de l’article R.5121-152 du Code de la santé publique.

 

Le 13 janvier 2021, et ce n’est qu’un exemple, le CTIAP publie un article intitulé : « ALERTE. Vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) : des informations contestables diffusées auprès des professionnels de santé et du public ».

 

Suite aux travaux publiés du CTIAP sur ces vaccins contre la Covid-19, ce dernier est devenu la cible de plusieurs attaques infondées et publiquement menées. Et, en particulier, depuis que le CTIAP a rendu visible le contenu du paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle » de l’« annexe II » de ladite AMM correspondant à chacun des quatre vaccins contre la Covid-19 autorisés en France notamment ; ces contenus des quatre paragraphe « E » étant publiés sur le site de l’agence européenne du médicament (EMA) et sont accessibles également via notamment le site de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) française. L’article publié, le 2 avril 2021, sur le site du CTIAP révèle donc le contenu de ces paragraphes « E ». Le titre de cet article (qui semble avoir été traduit en plusieurs langues) est le suivant :

 

« Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA) ».

 

Depuis que j’ai commencé mes études de pharmacie à la faculté d’Angers (études que j’ai poursuivies en tant qu’interne en pharmacie dans les centres hospitaliers universitaires (CHU) de Toulouse), je n’ai jamais eu à connaître d’un médicament mis sur le marché avec des incertitudes concernant la substance active, les excipients, le procédé de fabrication, etc. Pour moi, c’est inédit.

 

Suite aux premières attaques, infondées et enregistrées sur notamment le réseau social Twitter, le 10 avril 2021, j’ai adressé une lettre ouverte à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet. Ce directeur semble, désormais et soudainement, encourager ces agressions en tenant des affirmations, pour le moins, inexactes et contradictoires par rapport à ses affirmations antérieures (ci-dessus rappelées). Ma lettre est restée sans réponse. Ce directeur a refusé notamment de retirer son Tweet litigieux. De façon totalement injustifiée, ce dernier continue donc de nuire à l’image du CTIAP et à celle de mes prérogatives liées à mes fonctions relevant d’une mission de service public.

De même, depuis cette lettre, je ne reçois plus la « revue de presse » quotidienne que la direction m’adressait habituellement. Cela ressemble à des représailles en réponse à ladite lettre ouverte. Mes interrogations, adressées à Monsieur Pierre VOLLOT, sont, elles aussi, restées sans réponse. Désormais, le CTIAP est donc privé d’une source d’information qui permettait à ce centre de prendre connaissance des informations sur les médicaments que la presse diffuse auprès du public. Pourtant, cette revue de presse est financée par l’hôpital public de Cholet ; et non pas par Monsieur Pierre VOLLOT.

 

Poursuivant sa mission de service public, le 1er mai 2021, le CTIAP publie un article intitulé : « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération – CheckNews » ».

 

Le 4 mai 2021, le CTIAP répond aux attaques, là encore injustifiées, sur Twitter émanant de Monsieur Raphael GRABLY qui se présente comme étant « Chef de service tech @BFMTV ». Cette réponse du CTIAP est publiée sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19. Nouvelles « attaques » contre le CTIAP : Monsieur Raphael GRABLY (« Chef de service tech @BFMTV » diffuse, publiquement, des informations « inexactes » de la Direction du centre hospitalier de Cholet ».

 

Et puis le 7 mai 2021, je découvre, par hasard, un article me ciblant ainsi que le CTIAP qui a été publié, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel ». Celle-ci a, ensuite, diffusé cet article sur Twitter ; un Tweet qui a été relayé par l’« AFP ». Dans cet article, je suis désigné de façon nominative ainsi que le CTIAP. Et pourtant, les journalistes de ces « AFP – Factuel » et « AFP » ne m’ont jamais contacté avant la publication de leur article afin de recueillir, préalablement et de façon contradictoire, ma version des faits. Ils ne m’ont pas informé, non plus, de la parution de leur article litigieux. Ces journalistes ne semblent pas attachés au débat public, contradictoire et utile. D’où la réponse du CTIAP qui a été publiée, le 8 mai 2021, sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19 : Encore des « attaques » ciblant le CTIAP : une nouvelle et nécessaire rectification des affirmations « inexactes » diffusées, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et par l’« AFP » ».

 

Les articles du CTIAP, en date du 1er mai 2021 et du 8 mai 2021 ci-dessus mentionnés, ont été relayés par notamment le journal FranceSoir.

 

Je saisis cette occasion pour vous informer des trois articles supplémentaires suivants :

 

« Covid-19. Projet de vaccination « obligatoire » des soignants : lettre ouverte au Ministre des solidarités et de la santé », le 5 mars 2021 ;

 

« LETTRE OUVERTE. Vaccination des « soignants » contre la Covid-19 : Réponse à l’injonction diffusée par 7 Ordres professionnels de santé », le 8 mars 2021 ;

 

« La Covid-19 : un projet de « passeport sanitaire » alors que cette maladie n’est pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » (celles-ci, elles, ne nécessitent aucun « passeport ») », le 6 mai 2021.

 

 Depuis au moins 2016, le CTIAP alerte sur la procédure accélérée d’attribution de ces AMM. Et le 10 novembre 2017, le CTIAP publie un article sous le titre : « Des médicaments commercialisés plus rapidement malgré une évaluation insuffisante : un rapport de 2017 de l’agence européenne du médicament (EMA) ».

 

Mais, actuellement, dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19, une limite supplémentaire aurait été franchie. Il suffit de lire lesdits paragraphes « E » ci-dessus exposés dans l’article du CTIAP en date du 2 avril 2021.

 

La crédibilité du CTIAP jaillit, par exemple, des commentaires d’une association de patients, d’un journaliste, et du plus ancien directeur au centre hospitalier de Cholet qui ont été formulés suite à une conférence sur le médicament qui a eu lieu, dans les locaux de l’hôpital de Cholet, le 30 janvier 2020.

 

La crédibilité et la notoriété du CTIAP sont également perceptibles dans l’intérêt que des avocats, notamment, accordent à ses publications. Comme le montre le nouvel exemple suivant ; un article publié, le 19 avril 2021, sous le titre : « Covid-19 –Vaccination : Rétablir la confiance par une réelle transparence ».

 

Par ailleurs, j’ai déjà alerté également sur les autres obstacles qui entravent le fonctionnement normal de mes autres fonctions : pharmacovigilance et coordination des vigilances sanitaires. En vain.

 

La crédibilité de mes affirmations a été relevée y compris par le service régional de la police judiciaire (SRPJ) et par l’inspection régionale de la pharmacie dans le cadre de l’enquête qui a été diligentée par le procureur de la République suite à mon alerte qui avait été adressée, en 2007, au procureur Général en ces termes : « (…) que cessent tous ces dysfonctionnements graves au centre hospitalier de Cholet, afin d’éviter que la vie des patients ne soit mise en jeu (…) ». Le SRPJ a pu affirmer notamment ceci : « (…) Les pièces produites par Mr UMLIL. En très grand nombre, elles argumentaient ou précisaient chaque point développé par Mr UMLIL ». Mes preuves sont indépendantes et légales en tout premier lieu. Le SRPJ a aussi enregistré notamment les menaces que les témoins avaient reçues la veille de leur audition par les enquêteurs…

 

Je tenais donc à porter à votre connaissance ces quelques faits non exhaustifs. Je me réserve le droit de parfaire cette alerte que je vous transmets également en ma qualité de citoyen français et usager potentiel du système de santé et de ses produits pharmaceutiques.

 

Il vous appartient de notamment chercher la (les) raison(s) qui pourraient justifier ces attaques, inhabituelles et infondées, qui ciblent, publiquement, le CTIAP (un service hospitalier d’information indépendante sur le médicament) et son responsable (moi en l’espèce) ; avec la soudaine contribution de la direction (Monsieur Pierre VOLLOT n’ayant d’ailleurs aucune compétence pharmaceutique) du centre hospitalier… depuis que le CTIAP informe sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19.

 

De ces éléments, faudrait-il déduire notamment que ces vaccins contre la Covid-19, qui ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle » (rapport bénéfice/risque insuffisamment connu), seraient à l’abri de toute évaluation indépendante de leur rapport bénéfice/risque ? Et que le public et les professionnels de santé devraient être la cible de pratiques qui pourraient relever du dol et de la violence au lieu d’être les destinataires d’une information claire, loyale et appropriée ?

 

Par ailleurs, je sollicite une intervention de votre bienveillance visant notamment à faire cesser ces attaques injustifiées (accorder une protection au CTIAP et à son responsable (moi, en l’espèce)). Une telle intervention, que j’espère rapide, serait appréciée ; et avant tout par les nombreuses personnes qui me témoignent, publiquement et par différents moyens, de leurs soutiens en ces temps, pour le moins, étranges. Comme le montrent les exemples (Tweets) suivants qui ont été adressés à la direction du centre hospitalier de Cholet (et dont j’étais également destinataire) :

 

« Au lieu de défendre votre praticien hospitalier, vous préférez le livrer en pâture aux hyènes se délectant des commentaires haineux, souvent anonymes. Laissez la place à une science avec conscience, comme celle du Dr Umlil. Ses publications et son travail intègres en témoignent. » ;

 

« @ch_cholet Honte à vous ! Vous aviez la possibilité d’être reconnu pour une réelle intégrité avec le docteur Umlil. Vous avez préféré baisser la tête. Vous ne faites honneur à vos soignants en agissant ainsi. Respect @amine_umlil. » ;

 

« Inadmissible. CH Cholet devrait au contraire vous mettre en avant, être fier et porter haut votre intégrité scientifique. L’hôpital de Cholet est dans l’erreur. Vous êtes lu, compris et reconnu par bcq de soignants. Respect et soutient à vous. Honte à eux ! ».

 

Au lieu de prendre part à ces dénigrements qui tentent de jeter le discrédit sur les travaux du CTIAP de façon injustifiée, Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) aurait dû m’accorder plutôt la protection fonctionnelle que je tiens légalement de mon statut de praticien hospitalier.

 

Enfin, je me réserve le droit de porter plainte contre X.

 

 

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Madame, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de mon profond respect.

 

 

 

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (Droit de la santé)

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

 

 

 





samedi 8 mai 2021

Vaccins contre la Covid-19. Encore des « attaques » ciblant le CTIAP : une nouvelle et nécessaire rectification des affirmations « inexactes » diffusées, cette fois, par l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et par l’« AFP »

 

Le 1er mai 2021, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet publie un article intitulé : « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération – CheckNews » ».

 

Trois jours plus tard, soit le 4 mai 2021, le CTIAP publie un nouvel article sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19. Nouvelles « attaques » contre le CTIAP : Monsieur Raphael GRABLY (« Chef de service tech @BFMTV ») diffuse, publiquement, des informations « inexactes » de la Direction du centre hospitalier de Cholet ».

 

Ce Monsieur Raphael GRABLY, lui au moins, avait l’élégance de me mettre en copie de son message diffusé sur Twitter. Alors que l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et l’« AFP » publient un article me ciblant ainsi que le CTIAP ; sans même m’en informer. Cette « AFP – Factuel » (avec ses « 130K Abonnés ») et « AFP » (aux « 3,6M Abonnés »)  ne semblent pas attachées au débat public, contradictoire et utile.

 

En effet hier, vendredi 7 mai 2021, je découvre, par hasard, un article publié par ces « AFP – Factuel » et « AFP » sous le titre « Les vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid ». Cet article est publié le 5 mai 2021 ; et mis à jour le 6 mai 2021. Ce 7 mai 2021, cet article est tweeté par l’« AFP – Factuel » ; puis retweeté par l’« AFP ». Or, dans cet article, je suis désigné de façon nominative ainsi que le CTIAP. Et pourtant, les journalistes de ces « AFP – Factuel » et « AFP » ne m’ont jamais contacté avant la publication de cet article. Ils ne m’ont pas informé, non plus, de sa parution.

 

Ces journalistes m’ont réservé notamment un paragraphe intitulé « Qui est Amine Umlil ? ». Tout en omettant d’indiquer un lien vers un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.). Pourtant, ce dernier est disponible sur le site du CTIAP ; ils ne peuvent donc l’ignorer. Ce (C.V.) avec une double compétence serait, peut-être, un peu long pour eux (elles).

 

Cet article de l’« AFP – Factuel » et de l’« AFP » appellent une nécessaire rectification des informations, pour le moins, « inexactes » qui sont diffusées par ces journalistes. Il y a lieu de répondre, de façon circonstanciée et en urgence, à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » en rappelant les faits, non exhaustifs, suivants.

 

À titre liminaire, il y a lieu d’observer que ces journalistes ne contestent qu’un seul point malgré les nombreux articles du CTIAP portant sur ces vaccins contre la Covid-19. Leur contestation concerne le point relatif à l’efficacité de ces vaccins contre les formes « graves » de la Covid-19.

 

Ces journalistes affirment : « Des publications très partagées sur internet affirment que l’efficacité des vaccins contre les formes graves du Covid-19 n’est pas démontrée. Cette affirmation, répétée notamment par un pharmacien hospitalier de Cholet, est trompeuse. L’efficacité contre les formes sévères – déjà fortement suggérée dans les résultats des essais cliniques – s’est vérifiée depuis le début des campagnes de vaccination dans le monde, comme l’ont expliqué des expertes à l’AFP et d’après plusieurs études. »

 

Si tel était le cas, pourquoi aucune autorité ad hoc n’a jugé utile de me contredire ?

 

Manifestement, je ne suis pas le seul à affirmer cette absence de preuve puisque ces journalistes utilisent le terme de « notamment ». Et, ils ont raison.

 

Car, en réalité, ces journalistes oublient de mentionner notamment les affirmations que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a tenues lors de la conférence de presse en date du 18 février 2021. Monsieur Olivier VÉRAN, lui-même, a avoué ceci :

 

« (…) j’ai dit tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de dire si la vaccination en EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les hospitalisations. Quand nous aurons ces données fiables ; aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles, que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent depuis maintenant un an. »

 

Le lien vers cette conférence de presse est pourtant disponible, depuis au moins le 4 mars 2021, sur le site du CTIAP dans l’article intitulé « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’« administration » française » ».

 

Ces journalistes oublient de mentionner aussi les conclusions de l’avis rendu, le 11 avril 2021, par le Haut conseil de la santé publique (HCSP) sous le titre « Avis relatif à l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19 ». Ce document, publié, le 25 avril 2021, « recommande, pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet » notamment ceci :

 

« Dans un cadre privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :

Que toutes les personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les autres mesures barrières : hygiène des mains, distance interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité). ».

 

Si réellement ces « vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid », comme l’affirment ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir toutes ces autres mesures barrières ; et surtout pourquoi met-il fin à cette recommandation (« ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes « graves » dans une « position d'espoir... » précise-t-il. Mais, nous ne sommes plus à une contradiction près ; comme cela est démontré dans la huitième conférence du CTIAP tenue le 27 avril 2021.

 

Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » s’appuient notamment sur une « étude publiée le 19 avril dans la revue Nature Medecine et portant aussi sur Israël » en expliquant que cette étude « relève une baisse des hospitalisations "sévères" quelques semaines après le début de la vaccination, qu’elle impute pour l’essentiel à la campagne de vaccins ». Et curieusement, ils ajoutent ceci : « le pays a aussi connu un confinement ». Comment alors juger de l’efficacité de cette vaccination si, en même temps, ce pays a confiné sa population ? Ladite efficacité pourrait être due soit à cette vaccination, soit à ce confinement, soit à la combinaison de ces deux mesures, soit au hasard.

 

Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » osent même se fonder sur une « étude réalisée en Angleterre et mise en ligne le 2 mars ». Tout en nous indiquant que cette étude n’est « pas encore publiée dans une revue scientifique ». Deux mois après, elle n'est toujours pas publiée alors que la question est importante.

 

Ces journalistes s’appuient aussi sur les « expertes » de notamment la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

 

Pourtant, dès le 23 décembre 2020, cette HAS soutient : « A ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact de la vaccination par le BNT162b2 [vaccin Comirnaty° des laboratoires BioNTech - Pfizer] sur les hospitalisations, les hospitalisations en unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité. » Ces critères étant ceux de la gravité. Puis, cette HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)] ». La manœuvre semble subtile pour les non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande, plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.

 

D’ailleurs, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » citent plusieurs chiffres sans accompagner ces derniers des nécessaires intervalles de confiance. Deux premières formations peuvent donc leur être proposées :

 

1. La première est celle dispensée, le 17 décembre 2020 par le CTIAP, lors de la septième réunion d’information indépendante destinée au public ; qui a été diffusée, en direct, par notamment la Télévision Locale du Choletais (TCL) sous le titre « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir ».

 

2. La deuxième est venue confirmer la première. Elle est l’œuvre de Madame Christine COTTON, une Biostatisticienne qui a exercé pour l’industrie pharmaceutique pendant plusieurs années. Elle a proposé une analyse des données concordante avec celle livrée le 17 décembre 2020 par mes soins. Son analyse a été diffusée, le 8 avril 2021, par le journal FranceSoir sous le titre « Christine COTTON : expertise des résultats des essais des quatre vaccins ». Et comme le révèle l’extrait de mon (C.V.) qui a été occulté par ces journalistes, je suis également titulaire de plusieurs diplômes dont un Diplôme interuniversitaire de statistique appliquée à la médecine, option biologie.

 

Comme j’ai pu déjà le soutenir, et eu égard à mon devoir de pharmacien, je considère que les recommandations de cette HAS (haute autorité de santé) et de cette ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) sont présumées conformes aux « données acquises de la science ». Mais que cette présomption est simple : elle n’est pas irréfragable. Autrement dit, je peux renverser ces recommandations par une preuve contraire.

 

D’ailleurs, dans le cadre de ces vaccins contre la Covid-19 notamment, cette HAS et cette ANSM n’ont pas hésité à formuler, publiquement, des recommandations qui incitent au « mésusage » de ces vaccins. Certaines de ces recommandations ont été rejetées, et publiquement, par le Ministre des solidarités et de la santé, lui-même. Ce « mésusage » est défini ainsi par le Code de la santé publique : « une utilisation intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi qu’aux recommandations de bonnes pratiques » (article R.5121-152 du Code de la santé publique).

 

Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » peuvent prendre connaissance de plusieurs exemples mettant en évidence les injonctions paradoxales de toutes ces autorités ad hoc. Ces exemples ont été développés notamment lors de la huitième réunion d’information indépendante du CTIAP destinée au public (ci-dessus mentionnée). Cette conférence, diffusée par FranceSoir, a porté sur le thème « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ». C’est une troisième formation qui pourrait être proposée à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».

 

Face à la crédibilité et à la notoriété du CTIAP, y compris à l’étranger, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent : « L’autorité de régulation des médicaments en France s’appelle l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) ». Et ajoutent : « L’instance française qui donne des recommandations sur les vaccins ou les médicaments s’appelle la Haute autorité de santé (HAS) ».

 

Mais, ces journalistes oublient que le CTIAP du centre hospitalier de Cholet est dirigé par un pharmacien dont l’indépendance professionnelle est garantie par la « loi » (au sens large) ; et cela est confirmé par les écritures de l’Ordre national des pharmaciens notamment. Comme cela est rappelé dans l'article publié, le 17 février 2021, sous le titre « Vaccins contre la Covid-19 : le pharmacien réduit à un simple distributeur automatique ? »

 

Par ailleurs, en 2018, et concernant ladite HAS, la revue indépendante Prescrire a pu soutenir que « son qualificatif de "haute autorité" n’est toujours pas justifié » ; que seulement 6% des guides de cette HAS sont jugés « intéressants » ; qu’environ 21% de ces guides ont « des défauts majeurs ou susceptibles de nuire à la qualité des soins ».

 

L’ANSM, elle, n’est que la descendante de l’ancienne AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) qui était obligée de « changer de nom » pour assurer sa survie : un réarrangement cosmétique de l’organisation. Cette agence vient d’ailleurs d’être fraîchement condamnée au pénal dans l’« affaire MÉDIATOR° » pour des graves manquements à son rôle de police sanitaire (gendarme du médicament).

 

Puis, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » interrogent la direction du centre hospitalier de Cholet. Et réitèrent les mêmes attaques que celles formulées, publiquement, par ledit Monsieur Raphael GRABLY qui se présente comme étant « Chef de service tech @BFMTV ». Des agressions qui voudraient notamment laisser penser que ce site du CTIAP serait « mon » blog « personnel » ; et qui viseraient à vider mon long (C.V.) de toute sa substance. Des attaques auxquelles j’ai déjà répondu, de façon circonstanciée, dans l’article en date du 4 mai 2021 ci-dessus mentionné.

 

Cette direction du centre hospitalier de Cholet, et notamment le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT), ne m’a pas associé, non plus, à sa réponse qu’il aurait adressée à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » par « mail le 28 avril ».

 

Reprenant les affirmations de ce directeur, et sans vérification préalable, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent notamment ceci : « La communauté médicale et la Direction du CH de Cholet ne souscrivent donc pas à un certain nombre de propos relayés » sur le site du CTIAP.

 

Mais, aucun fait précis n’est indiqué. Il s’agit d’une simple affirmation qui ne vise qu’à nourrir une appréciation d’ordre général.

 

Or, en réalité, ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) a tenu des affirmations totalement inverses et notamment auprès des journalistes du Courrier de l’Ouest. Ces derniers avaient même publié ceci :

 

« Sollicitée pour réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un soignant acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas souhaité donner suite à nos demandes. »

 

Mieux encore, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) soutenait ceci auprès de ces journalistes du Courrier de l’Ouest :

 

« La réussite de ces opérations [de vaccination contre la Covid-19] suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue ».

 

Pis encore, ce directeur semble maintenant se réfugier derrière ladite « communauté médicale ». Or, en réalité, et selon les journalistes du Courrier de l’Ouest, la représentante de cette communauté médicale (la Présidente de la commission médicale d’établissement) a porté « plainte fin août pour faux, usage de faux et séquestration ». Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient-ils manqué de lire également au moins les deux articles publiés, le 18 décembre 2020, par le Courrier de l’Ouest ? Le premier s’intitule « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » et soutient que cette représentante (de tous les médecins, pharmaciens, sages-femmes…), et chef de service de réanimation, a été « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête ». Le deuxième article est publié sous le titre « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues » et informe de ceci : « Ce n’est pas la première fois que le centre hospitalier de Cholet défraye la chronique des faits divers. Il y a un an, devant le tribunal correctionnel d’Angers, un ancien chef de service [de réanimation, encore] avait été jugé et condamné pour avoir réglé ses comptes avec un confrère [Président de la commission médicale d’établissement, encore] dans une galerie marchande à coups… d’excréments. (…) ».

 

À chacune de ces affaires médiatisées, ledit Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) voudrait faire croire aux journalistes qu’il serait totalement étranger à ces conflits. Ce directeur connaît l’étendue de ma parfaite connaissance des agissements délictueux, voire criminels, de la bande locale.

 

Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » sont-ils informés des démissions, soudaines et groupées, des membres de ladite commission médicale d’établissement qui ont été enregistrées au centre hospitalier de Cholet ?

 

Même le maire de Cholet a annoncé son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet. Comme le montre cette lettre ouverte publiée, le 16 janvier 2021, cette fois sur ce qui pourrait être considéré comme mon blog personnel (intitulé « Analyse citoyenne indépendante »).

 

Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », ce directeur aurait affirmé aussi : « M. Umlil est responsable du Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP) du centre hospitalier, une entité en charge des questions de pharmacovigilance (surveillance des effets secondaires [indésirables] des médicaments) ». Or, en réalité, la mission du CTIAP est affichée sur le présent site de ce centre d’information indépendante ; un texte que ce directeur avait, lui-même, adressé à l'agence régionale de santé (ARS). Concernant la pharmacovigilance, le centre hospitalier a également créé une « unité de pharmacovigilance », distincte de celle du CTIAP, dont je suis également responsable. De même, l’établissement m’a confié la « coordination des vigilances sanitaires » depuis 2007. Le tout s’est déroulé sous le contrôle des juges notamment ; et bien avant l’arrivée de ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT).

 

Ma réponse à ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) est pourtant disponible dans une lettre ouverte publiée, le 10 avril 2021, sur ce site. Au contenu de cette lettre, est venu s’ajouter un complément, qui concerne ce même directeur, dans ladite réponse en date du 4 mai 2021 qui a été adressée à Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » (ci-dessus indiquée). Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » ont donc également ignoré ces éléments de réponses, contradictoires et utiles, adressées à ce directeur. En tout cas, ce dernier vient d’aggraver son cas.

 

Sans vérifier les affirmations de l’ANSM, ces journalistes soutiennent aussi ceci : « l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients ». Si tel était le cas, pourquoi alors avoir créé cette AMM « conditionnelle » si celle-ci offre le même niveau de sécurité qu’une AMM « standard » ? Je renouvelle donc ma proposition de ladite troisième formation, ci-dessus précisée, qui pourrait s’avérer utile à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».

 

Et en même temps, ces journalistes admettent, qu’à la date de délivrance de cette AMM « conditionnelle », l’efficacité sur les formes « graves » n’était que « suggérée ».

 

Toute personne, qui s’est faite vaccinée en croyant que ces vaccins avaient démontré cette efficacité, serait ravie d’apprendre que, finalement, ladite efficacité n’était que « suggérée ». Et que ces journalistes, des médias traditionnels (dominants), ont omis de porter à sa connaissance une telle information qui, pourtant, conditionne les caractères « libre » et « éclairé » du consentement donné par cette personne avant de se faire vacciner.

 

Ensuite, et de façon pour le moins sournoise, ces journalistes tentent de montrer que le CTIAP aurait du succès auprès notamment d’un « site canadien anti-avortement », d’un « groupe Facebook canadien anti-vaccin et anti-confinement », d’un « groupe appelé "effets indésirables des vaccins Covid" »Or, en réalité, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet n’est pas responsable de la qualité des articles faits par des tiers qui reprennent les données du CTIAP ; et sans même solliciter l’accord préalable de ce centre. Et le CTIAP n'a pas, non plus, à porter de jugement sur la qualité du travail de ces tiers.

 

Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », certains voient même le CTIAP comme étant « Le centre français d’évaluation des médicaments » : juste merci à eux de le percevoir ainsi !

 

Des articles du CTIAP ont même été traduits en plusieurs langues (et sans l’accord préalable du CTIAP) : allemand, anglais, espagnol, italien, etc. Un fait qui n’est pas relayé par ces journalistes. Merci aux personnes qui ont effectué ces traductions (auxquelles le CTIAP n’a pas contribué).

 

Bien avant la mise sur le marché « conditionnelle » (temporaire) de ces vaccins, des journalistes des médias traditionnels (dominants) ont diffusé, auprès du public, des informations qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées. Ces journalistes persistent en continuant de diffuser des affirmations, pour le moins, « inexactes ». Ce sont ces informations, diffusées par ces journalistes, qui sont « trompeuses »C’est ce que le CTIAP a mis en évidence conformément à sa mission connue de toutes les autorités ad hoc. Alors, évidemment, un tel recadrage ne peut que déplaire à ces journalistes pour lesquels je ne peux réserver, de façon parallèle, un paragraphe intitulé « Qui sont ces journalistes ? » ; puisque leurs Curriculum vitae (C.V.) ne me sont pas accessibles. Ils n’osent même pas signer leur article litigieux avec leurs noms et prénoms.

 

Il y a lieu de relever également que ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » ne contestent pas notamment les « incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… » qui ont été portées à la connaissance du public, notamment, dans l’article en date du 2 avril 2021 : le CTIAP étant sans doute la seule entité à avoir révélé cette information de façon inédite et exclusive. Ces journalistes ne répondent pas, non plus, à notre article intitulé « Vaccins contre la Covid-19 : pourquoi ce « silence » des médias traditionnels (dominants) sur les « effets indésirables » des vaccins « BioNTech – Pfizer » et « Moderna » ? » publié, le 16 avril 2021, sur ce site du CTIAP. Deux réflexions qui ont pourtant été visées dans l’article litigieux de ces journalistes.

 

En conclusion, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » m’accusent publiquement de façon infondée ; et sans même recueillir au préalable ma version des faits ; ni même m'informer de l'existence de ces accusations publiquement tenues devant tant d'abonnés. À nouveau, des preuves contradictoires et utiles, vérifiables sur pièces, sont apportées. Celles-ci démontrent le caractère injustifié de cette nouvelle attaque contre le CTIAP (un service hospitalier d’information indépendante sur le médicament) et contre son responsable (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (Droit de la santé)). Ces journalistes viennent donc rejoindre la cohorte des détracteurs qui cherchent à empêcher le CTIAP de remplir sa mission d’information relevant du service public. Le moment venu, ils auront aussi à répondre de leurs actes. Ils font obstruction à la manifestation de la vérité concernant le rapport bénéfice/risque de ces vaccins.

 

Ou peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient souhaité venir en aide, au secours, à leurs éventuels "amis" de « Libération – CheckNews » et de « BFMTV » auxquels le CTIAP a réservé les deux réponses ci-dessus mentionnées.

 

Ou alors, peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » n’auraient pas apprécié ma réaction, en date du 4 mai 2021, en réponse à un Tweet de cette même AFP qui soutenait le 3 mai 2021 ceci :

 

« « Après la tragédie du Covid, s’ouvrira la bataille pour regagner le terrain perdu sur la liberté d’informer ». Le journalisme se remettra-t-il de la pandémie ? Une réflexion nourrie des expériences des journalistes de l’AFP pendant la pandémie (…) ».

 

Ce Tweet de l’AFP ayant ensuite relayé une citation de Madame « SOPHIE HUET », « Rédactrice en chef centrale de l’AFP » :

 

« Nous nous doutons bien que, comme tout un chacun, nous ne sortirons pas indemnes de ce traumatisme mondial. Mais, gageons avec optimisme que, comme les mauvaises herbes, les journalistes s’attacheront à reprendre chaque interstice de liberté. »

 

À ces proses de l’AFP, j’avais répondu le 4 mai 2021 ceci : « C’est lors des périodes difficiles que la démocratie a besoin de ses « chiens de garde » (de ses vrais journalistes) ; et non pas après. Pour comprendre, il suffit de découvrir deux exemples regroupés dans l’article publié, ce jour, par le @ctiap_cholet. »

 

Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient méditer notamment cet autre article publié, le 19 septembre 2020, sur ce site du CTIAP sous le titre : « Covid-19 et Hydroxychloroquine : l’« empirisme » refusé au professeur Didier Raoult (en situation d’urgence) est pourtant toléré pour les « médicaments pédiatriques » (en pratique courante ») ». Ils trouveront dans cet article notamment l’une de mes tribunes publiées par le journal Le Point (ce dernier ayant repris intégralement des articles du CTIAP du centre hospitalier de Cholet). Et celui publié, le 6 mai 2021 sous le titre « La Covid-19 : un projet de « passeport sanitaire » alors que cette maladie n’est pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » (celles-ci, elles, ne nécessitent aucun « passeport ») ».

 

Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient lire mon livre publié, en décembre 2018, sous le titre : « Obstacles à la pharmacovigilance : Délinquance en col blanc ; Inertie des pouvoirs publics ». Dans cet ouvrage, ils pourront découvrir notamment comment je suis perçu par les corps d’inspection, par ladite communauté médicale derrière laquelle ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) tente de se réfugier à chaque fois qu’il est mis face à ses responsabilités, par ce même directeur, par l’actuel Président de la commission médicale d’établissement (CME), par le service régional de la police judiciaire (SRPJ), etc. Ce dernier ayant pu intervenir en 2007 suite à mon alerte adressée, cette même année 2007, au procureur Général en ces termes : « (…) que cessent tous ces dysfonctionnements graves au centre hospitalier de Cholet, afin d’éviter que la vie des patients ne soit mise en jeu (…) ». Ledit SRPJ ayant pu relever notamment ceci :

 

« (…) Les pièces produites par Mr UMLIL. En très grand nombre, elles argumentaient ou précisaient chaque point développé par Mr UMLIL. »

 

Ces attaques répétitives, ciblant le CTIAP ainsi que les prérogatives de mes fonctions relevant du service public, appellent, peut-être, une nouvelle alerte auprès du Ministère public.

 

Cet article litigieux de l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et l’« AFP » ne mentionne aucune déclaration d’éventuels liens ou conflits d’intérêts des « expertes » interrogées notamment ; comme cela est exigée par les dispositions de l’article L.4113-13 du Code de la santé publique.

 

À l’avenir, le législateur devrait penser, sérieusement, à rendre également obligatoire ces déclarations des liens ou conflits d’intérêts pour tout journaliste qui publie des articles dans le domaine, réglementé, du médicament (vaccins).

 

Enfin, ayant construit cette réponse en urgence, je me réserve le droit de la parfaire ; en apportant, éventuellement et notamment, quelques informations complémentaires contradictoires et utiles.

 

 


Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (Droit de la santé)

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)