À la demande d’un professionnel du droit, nous
avons dû analyser le cas d’un effet indésirable grave survenu après l’administration
d’un vaccin contre la Covid-19.
Ce cas concerne un enfant qui n’a aucun antécédent
médical ou chirurgical identifié. Environ 4 jours après l’injection du vaccin
contre la Covid-19 des laboratoires BioNTech/Pfizer, une baisse brutale et sévère de l’acuité visuelle
est observée pour les deux yeux. La vision devient floue. Une quasi cécité
(presque aveugle) est relevée. Elle reste inexpliquée. Cet effet indésirable
motive l’hospitalisation de cet enfant. Le traitement entrepris par les médecins
est qualifié d’« empirique » et n’a pas eu une efficacité significative. Une
prise en charge sociale est mise en place. L’enfant aurait été déscolarisé et
aurait perdu son autonomie.
Il y a lieu de livrer un extrait de notre
conclusion (avis de pharmacovigilance) rendue après une analyse
développée sur plusieurs pages :
« (…) la responsabilité du vaccin
contre la Covid-19 (des laboratoires BioNTech/Pfizer) dans la survenue de cette
rétinite aiguë chez cet enfant, si elle ne peut être affirmée avec
certitude eu égard aux limites de la pharmacovigilance susmentionnées, ne
peut pas être exclue. D’autant plus qu’il existe encore des incertitudes
sur le rapport bénéfice/risque de ce vaccin. Ce produit, dont les essais
cliniques sont toujours en cours, ne bénéficie d’ailleurs que d’une
autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle ».
Les éléments disponibles pourraient révéler
des indices graves, précis et concordants suggérant une présomption simple
du lien de causalité entre la survenue de cette rétinite aiguë et l’injection
de ce vaccin (contre la Covid-19) chez cet enfant. (…). »
Postérieurement à notre rapport établi, nous avons reçu un courrier émanant de l’établissement
de santé qui a participé à la prise en charge de cet enfant. Dans ce
courrier dont l’objet indique « Avis
pharmacovigilance », il
est possible de lire :
« (…) chez cet enfant, en l’absence d’autre
étiologie [cause] retrouvée, le rôle du vaccin ne peut être exclu. (…). »
Nos conclusions sont donc identiques alors qu’aucune
concertation n’a eu lieu avec cet établissement de santé. Les deux analyses
proposées sont conformes à notamment la méthode définie par l’agence nationale
de sécurité du médicament (ANSM) elle-même.
Il reste donc à savoir si cet effet indésirable, qui
pourrait être considéré comme un signal potentiel, serait pris en compte
par les autorités ad hoc ; et notamment par l’ANSM.
Le 8 novembre 2021, sur le réseau social Tweeter,
le réseau français des 31 centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) a
rappelé notamment ceci :
« (…) On dit souvent que la
pharmacovigilance souffre de la sous-notification, c’est-à-dire que la
plupart des effets indésirables des médicaments ne sont pas déclarés. C’est
exact, puisqu’on estime que seul un effet sur 10 est déclaré en France.
Pourtant, entrevoir la pointe d’un iceberg
suffit souvent pour mettre la sirène du bateau en marche… et un seul cas,
à la condition qu’il soit bien détaillé, peut constituer un signal ! (…)
»
En tout cas, en ce qui nous concerne, la présente
réflexion proposée constitue une alerte qui mérite d’être portée à la
connaissance des professionnels de santé et du public notamment. D’autant
plus que la vaccination des enfants semble être inscrite à l’ordre du jour.
Après ce drame, le labo expliquera qu'il n'y a aucun lien avec le vaccin.
RépondreSupprimerCette explication du labo est rejeté par les juges.
Pour les labo ce sera comme d'habitude ils diront qu'il n'y a aucun lien avec l'expérimentation vaccinale.
RépondreSupprimerLes juges n'hésitent pas à les condamner.
un cas de cécité post injection chez un jeune a été signalé sur Verity France.
RépondreSupprimerQuel âge a le petit sacrifié pour enrichir BigPharma, les actionnaires et les égos des médecins criminels?
RépondreSupprimerQuel pays, quel âge à l'enfant. Il faut se méfier des on dit..
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