Le 1er mai 2021, le CTIAP
(centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du
centre hospitalier de Cholet publie un article intitulé : « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération – CheckNews » ».
Trois jours plus tard, soit le 4 mai
2021, le CTIAP publie un nouvel article sous le titre : « Vaccins contre la Covid-19. Nouvelles « attaques » contre le CTIAP : Monsieur Raphael GRABLY (« Chef de service tech @BFMTV ») diffuse, publiquement, des informations « inexactes » de la Direction du centre hospitalier de Cholet ».
Ce Monsieur Raphael GRABLY, lui au moins, avait l’élégance de me mettre en copie de son message diffusé sur Twitter. Alors que l’« Agence France Presse (AFP) – Factuel » et l’« AFP » publient un article me ciblant ainsi que le CTIAP ; sans même m’en informer. Cette « AFP – Factuel » (avec ses « 130K Abonnés ») et « AFP » (aux « 3,6M Abonnés ») ne semblent pas attachées au débat public, contradictoire et utile.
En effet hier, vendredi 7 mai 2021, je
découvre, par hasard, un article publié par ces « AFP – Factuel » et « AFP » sous le titre « Les vaccins sont bien efficaces contre les formes graves du Covid ». Cet article est publié le 5 mai 2021 ; et mis à jour le 6 mai
2021. Ce 7 mai 2021, cet article est tweeté par l’« AFP – Factuel » ; puis retweeté par l’« AFP ». Or, dans cet article, je suis
désigné de façon nominative ainsi que le CTIAP. Et pourtant, les
journalistes de ces « AFP – Factuel » et « AFP » ne m’ont jamais contacté avant la publication de cet article. Ils ne
m’ont pas informé, non plus, de sa parution.
Ces journalistes m’ont réservé notamment
un paragraphe intitulé « Qui est Amine Umlil ? ». Tout en omettant d’indiquer un
lien vers un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.). Pourtant, ce dernier est disponible sur le site du CTIAP ;
ils ne peuvent donc l’ignorer. Ce (C.V.) avec une double compétence serait,
peut-être, un peu long pour eux (elles).
Cet article de l’« AFP – Factuel » et de l’« AFP » appellent une nécessaire rectification des
informations, pour le moins, « inexactes » qui sont diffusées par ces
journalistes. Il y a lieu de répondre, de façon circonstanciée et en
urgence, à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » en rappelant les faits, non exhaustifs, suivants.
À titre liminaire, il y a lieu d’observer
que ces journalistes ne contestent qu’un seul point malgré les
nombreux articles du CTIAP portant sur ces vaccins contre la Covid-19. Leur
contestation concerne le point relatif à l’efficacité de ces vaccins
contre les formes « graves » de la Covid-19.
Ces journalistes affirment : « Des
publications très partagées sur internet affirment que l’efficacité des
vaccins contre les formes graves du Covid-19 n’est pas démontrée.
Cette affirmation, répétée notamment par un pharmacien hospitalier de
Cholet, est trompeuse. L’efficacité contre les formes sévères –
déjà fortement suggérée dans les résultats des essais cliniques – s’est vérifiée
depuis le début des campagnes de vaccination dans le monde, comme l’ont
expliqué des expertes à l’AFP et d’après plusieurs études. »
Si tel était le cas, pourquoi aucune
autorité ad hoc n’a jugé utile de me contredire ?
Manifestement, je ne suis pas le seul à
affirmer cette absence de preuve puisque ces journalistes utilisent le terme de
« notamment ». Et, ils ont raison.
Car, en réalité, ces journalistes oublient de
mentionner notamment les affirmations que Monsieur le Ministre des
solidarités et de la santé a tenues lors de la conférence de presse en date
du 18 février 2021. Monsieur Olivier VÉRAN, lui-même, a avoué
ceci :
« (…) j’ai dit
tout à l’heure dans mon intervention qu’on serait bientôt en mesure de
dire si la vaccination en EHPAD [établissements d’hébergement de
personnes âgées dépendantes] permet d’éviter les formes graves, d’éviter les
hospitalisations. Quand nous aurons ces données fiables ;
aucun pays européen encore ne dispose de données publiées fiables de ce
point de vue-là. J’espère, comme vous j’imagine puisque vous me posez la
question et comme les 700 000 résidents en EHPAD et toutes leurs familles,
que nous pourrons lever davantage les contraintes sanitaires qu’ils subissent
depuis maintenant un an. »
Le lien vers cette conférence de
presse est pourtant disponible, depuis au moins le 4 mars 2021, sur le site
du CTIAP dans l’article intitulé « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’« administration » française » ».
Ces journalistes oublient de mentionner
aussi les conclusions de l’avis rendu, le 11 avril 2021, par le Haut
conseil de la santé publique (HCSP) sous le titre « Avis relatif à
l’adaptation des conduites à tenir et des recommandations pour les personnes
ayant bénéficié d’un schéma vaccinal complet contre le Covid-19 ». Ce document, publié, le 25 avril
2021, « recommande, pour les personnes ayant bénéficié d’un schéma
vaccinal complet » notamment ceci :
« Dans un cadre
privé familial ou amical en milieu intérieur fermé :
Que toutes les
personnes réunies puissent ne pas porter de masque si elles ont toutes
bénéficié d’un schéma vaccinal complet et à condition de respecter les
autres mesures barrières : hygiène des mains, distance
interindividuelle, aération et limitation à 6 du nombre de personnes. Cette recommandation
ne s’applique pas, dès lors que l’un des membres présente
un facteur de risque de formes graves (âge, comorbidité). ».
Si réellement ces « vaccins sont
bien efficaces contre les formes graves du Covid », comme l’affirment ces journalistes de
l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », pourquoi alors ce HCSP exige-t-il de maintenir
toutes ces autres mesures barrières ; et surtout pourquoi met-il fin à
cette recommandation (« ne pas porter de masque ») dès lors que l’un de ces
membres présente un facteur de risque de forme « grave » ? Et alors même que ce même HCSP semble prendre en compte cette soi-disant efficacité sur les formes
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » s’appuient notamment sur une « étude publiée
le 19 avril dans la revue Nature Medecine et portant aussi sur Israël » en expliquant que cette étude « relève une
baisse des hospitalisations "sévères" quelques semaines après le
début de la vaccination, qu’elle impute pour l’essentiel à la campagne de vaccins ». Et curieusement, ils ajoutent
ceci : « le pays a aussi connu un confinement ». Comment alors juger de l’efficacité de
cette vaccination si, en même temps, ce pays a confiné sa population ?
Ladite efficacité pourrait être due soit à cette vaccination, soit à ce
confinement, soit à la combinaison de ces deux mesures, soit au hasard.
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » osent même se fonder sur une « étude réalisée
en Angleterre et mise en ligne le 2 mars ». Tout en nous indiquant que cette
étude n’est « pas encore publiée dans une revue scientifique ». Deux mois après, elle n'est toujours pas publiée alors que la question est importante.
Ces journalistes s’appuient aussi sur
les « expertes » de notamment la Haute autorité de
santé (HAS) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
Pourtant, dès le 23 décembre 2020,
cette HAS soutient : « A ce stade, les données ne permettent pas de confirmer l’impact
de la vaccination par le BNT162b2 [vaccin Comirnaty° des laboratoires
BioNTech - Pfizer] sur les hospitalisations, les hospitalisations en
unité de soins intensifs, ni de démontrer un impact sur la mortalité. » Ces critères étant ceux de la gravité.
Puis, cette HAS ajoute : « Il est toutefois noté un effet sur l’incidence des formes
sévères (efficacité de 88,9% [IC95% = (20,1 ; 97,7)] ». La manœuvre semble subtile pour les
non spécialistes : ces derniers risquent de ne lire que le chiffre de « 88,9% » sans s’interroger sur ce qu’est cet
intervalle de confiance ([IC95% = (20,1 ; 97,7)]) qui est donné à côté de ce chiffre. De façon
résumée, plus cet intervalle est large, plus l’incertitude est grande,
plus le résultat ne peut être interprété de façon sérieuse.
D’ailleurs, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » citent plusieurs chiffres sans accompagner
ces derniers des nécessaires intervalles de confiance. Deux premières
formations peuvent donc leur être proposées :
1. La première est celle dispensée, le
17 décembre 2020 par le CTIAP, lors de la septième réunion d’information
indépendante destinée au public ; qui a été diffusée, en direct, par
notamment la Télévision Locale du Choletais (TCL) sous le titre
2. La deuxième est venue confirmer la première. Elle est l’œuvre de Madame Christine COTTON, une Biostatisticienne qui a exercé pour l’industrie pharmaceutique pendant plusieurs années. Elle a proposé une analyse des données concordante avec celle livrée le 17 décembre 2020 par mes soins. Son analyse a été diffusée, le 8 avril 2021, par le journal FranceSoir sous le titre « Christine COTTON : expertise des résultats des essais des quatre vaccins ». Et comme le révèle l’extrait de mon (C.V.) qui a été occulté par ces journalistes, je suis également titulaire de plusieurs diplômes dont un Diplôme interuniversitaire de statistique appliquée à la médecine, option biologie.
Comme j’ai pu déjà le soutenir, et eu égard à mon devoir de pharmacien, je
considère que les recommandations de cette HAS (haute autorité de
santé) et de cette ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) sont
présumées conformes aux « données acquises de la science ». Mais que cette présomption est simple :
elle n’est pas irréfragable. Autrement dit, je peux renverser ces
recommandations par une preuve contraire.
D’ailleurs, dans le cadre de ces
vaccins contre la Covid-19 notamment, cette HAS et cette ANSM n’ont pas
hésité à formuler, publiquement, des recommandations qui incitent au
« mésusage » de ces vaccins. Certaines de ces recommandations ont
été rejetées, et publiquement, par le Ministre des solidarités et de
la santé, lui-même. Ce « mésusage » est défini ainsi par le Code de la santé publique : « une utilisation
intentionnelle et inappropriée d’un médicament ou d’un produit, non
conforme à l’autorisation de mise sur le marché ou à l’enregistrement ainsi
qu’aux recommandations de bonnes pratiques » (article R.5121-152 du Code de la
santé publique).
Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » peuvent prendre connaissance de plusieurs
exemples mettant en évidence les injonctions paradoxales de
toutes ces autorités ad hoc. Ces exemples ont été développés notamment lors de la huitième réunion
d’information indépendante du CTIAP destinée au public (ci-dessus mentionnée). Cette conférence, diffusée par FranceSoir, a
porté sur le thème « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ». C’est une troisième formation qui pourrait être proposée à ces
journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».
Face à la crédibilité et à la notoriété du CTIAP, y
compris à l’étranger, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent : « L’autorité de régulation des médicaments en France
s’appelle l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) ». Et ajoutent : « L’instance française qui donne des recommandations
sur les vaccins ou les médicaments s’appelle la Haute autorité de santé (HAS) ».
Mais, ces journalistes oublient
que le CTIAP du centre hospitalier de Cholet est dirigé par un pharmacien
dont l’indépendance professionnelle est garantie par la « loi »
(au sens large) ; et cela est confirmé par les écritures de l’Ordre
national des pharmaciens notamment. Comme cela est rappelé dans l'article publié, le 17 février 2021, sous le titre
Par ailleurs, en 2018, et concernant
ladite HAS, la revue indépendante Prescrire a pu soutenir que « son qualificatif de "haute autorité" n’est
toujours pas justifié » ; que seulement 6% des guides de cette HAS sont jugés « intéressants » ; qu’environ 21% de ces
guides ont « des
défauts majeurs ou susceptibles de nuire à la qualité des soins ».
L’ANSM, elle, n’est que la descendante
de l’ancienne AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de
santé) qui était obligée de « changer de nom » pour assurer sa survie : un réarrangement
cosmétique de l’organisation. Cette agence vient d’ailleurs d’être fraîchement
condamnée au pénal dans l’« affaire MÉDIATOR° » pour des graves manquements à son rôle de
police sanitaire (gendarme du médicament).
Puis, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » interrogent la direction du centre hospitalier
de Cholet. Et réitèrent les mêmes attaques que celles formulées, publiquement,
par ledit Monsieur Raphael GRABLY qui se présente comme étant « Chef de service
tech @BFMTV ». Des agressions qui
voudraient notamment laisser penser que ce site du CTIAP serait « mon » blog « personnel » ; et qui viseraient à vider mon long (C.V.) de toute sa substance. Des attaques auxquelles j’ai déjà répondu, de
façon circonstanciée, dans l’article en date du 4 mai 2021 ci-dessus
mentionné.
Cette direction du centre
hospitalier de Cholet, et notamment le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT),
ne m’a pas associé, non plus, à sa réponse qu’il aurait adressée
à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » par « mail le 28 avril ».
Reprenant les affirmations de ce
directeur, et sans vérification préalable, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » soutiennent notamment ceci : « La communauté
médicale et la Direction du CH de Cholet ne souscrivent donc pas à un certain
nombre de propos relayés » sur le site du CTIAP.
Mais, aucun fait précis n’est
indiqué. Il s’agit d’une simple affirmation qui ne vise qu’à nourrir une appréciation
d’ordre général.
Or, en réalité, ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT)
a tenu des affirmations totalement inverses et notamment auprès des journalistes
du Courrier de l’Ouest. Ces derniers avaient même publié ceci :
« Sollicitée pour
réagir aux propos du Dr Amine UMLIL, et faire témoigner un soignant
acceptant de se faire vacciner, la direction de l’hôpital n’a pas souhaité
donner suite à nos demandes. »
Mieux encore, ce même directeur (Monsieur
Pierre VOLLOT) soutenait ceci auprès de ces journalistes du Courrier de l’Ouest :
« La réussite de
ces opérations [de vaccination contre la Covid-19] suppose l’adhésion et la
confiance de la population, qui passe par une information claire et
transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du
CTIAP est la bienvenue ».
Pis encore, ce directeur semble
maintenant se réfugier derrière ladite « communauté médicale ». Or, en réalité, et selon les journalistes
du Courrier de l’Ouest, la représentante de cette communauté
médicale (la Présidente de la commission médicale d’établissement) a porté « plainte fin août pour faux,
usage de faux et séquestration ». Lesdits journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient-ils manqué de lire également au moins les
deux articles publiés, le 18 décembre 2020, par le Courrier de l’Ouest ? Le premier s’intitule « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » et soutient que cette représentante (de
tous les médecins, pharmaciens, sages-femmes…), et chef de service de
réanimation, a été « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur
la tête ». Le deuxième article est publié
sous le titre « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues » et informe de ceci : « Ce n’est pas la
première fois que le centre hospitalier de Cholet défraye la chronique des
faits divers. Il y a un an, devant le tribunal correctionnel d’Angers, un
ancien chef de service [de réanimation, encore] avait été jugé et condamné pour
avoir réglé ses comptes avec un confrère [Président de la commission médicale d’établissement,
encore] dans une galerie marchande à coups… d’excréments. (…) ».
À chacune de ces affaires médiatisées,
ledit Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet)
voudrait faire croire aux journalistes qu’il serait totalement étranger à ces
conflits. Ce directeur connaît l’étendue de ma parfaite connaissance des
agissements délictueux, voire criminels, de la bande locale.
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » sont-ils informés des démissions, soudaines et
groupées, des membres de ladite commission médicale d’établissement qui ont
été enregistrées au centre hospitalier de Cholet ?
Même le maire de Cholet a annoncé son retrait du conseil de
surveillance du centre hospitalier de Cholet. Comme le montre cette lettre ouverte publiée, le 16 janvier 2021, cette fois sur ce qui pourrait être
considéré comme mon blog personnel (intitulé « Analyse citoyenne indépendante »).
Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », ce directeur aurait affirmé aussi : « M. Umlil est
responsable du Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques
(CTIAP) du centre hospitalier, une entité en charge des questions de
pharmacovigilance (surveillance des effets secondaires [indésirables] des
médicaments) ». Or, en réalité, la mission du CTIAP est affichée sur le
présent site de ce centre d’information indépendante ; un texte que ce directeur avait, lui-même, adressé à l'agence régionale de santé (ARS). Concernant la
pharmacovigilance, le centre hospitalier a également créé une « unité de
pharmacovigilance », distincte de celle du CTIAP, dont je suis également responsable. De
même, l’établissement m’a confié la « coordination des vigilances
sanitaires » depuis 2007. Le tout s’est déroulé sous le contrôle
des juges notamment ; et bien avant l’arrivée de ce directeur
(Monsieur Pierre VOLLOT).
Ma réponse à ce directeur (Monsieur
Pierre VOLLOT) est pourtant disponible
dans une lettre ouverte publiée, le 10 avril 2021, sur ce site. Au
contenu de cette lettre, est venu s’ajouter un complément, qui concerne ce
même directeur, dans ladite réponse en date du 4 mai 2021 qui a été adressée à Monsieur
Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » (ci-dessus indiquée). Ces journalistes
de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » ont donc également ignoré ces éléments de
réponses, contradictoires et utiles, adressées à ce directeur. En tout
cas, ce dernier vient d’aggraver son cas.
Sans vérifier les affirmations de l’ANSM,
ces journalistes soutiennent aussi ceci : « l’AMM conditionnelle rassemble tous
les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard
pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients ». Si tel était le cas, pourquoi alors avoir
créé cette AMM « conditionnelle » si celle-ci offre le même niveau de sécurité qu’une
AMM « standard » ? Je renouvelle donc ma proposition
de ladite troisième formation, ci-dessus précisée, qui pourrait s’avérer
utile à ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP ».
Et en même temps, ces journalistes
admettent, qu’à la date de délivrance de cette AMM « conditionnelle », l’efficacité sur les formes « graves » n’était que « suggérée ».
Toute personne, qui s’est faite
vaccinée en croyant que ces vaccins avaient démontré cette efficacité,
serait ravie d’apprendre que, finalement, ladite efficacité n’était que « suggérée ». Et que ces journalistes, des médias
traditionnels (dominants), ont omis de porter à sa connaissance une
telle information qui, pourtant, conditionne les caractères « libre » et « éclairé » du consentement donné par cette personne avant de se
faire vacciner.
Ensuite, et de façon pour le moins sournoise,
ces journalistes tentent de montrer que le CTIAP aurait du succès auprès notamment d’un « site canadien
anti-avortement », d’un « groupe Facebook canadien anti-vaccin et anti-confinement », d’un « groupe appelé "effets indésirables des
vaccins Covid" »… Or, en réalité, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet n’est
pas responsable de la qualité des articles faits par des tiers qui
reprennent les données du CTIAP ; et sans même solliciter l’accord préalable
de ce centre. Et le CTIAP n'a pas, non plus, à porter de jugement sur la qualité du travail de ces tiers.
Selon ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP », certains voient même le CTIAP comme étant « Le centre
français d’évaluation des médicaments » : juste merci à eux de le percevoir
ainsi !
Des articles du CTIAP ont même été traduits
en plusieurs langues (et sans l’accord préalable du CTIAP) : allemand,
anglais, espagnol, italien, etc. Un fait qui n’est pas relayé par ces journalistes.
Merci aux personnes qui ont effectué ces traductions (auxquelles le CTIAP n’a
pas contribué).
Bien avant la mise sur le marché « conditionnelle » (temporaire) de ces vaccins, des journalistes des médias traditionnels (dominants) ont diffusé, auprès du public, des informations qui ne sont ni claires, ni loyales, ni appropriées. Ces journalistes persistent en continuant de diffuser des affirmations, pour le moins, « inexactes ». Ce sont ces informations, diffusées par ces journalistes, qui sont « trompeuses ». C’est ce que le CTIAP a mis en évidence conformément à sa mission connue de toutes les autorités ad hoc. Alors, évidemment, un tel recadrage ne peut que déplaire à ces journalistes pour lesquels je ne peux réserver, de façon parallèle, un paragraphe intitulé « Qui sont ces journalistes ? » ; puisque leurs Curriculum vitae (C.V.) ne me sont pas accessibles. Ils n’osent même pas signer leur article litigieux avec leurs noms et prénoms.
Il y a lieu de relever également que
ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’ « AFP » ne contestent pas notamment les « incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… » qui ont été portées à la connaissance
du public, notamment, dans l’article en date du 2 avril 2021 : le CTIAP étant sans doute la seule entité à avoir révélé cette information de façon inédite et exclusive. Ces journalistes ne répondent
pas, non plus, à notre article intitulé « Vaccins contre la Covid-19 : pourquoi ce « silence » des médias traditionnels (dominants) sur les « effets indésirables » des vaccins « BioNTech – Pfizer » et « Moderna » ? » publié, le 16 avril 2021, sur ce site
du CTIAP. Deux réflexions qui ont pourtant été visées dans l’article litigieux de
ces journalistes.
En conclusion, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » m’accusent publiquement de façon infondée ;
et sans même recueillir au préalable ma version des faits ; ni même m'informer de l'existence de ces accusations publiquement tenues devant tant d'abonnés. À nouveau,
des preuves contradictoires et utiles, vérifiables sur pièces, sont apportées.
Celles-ci démontrent le caractère injustifié de cette nouvelle attaque contre
le CTIAP (un service hospitalier d’information indépendante sur le médicament)
et contre son responsable (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et
juriste (Droit de la santé)). Ces journalistes viennent donc rejoindre la cohorte
des détracteurs qui cherchent à empêcher le CTIAP de remplir sa
mission d’information relevant du service public. Le moment venu, ils auront
aussi à répondre de leurs actes. Ils font obstruction à la manifestation de
la vérité concernant le rapport bénéfice/risque de ces vaccins.
Ou peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » auraient souhaité venir en aide, au
secours, à leurs éventuels "amis" de « Libération –
CheckNews » et de « BFMTV » auxquels le CTIAP a réservé les deux
réponses ci-dessus mentionnées.
Ou alors, peut-être, ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » n’auraient pas apprécié ma réaction,
en date du 4 mai 2021, en réponse à un Tweet de cette même AFP qui soutenait le
3 mai 2021 ceci :
« « Après la
tragédie du Covid, s’ouvrira la bataille pour regagner le terrain perdu sur
la liberté d’informer ». Le journalisme se remettra-t-il de la
pandémie ? Une réflexion nourrie des expériences des journalistes de l’AFP
pendant la pandémie (…) ».
Ce Tweet de l’AFP ayant ensuite relayé
une citation de Madame « SOPHIE HUET », « Rédactrice en chef centrale de l’AFP » :
« Nous nous
doutons bien que, comme tout un chacun, nous ne sortirons pas indemnes de ce
traumatisme mondial. Mais, gageons avec optimisme que, comme les mauvaises
herbes, les journalistes s’attacheront à reprendre chaque interstice de
liberté. »
À ces proses de l’AFP, j’avais répondu le
4 mai 2021 ceci : « C’est lors des périodes difficiles que la démocratie a
besoin de ses « chiens de garde » (de ses vrais journalistes) ;
et non pas après. Pour comprendre, il suffit de découvrir deux exemples
regroupés dans l’article publié, ce jour, par le @ctiap_cholet. »
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient méditer notamment cet autre article
publié, le 19 septembre 2020, sur ce site du CTIAP sous le titre : « Covid-19 et Hydroxychloroquine : l’« empirisme » refusé au professeur Didier Raoult (en situation d’urgence) est pourtant toléré pour les « médicaments pédiatriques » (en pratique courante ») ». Ils trouveront dans cet article notamment
l’une de mes tribunes publiées par le journal Le Point (ce dernier ayant repris intégralement
des articles du CTIAP du centre hospitalier de Cholet). Et celui publié, le 6
mai 2021 sous le titre « La Covid-19 : un projet de « passeport sanitaire » alors que cette maladie n’est pas inscrite sur la liste des « maladies à déclaration obligatoire » (celles-ci, elles, ne nécessitent aucun « passeport ») ».
Ces journalistes de l’« AFP -Factuel » et de l’« AFP » devraient lire mon livre publié, en décembre 2018,
sous le titre : « Obstacles à la pharmacovigilance : Délinquance en col
blanc ; Inertie des pouvoirs publics ». Dans cet ouvrage, ils pourront
découvrir notamment comment je suis perçu par les corps d’inspection, par ladite
communauté médicale derrière laquelle ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT)
tente de se réfugier à chaque fois qu’il est mis face à ses responsabilités, par ce même directeur, par l’actuel Président de la commission médicale d’établissement (CME), par le service
régional de la police judiciaire (SRPJ), etc. Ce dernier ayant pu intervenir en
2007 suite à mon alerte adressée, cette même année 2007, au procureur
Général en ces termes : « (…) que cessent tous ces dysfonctionnements graves au
centre hospitalier de Cholet, afin d’éviter que la vie des patients ne soit
mise en jeu (…) ». Ledit SRPJ ayant pu relever notamment ceci :
« (…) Les pièces
produites par Mr UMLIL. En très grand nombre, elles argumentaient ou
précisaient chaque point développé par Mr UMLIL. »
Ces attaques répétitives, ciblant le CTIAP
ainsi que les prérogatives de mes fonctions relevant du service public, appellent,
peut-être, une nouvelle alerte auprès du Ministère public.
Cet article litigieux de l’« Agence France Presse
(AFP) – Factuel » et l’« AFP » ne mentionne aucune déclaration d’éventuels liens ou conflits d’intérêts
des « expertes » interrogées notamment ; comme cela est
exigée par les dispositions de l’article L.4113-13 du Code de la santé
publique.
À l’avenir, le législateur devrait
penser, sérieusement, à rendre également obligatoire ces déclarations des liens ou
conflits d’intérêts pour tout journaliste qui publie des articles dans
le domaine, réglementé, du médicament (vaccins).
Enfin, ayant construit cette réponse en
urgence, je me réserve le droit de la parfaire ; en apportant, éventuellement
et notamment, quelques informations complémentaires contradictoires et utiles.
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien
hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
Un simple ''merci'' pour votre intégrité vos rectifications sont tout à fait cohérentes !
RépondreSupprimerVotre intégrité et votre honnêteté intellectuelle honorent grandement votre personne et votre pays. Bravo, Monsieur ! Vous, ainsi que quelques autres médecins, m'évitez de désespérer totalement du système médical français !
RépondreSupprimerC'est bizarre, 2 statisticiens (français) qui tentent à démontrer que les vaccins ne sont pas si efficace que ça et une flopée d'institution dans le monde, avec je suppose des analystes pour vérifier des dossiers et tout passe comme une lettre à la poste.
RépondreSupprimerDonc, soit tous les instituts de nombreux pays du monde en entier sont corrompus, et/ou soit ces pays ont des analystes incompétents.
Est ce qu'il y a d'autres hypothèses pour expliquer cet état là ?
Courage et continuez vous êtes dans le vrai, vos travaux sont indispensables
RépondreSupprimerMerci