jeudi 6 janvier 2022

Covid-19, janvier 2022. « Nouvelles règles » au centre hospitalier de Cholet : les « professionnels » de santé « cas contact » ou « positifs » autorisés à travailler

 

En ce début du mois de janvier 2022, dans le cadre de la ʺgestionʺ de la Covid-19, la direction du centre hospitalier de Cholet décide de mettre en place de « nouvelle[s] règles d’isolement des professionnels » exerçant dans cet hôpital public.

 

Ces règles sont les suivantes :

 

« Pour les agents cas contact d’un COVID +, l’agent :

-    peut travailler mais doit appliquer des mesures barrières renforcées :

ü changer de masque toutes les 4 heures

ü repas et pause SEUL

ü bien aérer la pièce après la pause (15 min)

-    doit réaliser un test PCR à J0 puis un autotest à J+2 et J+4

 

Pour les agents COVID + sans symptôme ou pauci-symptomatiques (sans signes respiratoires d’excrétion), l’agent :

-    peut travailler mais doit appliquer des mesures barrières renforcées :

ü changer de masque toutes les 4 heures

ü repas et pause SEUL

ü bien aérer la pièce après la pause (15 min)

 

Pour les agents COVID + avec symptômes, l’agent :

-    doit s’isoler 7 jours ou 5 jours si le test antigénique ou PCR est négatif »

 

Tout ça pour ça…


Les contradictions des motifs, les incohérences, etc. n'auraient plus de limites.

 

Les agents « cas contact » ou « positifs » ne mettraient donc plus en danger la vie des patients.

 

Ces nouvelles règles sont une nouvelle preuve qui met en évidence l’échec de la politique vaccinale contre la Covid-19.

 

Elles attestent également du caractère injustifié des suspensions de fonctions, et de leurs conséquences, qui ont été prononcées à l’encontre de plusieurs professionnels de santé (et autres professionnels tels que les pompiers, etc.).

 

Ce que le CTIAP proposait dès le 20 août 2020…

 

Ces nouvelles règles sont concordantes avec les propositions formulées par le CTIAP du centre hospitalier de Cholet depuis au moins le 20 août 2020. Ces propositions simples figurent à la fin de l’article publié sous le titre : « Covid-19 : trois mois après le dé-confinement, des informations utiles ». On y trouve notamment ceci :

 

« (…) nous proposons notamment :

-    de rester prudents, mais sans entretenir la peur ;

-    le respect des gestes barrières (dont le lavage des mains) qui permettront de lutter efficacement et pas seulement contre la Covid-19 ;

-    la mise en place des distributeurs des produits hydro-alcooliques à une hauteur adaptée à la taille des enfants afin d’éviter des projections oculaires pouvant provoquer des effets indésirables ;

-    un masque FFP2 aux personnes à risques, surtout dans un milieu clos et partagé par plusieurs personnes. Il s’agit du bon usage des masques (une prescription d’un masque dans la bonne indication) ;

-    la libération des « jeunes » ne présentant pas de facteurs de risques, qui semblent être les grands perdants de cette situation, et des autres personnes non-fragiles. Il y a lieu de cesser de stigmatiser ces jeunes par notamment des discours et titres de presse (tels que « le péril jeune »…) ;

-    la levée des obligations en cours concernant notamment le port du masque (éventuellement les transformer en recommandations) ;

-    un regard vers le paysage oublié des autres patients et notamment ceux atteints de pathologies plus graves que la Covid-19.

À nouveau, rappelons que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé comme un « état de complet bien-être physique, psychologique et social ».

Il est certain que la deuxième vague, de dimensions psychologique - psychiatrique - et sociale, elle, est déjà là. Sous nos yeux. »

 

Ces nouvelles règles susmentionnées décidées en janvier 2022 par la direction du centre hospitalier de Cholet témoignent aussi du caractère infondé du ʺpasseʺ qu’il soit qualifié de ʺsanitaireʺ ou ʺvaccinalʺ.

 

Ces nouvelles règles confirment que l’obligation vaccinale, même ʺdéguiséeʺ, contre la Covid-19 ne repose sur aucun argument sérieux et vérifiable de nature scientifique, médicale, pharmaceutique, ou juridique.

 

La réparation des nombreux préjudices subis par notamment les professionnels de santé (et autres) suspendus à tort s’impose ; a minima.

 

Enfin, il y a lieu de rappeler que les essais cliniques concernant, par exemple, le vaccin contre la Covid-19 des laboratoires BioNTech/Pfizer n’ont pas été construits dans le but d’apporter la preuve d’une efficacité concernant d'une part la prévention des formes « graves » de cette Covid-19, et d'autre part la limitation de la « transmission » virale.

 

 

 





2 commentaires:

  1. Bonjour le CTIAP et merci pour vos articles !

    J'ai une petite question ?
    Après avoir nié (vers la fin des essais sur les vaccins. Hasard ?)

    Maintenant tout le monde s'accorde à dire que chaque variant a ses spécificité, quasiment u nouveau virus à chaque nouvelle mutation significative.

    Pour qu'un même médicament, traite d'autres cibles.
    Ne lui faut il pas une ''extension d'AMM'' ou au minimum la mention ''utilisation Hors AMM'' sur l'ordonnance ?

    Merci encore de votre travail !

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  2. Merci pour votre travail et votre droiture. Il faudrait vraiment pouvoir être écouté rapidement dans les médias traditionnels sur les antennes de radio France notamment Des humoristes (chez Nagui ou Charline Vanhoenacker par exp.) commencent à avoir un discours non complaisant avec le pouvoir. Insistez auprès de ces journalistes !

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