mercredi 23 mars 2022

Nouvelle attaque contre le CTIAP : Lettre ouverte au Docteur Bruno POUJOL, président de la ʺcommission médicale d’établissementʺ (CME) du centre hospitalier de Cholet

 

Cholet, le 23 mars 2022

 

Monsieur le Docteur Bruno POUJOL

Président de la ʺcommission médicale d’établissementʺ (CME)

Centre hospitalier de Cholet

 

 

Copie adressée à notamment :

 

-    Monsieur le Procureur de la République ;

-    Chambre régionale des comptes des Pays-de-la Loire ;

-    Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;

-    Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;

-    Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN ;

-    l’Assemblée nationale ;

-    [au] Sénat ;

-    la Haute autorité de santé (HAS) ;

-    l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ;

-    [au] Réseau français des 31 centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ;

-    [au] Collège national des [médecins] Généralistes enseignants (CNGE) ;

-    l’Ordre national des pharmaciens ;

-    l’Ordre des médecins ;

-    l’Agence régionale de santé (ARS) des pays-de-la-Loire ;

-    la Présidente de la Région des Pays-de-la-Loire, Madame Christelle MORANÇAIS ;

-    [au] Groupement hospitalier de territoire de Maine-et-Loire (GHT49) ;

-    [au] Président du Conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX ;

-    [au] directeur du centre hospitalier de Cholet, Monsieur Pierre VOLLOT ;

-    la Presse.

 

 

 

 

À peine le site (blog) du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet rétabli (cliquer ici) après environ 25 jours de suppression, il subit déjà une nouvelle attaque interne.

 

Le 10 mars 2022, je découvre l’ordre du jour de la séance de la ʺcommission médicale d’établissementʺ (CME) du centre hospitalier de Cholet prévue le 24 mars 2022. En votre qualité de président de cette CME, vous avez signé cet ordre du jour. Ce dernier inscrit le point suivant :

 

ʺ 8. Positionnement du CTIAP dans l’établissement. ʺ

 

Or, vous ne pouvez ignorer que le CTIAP, service hospitalier d’information indépendante sur le domaine complexe du médicament et de son environnement, est déjà ʺpositionnéʺ au centre hospitalier de Cholet depuis au moins 2010 : depuis 12 ans. Le projet, validé en 2007, est né suite notamment à la publication, la même année, du rapport de l’inspection générale des affaires sociales (IGAS). La mission du CTIAP est affichée sur son site à la page « CTIAP : pourquoi et comment ? ».

 

Comme vous le savez aussi, suite aux obstacles injustifiés rencontrés, le CTIAP n’est devenu opérationnel, de façon effective, qu’à partir de 2015.

 

Ce ʺpositionnementʺ a déjà été constaté par les autorités ad hoc dont diverses juridictions.

 

Ladite inscription à l’ordre du jour de la CME s’est faite sans concertation préalable avec le responsable du CTIAP (moi, en l’espèce). Mais, cela n’est pas surprenant.

 

Je considère cette manœuvre comme une nouvelle provocation et une nième attaque contre le CTIAP et contre son pharmacien responsable.

 

Mes précédentes alertes indiquent les raisons qui m’ont contraint à retirer ma candidature lors de la dernière élection, inattendue, de cette CME qui vous a consacré président.

 

Je ne suis donc pas membre de cette CME.

 

Et vous n’avez pas jugé utile de m’inviter à cette séance alors que je suis directement concerné ; afin que je puisse exposer, le cas échéant, mes observations de façon contradictoire et utile.

 

Je rappelle que vous exercez au sein du DIM (département d’information médicale) qui est chargé de ʺconvertir l’activité médicale en argentʺ dans le cadre de la tarification à l’activité.

 

Selon la loi (au sens large), l’une des missions principales de la CME concerne notamment la qualité et la sécurité des soins.

 

Dans ce cadre, de nombreux points auraient dû être inscrits à l’ordre du jour des séances de cette CME dont vous êtes le président.

 

Parmi ces points figurent ceux adressés à Madame la Professeure et Présidente de la haute autorité de santé (HAS) dans mon alerte en date du 22 janvier 2022 concernant la visite de certification qui a eu lieu au centre hospitalier de Cholet du 31 janvier 2022 au 4 février 2022 (cliquer ici).

 

Comme vous avez pu le constater, la tentative de la direction de l’hôpital de Cholet visant à empêcher ma rencontre avec ces experts de la HAS a échoué. Ces derniers ont demandé à me rencontrer dès leur arrivée dans l’établissement.

 

Et si l’on croit la direction elle-même, ces experts de la HAS auraient relevé des points qualifiés d’« axes de progrès » et présentés en couleur rouge dans un document diffusé par la direction. Les anomalies relevées semblent concerner notamment des points sur lesquels j’alerte depuis de nombreuses années. Parmi ces points, il est possible de lire :

 

« Déclaration des événements indésirables graves (EIG) / réclamations par le patient » ;

 

« Sécurisation de la gestion des médicaments à risque ».

 

N.B. (rappel) : « Médicaments à risque » ? En réalité, tout médicament présente un risque. Cette notion de « médicaments à risque » semble avoir été inventée pour permettre au pharmacien hospitalier de ne pas effectuer une analyse globale de l’ordonnance médicale ; alors que cette analyse relève du métier premier de tout pharmacien. Il y a lieu de se référer à mes précédentes analyses détaillées sur ce point.

 

À ce jour, et alors même que j’ai eu un entretien avec ces experts de la HAS, je n’ai pas été destinataire d’un exemplaire du rapport établi par ces experts de la HAS ; rapport qui aurait été adressé à la direction.

 

Il est pour le moins surprenant que ce rapport soit adressé aux seules personnes qui sont responsables des dysfonctionnements constatés ; et que les réponses attendues par la HAS soient élaborées par ces mêmes personnes.

 

Eu égard à la mission de la CME, il est surprenant de ne pas vous avoir vu inscrire à l’ordre du jour un point concernant le « Rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ». En aucun moment.

 

D’autant plus que d’une part la liste des médicaments dont l’utilisation est recommandée au sein d’un hôpital public relève de la responsabilité de la CME notamment ; et d’autre part au vu de vos écrits dans lesquels vous m’avez affirmé :

 

« Sur ton investissement professionnel, à travers le CTIAP, à nous délivrer une information indépendante sur les médicaments, j’ai pu te témoigner directement de la qualité de ton travail, qui est appréciée par les collègues qui consultent ton site. »

 

Et ce n’est qu’un exemple de vos écrits.

 

Pour quelles raisons alors n’avez-vous pas jugé utile d’inscrire à l’ordre du jour de la CME les nombreuses alertes du CTIAP ; et notamment celles qui portent sur les incertitudes concernant non seulement le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, mais également la composition même de ces produits ? Il suffit de constater la nature des preuves complémentaires attendues par les agences de régulation.

 

Pourquoi n’avez-vous pas organisé un débat public, contradictoire et utile sur ce sujet ?

 

Pourquoi n’avez-vous pas tenu compte de l’alerte du CTIAP concernant la diffusion, à l’intérieur du centre hospitalier de Cholet, d’un document qui contient des informations inexactes sur les effets indésirables du vaccin (contre la Covid-19 des laboratoires BioNTech/Pfizer) ? Dès le 13 janvier 2021, le CTIAP a tenté de vous alerter. En vain (cliquer ici).

 

Pourquoi avez-vous signé, et proposé (par e-mail) aux autres médecins et pharmaciens de l’hôpital de Cholet de signer, une tribune lancée par notamment un médecin dermatologue et homme politique choletais ? Une tribune qui cible le CTIAP ; et surtout elle diffuse des informations inexactes sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 auprès du public. Un e-mail a été diffusé, dans ce but, à ces médecins et pharmaciens de l'hôpital sans utiliser la liste de diffusion habituelle « L Médecins » qui m’aurait permis de recevoir, moi aussi, cet appel. La réponse circonstanciée du CTIAP a conduit le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) à m’adresser une nouvelle lettre recommandée avec avis de réception (LRAR) dans laquelle il me demande, et me met en demeure, de mettre le blog du CTIAP « hors ligne pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d'internet », et sans délai. Dans cette lettre (LRAR), il me reproche de vous avoir transmis des informations extraites de notamment l’autorisation de mise sur le marché (AMM) « conditionnelle » de ces vaccins contre la Covid-19 (cliquer ici).

 

Suite à la suppression du blog du CTIAP, vous n’avez pas réagi lorsqu’une pharmacienne exerçant à l’hôpital de Cholet, Madame le Docteur Violaine SOLANS, a envoyé un e-mail dans lequel elle exprime sa satisfaction suite à cette suppression : « Merci enfin une bonne nouvelle !!!! ». Cet e-mail a été adressé à la liste suivante : agence régionale de santé (ARS) des Pays-de-la Loire ; tous les médecins et pharmaciens, sages-femmes, internes, secrétariat de la direction (de Monsieur Pierre VOLLOT), tous les directeurs, cadres, infirmiers, syndicats de l’hôpital de Cholet. Mieux encore, cette pharmacienne aurait été invitée à la CME dont vous êtes le président. Cette pharmacienne fait partie de ceux qui ont signé ladite tribune susmentionnée. Son soulagement de voir disparaître ladite réponse circonstanciée du CTIAP pourrait être compréhensible. Par ailleurs, ce n’est pas la première fois qu’elle m’attaque, et publiquement comme vous le savez.

 

Auriez-vous manœuvré, vous aussi, discrètement en faveur de la suppression du CTIAP ?

 

Seriez-vous également impliqué dans la décision du « blocage » des comptes Twitter du CTIAP et de son pharmacien responsable par le compte Twitter du GHT49 (groupement hospitalier de territoire du Maine-et-Loire) qui est basé au CHU (centre hospitalier universitaire) d’Angers ? (cliquer ici)

 

Vous ne m'avez manifesté aucun soutien suite à la suppression du blog du CTIAP ; et plus généralement suite aux nombreuses attaques formulées notamment par celui qui est devenu le principal détracteur du CTIAP : le directeur de l’hôpital de Cholet, Monsieur Pierre VOLLOT.

 

Vous étiez pressé d’annoncer publiquement ce que le directeur, Monsieur Pierre VOLLOT, vous a appris : ma suspension, dès le 15 septembre 2021, dans le cadre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19. Alors que vous auriez pu vous limiter à annoncer, dans votre e-mail largement diffusé, seulement mon absence afin d’éviter tout risque de violation du secret professionnel médical concernant mon dossier médical. À l’inverse, et malgré ma demande, vous avez refusé d’annoncer, de façon parallèle, mon retour.

 

Dans le cadre de la vaccination contre la Covid-19, vous semblez avoir fait le choix de relayer les messages de la direction administrative. En chœur, vous avez ʺrécité le discours officielʺ ; et sans tenir compte des données figurant dans les documents officiels.

 

Mais contrairement à un directeur, le médecin et le pharmacien, eux, bénéficient d’une compétence technique, d’une indépendance professionnelle et d’un ensemble de règles qui les obligent à garder leur esprit critique face à toute information, indépendamment de la source de cette information. Cette indépendance professionnelle n’est pas là pour le confort des praticiens, mais pour la protection du public (cliquer ici).

 

Vous auriez pu inscrire à l’ordre du jour de la CME plusieurs autres points tels que :

 

« Les alertes du responsable de la pharmacovigilance et de la coordination des vigilances sanitaires sur les obstacles rencontrés dans l’exercice normal de ses fonctions » ;

 

« Le rapport définitif de la chambre régionale des comptes en date du 13 décembre 2021 » qui estime notamment que « l’établissement [centre hospitalier de Cholet, un hôpital public] offre un environnement favorable aux comportements déviants » ; « un management défaillant des ressources et des organisations médicales » ; « etc. » (cliquer ici).

 

« Etc. » (Liste non exhaustive).

 

Par contre, dans cet ordre du jour de la CME, vous inscrivez un point qui cible le CTIAP et sans discussion préalable ; et un autre point qui concerne l’« activité libérale » (dans notre hôpital public).

 

Au début de la vaccination contre la Covid-19, et comme vous le savez parfaitement, j’ai reçu un appel téléphonique d’un médecin que vous connaissez bien. Ce dernier me demandait ceci :

 

« Le CTIAP a une crédibilité auprès des soignants et notamment auprès des infirmiers et aides-soignants.

Peux-tu publier un article sur le site (blog) du CTIAP concernant le vaccin AstraZeneca afin de convaincre le personnel d’aller se faire vacciner ? Moi, je n'ai pas ouvert le dossier, je fais confiance, je n'ai pas envie d'avoir des problèmes, je vais jouer au petit soldat bien dévoué. »

 

Eu égard à mon refus d’embellir le rapport bénéfice/risque de ce produit, mon refus de maquiller les données disponibles ou plutôt les incertitudes relevées, ce médecin ne m’adressera plus la parole. Il semble avoir trouvé d’autres collègues qui ont répondu favorablement à sa demande comme cela jaillit des documents diffusés par la direction de l’hôpital elle-même ; des documents allant même jusqu’à essayer de rassurer les femmes enceintes.

 

En droit, le dol et la contrainte (violence) sont deux procédés qui permettent de vicier le consentement des personnes ; et par conséquent de porter atteinte à la dignité de la personne humaine. Ce consentement est censé être libre et éclairé. Ce consentement est encore plus protégé dans le cadre des essais cliniques notamment. Il puise sa source dans les principes dégagés par le Code de Nuremberg qui a été établi suite au procès de Nuremberg. Ce code a irrigué tout notre corpus juridique. Ce dernier est composé de textes nationaux, européens et internationaux. Le 4 mars 2022 consacre le 20ème anniversaire de la loi Kouchner qui a notamment mis fin au « paternalisme médical » en consacrant le consentement des personnes par le Code de la santé publique.

 

Je vous rappelle que les essais cliniques des vaccins contre la Covid-19 ne sont pas terminés.

 

Autant d’interrogations qui me dessinent un autre visage de vous. Un visage différent de celui du collègue Bruno POUJOL que je pensais connaître, avant qu’il n’accède à ce poste.

 

Cibler le CTIAP de façon répétée et infondée n’effacera pas les faits. Ces derniers sont têtus. Les effets indésirables, notamment, observés après cette vaccination contre la Covid-19 jaillissent de différents territoires de la République et nombreuses personnes s’estiment victimes de ces vaccins contre la Covid-19 ; et surtout de la désinformation dont elles ont fait l’objet.

 

N’oubliez pas de demander au directeur, Monsieur Pierre VOLLOT, de vous communiquer d’autres éléments : ses injonctions écrites contradictoires concernant le CTIAP ; les nombreux e-mails et lettres (dont certaines en recommandée avec avis de réception) qu’il semble avoir reçus de la part de professionnels de santé, de juristes, de citoyens, etc. lui demandant de respecter ce qui est devenu « leur » CTIAP. N'oubliez pas de demander la même chose à l’ARS, à la HAS, et je crois même au Procureur de la République… (si j'ai bien compris).

 

Une telle démarche éviterait à des collègues, de bonne foi, de se faire ʺmanipulerʺ : de servir de ʺcautionʺ à des pratiques inqualifiables.

 

N.B. (rappel) : Pour ne citer qu’un exemple, le 6 août 2021 alors que je suis en congés, le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) m’adresse une LRAR ; une lettre qu’il transmet au CNG (centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière) pour que je sois sanctionné. Dans cette lettre, il ose écrire notamment ceci : « Le Centre hospitalier de Cholet a pris connaissance de différents articles que vous avez publiés sur votre blog personnel https://ctiapchcholet.blogspot.com [cliquer ici] (…) Ces articles et la présentation du blog laissent penser aux lecteurs qu’il s’agirait d’un site internet officiel du Centre hospitalier de Cholet, ce qui n’est pas le cas ». Quelques semaines après ma réponse en date du 23 août 2021 (cliquer ici), adressée également au CNG et au Procureur de la République, le même Monsieur Pierre VOLLOT change de version dans les deux LRAR qu’il m’a envoyées en septembre 2021 : il reconnaît que le blog du CTIAP est bien un site du centre hospitalier de Cholet.

 

Mais, peut-être auriez-vous peur qu’il vous arrive la même chose que votre prédécesseure, Madame le Docteur Mirela GOYET, l’ex-présidente de la CME : le traitement spécial, qui lui a été réservé  - pour avoir résisté semblerait-il - et qui a été révélé par la presse, vous a permis d’accéder à ce poste (cf. point 6 de l’alerte du 22 janvier 2022 adressée à la HAS : cliquer ici).

 

Le prédécesseur du Docteur Mirela GOYET à ce poste de président de la CME a, lui aussi, connu quelques mésaventures qui, elles aussi, ont été relayées par la presse (cf. point 7 de l’alerte du 22 janvier 2022 adressée à la HAS : cliquer ici).

 

Peut-être auriez-vous décidé de vous soumettre aux désirs du directeur, Monsieur Pierre VOLLOT qui aurait fait de cette CME ʺsa commission médicale d’enregistrementʺ ?

 

Dans un hôpital public, l’équilibre dans le couple « directeur / président de la CME » semble important.

 

Par ailleurs, je vous rappelle que la composition de cette CME dont vous êtes le président ne respecte pas la loi (au sens large). Cette composition est irrégulière. Par conséquent, les avis de cette CME ne peuvent avoir aucune portée juridique.

 

Ce nouveau fait, cette nouvelle attaque injustifiée contre le CTIAP et son pharmacien responsable, rejoindra la liste des faits qui est déjà entre les mains de la juridiction pénale.

 

À plusieurs reprises, depuis de nombreuses années et comme cela figure dans mes précédentes écritures publiées, j’ai alerté notamment le Ministère Public en estimant que les faits relevés au centre hospitalier de Cholet pourraient s’apparenter à ceux d’un réseau mafieux. Même le président du conseil de surveillance de l’hôpital et maire de Cholet avait annoncé, début janvier 2021, son retrait de ce conseil en parlant de « criminalité » (cliquer ici).

 

Vous l’avez compris, le CTIAP et son pharmacien responsable n’accorderont aucune considération à l’avis qui sera rendu par cette CME. Avis qui, selon la méthode habituelle, serait déjà pris avant votre réunion par notamment le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT).

 

Enfin, je vous invite à lire le témoignage d’un jeune homme, âgé de 23 ans (sportif de haut niveau) qui a récemment demandé de l’aide au CTIAP. Et, il est loin d’être le seul (cliquer ici).

 

Je considère que vous êtes, ainsi que notamment les membres de cette CME et l’ensemble de la direction médico-administrative de l’hôpital de Cholet, parfaitement informés, prévenus et alertés avant votre réunion.

 

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le président de la CME, l’expression de mes respectueuses salutations.

 

 

 

 

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier

Juriste (Droit de la santé)

Centre hospitalier de Cholet

Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

 

 

 

 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire