La délinquance, voire la criminalité, en col
blanc, hospitalière et médiatique notamment, semble être l’oubliée de la
tribune des Généraux.
Ce terme de « criminalité »,
vis-à-vis des Français, ayant été employé par notamment le Président du conseil
de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de
l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX.
De nouveaux faits sont enregistrés.
Samedi 1er mai 2021, le CTIAP (centre
territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre
hospitalier de Cholet subit de nouvelles attaques de façon injustifiée. Ces
nouvelles agressions sont l’œuvre de Monsieur Raphael GRABLY qui
se présente, sur le réseau social Twitter (@GrablyR), comme étant « Chef de service tech @BFMTV » en affichant ses « 18,1K Abonnés ».
Je ne connaissais pas ce Monsieur.
L’initiative de Monsieur Raphael GRABLY fait suite
à la publication (reprise), par le journal FranceSoir, de l’article du
CTIAP qui a été publié, ce même 1er mai 2021 et sur le présent site,
sous le titre « Vaccins contre la Covid-19. Déclaration des effets indésirables en pharmacovigilance : la nécessaire rectification des affirmations « inexactes » (contraires à la « loi ») diffusées par le journal « Libération –CheckNews ».
Publiquement, sur Twitter, et en s’adressant à Monsieur Xavier AZALBERT (directeur de la Publication FranceSoir), Monsieur Raphael GRABLY commence ses attaques ainsi : « Et votre source est un blog (@amine_umlil) qui a, il me semble, aucun lien avec @ch_cholet [centre hospitalier de Cholet] ».
Immédiatement, je réagis en informant Monsieur Raphael GRABLY : « Le CTIAP est un service du centre hospitalier de Cholet, comme le montrent plusieurs sources officielles disponibles. Une lecture utile (non exhaustive) : « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19 : Réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet ».
Monsieur Raphael GRABLY poursuit ses attaques :
« Ce que je veux dire, c’est
que vous ne vous exprimez qu’en votre nom, pas au nom du centre hospitalier ».
Déjà, Monsieur Raphael GRABLY semble moins sûr de
ces affirmations initiales : « (…)
un blog (@amine_umlil) qui a, il me semble, aucun lien avec @ch_cholet. ». Ce « Chef
de service tech @BFMTV » ne
dit plus que le présent site n’a « aucun
lien avec » ce centre hospitalier. Mais, désormais, il
s’immisce dans l’organisation interne de l’hôpital public de Cholet.
Je lui explique : « Je m’exprime dans le cadre de mes
fonctions au sein du centre hospitalier de Cholet ; et avec l’indépendance
professionnelle consacrée par la loi. Vos confrères et consœurs locaux
connaissent bien le CTIAP. Voici un extrait de mon Curriculum vitae (C.V.) ».
Mais, Monsieur Raphael GRABLY réitère ses
agressions : « Epinglé
par son propre hôpital » ;
et sous cette phrase, il diffuse une information, pour le moins, « inexacte »
qui est toujours disponible sur le compte Twitter du centre hospitalier de
Cholet. Et pourtant, une réponse circonstanciée avait été
adressée à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier
de Cholet dans ladite lettre ouverte publiée, le 10 avril 2021, sur ce
site. Les manœuvres de cette direction sont donc visibles et vérifiables.
Je lui adresse, à nouveau, cette lettre ouverte en
date du 10 avril 2021 ; en lui précisant : « N’oubliez pas de lire jusqu’au bout ».
J’ajoute : « N’oubliez pas de lire aussi cet article publié par le @courrier de l’ouest sous le titre : « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » ». Cet article date du 18 décembre 2020. J'aurais pu lui transmettre aussi ce supplément paru le même jour, dans ce même journal, sous le titre : « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues » et qui informe de ceci : « Ce n’est pas la première fois que le centre hospitalier de Cholet défraye la chronique des faits divers. Il y a un an, devant le tribunal correctionnel d’Angers, un ancien chef de service avait été jugé et condamné pour avoir réglé ses comptes avec un confrère dans une galerie marchande à coups… d’excréments. (…) ». Concernant la nouvelle « affaire », qui a vu cette représentante de tous les médecins « internée d'office », des explications sont proposées dans un article disponible à la fin de ladite lettre ouverte du 10 avril 2021.
Je poursuis : « Et, votre position de « chef de service tech @BFMTV »
ne vous permet pas de diffuser, auprès du public, des informations « inexactes »
concernant des médicaments (vaccins) tout en portant atteinte à l’honneur et à
la réputation d’un praticien hospitalier et juriste (Droit de la santé) ».
Il réagit ainsi : « J’ai diffusé quoi comme information
inexacte sur les vaccins ? ».
Je lui réponds : « Vous venez de faire quoi en jetant
publiquement le discrédit sur le @ctiap_cholet, un service hospitalier d’information
indépendante sur les médicaments (connu de toutes les autorités ad hoc, du
public, de la presse, etc. depuis plusieurs années) ? Le Droit succédera
au désordre ».
Et lui demande : « Et pourriez-vous porter à ma
connaissance votre Curriculum vitae (C.V.) ? Etant donné que je vous ai
transmis un extrait du mien ? Vous auriez, peut-être, des compétences
particulières qui pourraient vous permettre de « juger », depuis
@BFMTV, la qualité de mon travail ? ».
Il persiste : « J’ai souligné que ne parliez qu’en votre nom, ce qui est,
il me semble, parfaitement juste. Je n’ai absolument rien dit concernant les
vaccins, n’ayant pas de compétence à ce sujet. Vous trouverez mon CV sur
Linkedin ».
Je l’interroge : « Et vous pourriez dire à un « chirurgien »,
par exemple, qu’il opère en « son nom » ? Mais, comment vous
pouvez affirmer des certitudes sans même vérifier des informations au préalable ? ».
Il continue : « J’ai précisé que votre blog n’engageait que vous, pas un
centre hospitalier. C’est un fait. Je vous laisse débattre du reste, qui n’est
pas de ma compétence ».
Ce Monsieur Raphael GRABLY qui se présente, sur le
réseau social Twitter, comme étant « Chef
de service tech @BFMTV », semble totalement ignorer ce qu’est un « praticien hospitalier » et la protection fonctionnelle que ce dernier
tient de son statut. Contrairement à Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du
centre hospitalier de Cholet… Le premier ne fait que réciter les affirmations, pour
le moins, « inexactes » du second.
Il y a lieu de préciser que ce Monsieur Raphael
GRABLY a reçu, en parallèle, plusieurs réponses de la part d’autres personnes qui se sont invitées à ces échanges (dont je vous relate quelques extraits, non exhaustifs, dans la présente réflexion).
Je lui réponds : « Encore une fois, ce n’est pas « mon »
blog. C’est le site du CTIAP, un service hospitalier créé par l’hôpital
lui-même. Je m’exprime dans le cadre de mes fonctions ; ce qui m’engage
ainsi que l’hôpital. Ce site est référencé sur le site internet de l’hôpital. » Et lui transmets le lien vers le site internet du
centre hospitalier de Cholet qui indique parfaitement que le CTIAP est bien un
service de cet hôpital (comme le montrent également d’autres sources officielles).
Et là, Monsieur Raphael GRABLY change son angle
d’attaques : « Il
y a un lien vers votre blog Blogspot là-dessus ? ». Il insiste : « Si vous regardez un peu plus
attentivement vos sources, vous verriez que ce sont deux sites différents :
un site officiel de centre hospitalier vs un compte Blogspot ». Il persiste : « Et il ne me semble pas que le site Blogspot
de monsieur ait un quelconque caractère officiel par rapport au
@ch_cholet. Mais vous allez sûrement me montrer la page du site de l’hôpital
qui redirige vers ce blog ».
Cette succession d’attaques, publiquement tenues
par ce « Chef de service
tech @BFMTV », m’oblige à fournir à ce dernier une
nouvelle pièce (Cf. pièce jointe à la fin de cet article) : un extrait du Guide médical » du centre hospitalier de Cholet. Ce document mentionne
clairement ledit lien réclamé par ce « Chef
de service tech @BFMTV ». Ce
Guide précise notamment ceci :
« Un site intitulé « CTIAP Centre
Hospitalier de Cholet » est disponible : http://ctiapchcholet.blogspot.fr ».
Je lui transmets cette pièce en ces termes : « Ci-dessous, un extrait du « Guide
médical » du centre hospitalier de Cholet : cf. ladite adresse du
site du CTIAP à la fin de cette page. Le directeur aura à répondre de ses manœuvres,
qui me mettent soudainement dans cette position de justification, le moment
venu. Et vous aussi ».
Soudainement, mon agresseur, semble garder le silence.
À Monsieur Raphael GRABLY, j’indique alors : « M. le « chef de service tech
@BFMTV, il reste quoi maintenant après avoir attaqué, publiquement, un service
hospitalier et son responsable de façon injustifiée ? Il reste le FOND de
l’article dont l’analyse objective des preuves officielles proposées vous
serait inaccessible ».
Et propose à Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » ceci : « Concernant ces vaccins c/ la Covid-19, et pour l’intérêt général,
pourriez-vous organiser un débat public, en direct, entre l’un (voire plusieurs)
de vos « experts » @BFMTV et moi ? Eu égard à votre arrogance,
et c’est peu dire, je crois que vous ne pourriez pas refuser ma demande ».
Et là, curieusement, Monsieur Raphael GRABLY semble
se réduire à sa juste dimension en me répondant : « Il y a plein d’intervenants très
compétents qui nous font l’honneur de venir sur le plateau et je ne suis que
chef de service, je n’organise rien du tout :) ».
Je lui précise : « Je vous parle d’un débat contradictoire
et utile justement face à vos « intervenants très compétents ». Car,
on relève des affirmations, pour le moins, inexactes répétées « en chœur »… ».
D’autres personnes l’interpellent sur les éventuels
liens et conflits d’intérêts, de ces « intervenants
très compétents », qui doivent être
déclarés avant toute intervention sur les médicaments (vaccins) auprès du public ; conformément à l’article L.4113-13 du Code de la santé publique.
Une personne s’interroge : « Une citoyenne vous demande pourquoi les
médias ne font-ils pas l’objet de plaintes pour ne pas répondre à leurs
obligations ? Que fait le CSA ?? N’est ce pas de la tromperie aggravee ?? ».
À cette personne, je propose la réponse suivante :
« Je pense qu’ils ont
contribué à diffuser des informations qui ne sont ni claires, ni loyales, ni
appropriées sur le rapport bénéfice/risque de ces vaccins contre la Covid-19 ;
et donc à vicier le consentement de certaines personnes (dans une proportion
qui reste à déterminer) ».
Eu égard aux réponses, sur pièces, que j'ai apportées à Monsieur Raphael GRABLY, « Chef de service tech @BFMTV », ce dernier aurait dû alors, comme tout vrai « Chien de garde de la démocratie » (comme tout vrai journaliste), interroger ainsi et notamment Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet) : pourquoi avoir diffusé des informations, pour le moins, « inexactes » sur le compte Twitter de l’hôpital de Cholet ? Et a minima, il aurait dû me présenter publiquement ses excuses. Pour le surplus, il ne s’est pas non plus interrogé pourquoi ce site du CTIAP comporte une extension dans son libellé : « CTIAP Centre Hospitalier de Cholet » depuis le 20 août 2015 ; et sans jamais voir l’hôpital de Cholet contester un tel libellé.
Au lieu de cela, Monsieur Raphael GRABLY a choisi
de rendre invisibles, à mon regard, ses frappes litigieuses (pensant
sans doute pouvoir échapper à sa responsabilité découlant de ses Tweets
litigieux sauvegardés). Je finis par lui adresser un dernier Tweet :
« Il est « chef de service »
et soutient qu’il « n’organise rien du tout » @BFMTV. Par contre, il
ose s’immiscer dans une organisation hospitalière… en croyant savoir… et tente
de porter, publiquement, atteinte à l’image d’un service hospitalier et à celle
de son responsable. »
Comme cela a déjà été porté à la connaissance de Monsieur
Pierre VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet), les précédents
détracteurs du CTIAP ont immédiatement soit supprimé leur compte, soit
présenté leurs excuses :
« Monsieur Pierre VOLLOT, directeur du @ch_cholet,
je porte à votre connaissance de nouvelles excuses publiquement formulées par l’un
de mes détracteurs, anonymes ; le premier (ledit dénommé(e) « bolus200CH »)
ayant, lui (elle), déjà pris la fuite (compte supprimé) comme vous le savez ». Ces deux cas ne sont que des exemples.
Mais, Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV », lui, pense pouvoir échapper à sa
responsabilité en se cachant derrière son soudain silence ; et en m’interdisant
brutalement, et sans m’en informer préalablement, l’accès à ses Tweets litigieux.
Ce Monsieur Raphael GRABLY « Chef de service tech @BFMTV » ne semble pas avoir mené les vérifications ad hoc préalables
de l’information avant de formuler, publiquement, ces accusations infondées ;
et devant ses « 18,1K
Abonnés ».
Ces accusations injustifiées, fondées sur des
affirmations pour le moins « inexactes » de Monsieur Pierre
VOLLOT (directeur du centre hospitalier de Cholet), ne peuvent
que porter atteinte à l’image d’un service hospitalier d’information
indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) ; ainsi qu’à l’honneur
et à la réputation de son responsable : un pharmacien des hôpitaux,
praticien hospitalier, et juriste (Droit de la santé) : Docteur Amine UMLIL (moi en l’occurrence).
Et surtout, ces attaques cherchent à empêcher
le CTIAP de remplir sa mission affichée d’information indépendante du public,
notamment, sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19.
Le CTIAP est pourtant connu, depuis
plusieurs années, de notamment toutes les autorités ad hoc, du
public, de la presse, du Ministère public, etc.
Ladite lettre ouverte, en date du 10 avril 2021 qui
a été adressée à Monsieur Pierre VOLLOT (directeur du centre
hospitalier de Cholet), est restée sans réponse. Ce dernier a refusé
notamment de retirer son Tweet litigieux. De façon totalement injustifiée, ce dernier continue de nuire à l'image du CTIAP et à celle de mes prérogatives liées à mes fonctions relevant d'une mission de service public.
Pis encore, depuis cette lettre ouverte, je ne
reçois plus la « revue
de presse » quotidienne que cette direction
m’adressait habituellement. Cela ressemble à des représailles en
réponse à ladite lettre ouverte. Mes interrogations, adressées à ce même
directeur, sont, elles aussi, restées sans réponse. Désormais, le CTIAP est donc privé d’une
source d’information qui permettait à ce centre de prendre connaissance des informations
diffusées par la presse auprès du public. Pourtant, cette revue de presse
est financée par le centre hospitalier de Cholet ; et non pas
par le directeur (Monsieur Pierre VOLLOT). Mais, ce dernier semble s’être
approprié l’hôpital de Cholet comme le montrent plusieurs faits enregistrés. Il
se croirait chez lui. Il se sentirait hors-sol.
Monsieur Pierre VOLLOT n’a pas, encore, osé me couper ma messagerie professionnelle comme il l’avait fait, à plusieurs
reprises, il y a quelques années. En effet, à trois reprises, et pendant
plusieurs semaines, j’étais privé de l’accès à mes e-mails professionnels alors
que je suis responsable de notamment la pharmacovigilance et la coordination
des vigilances sanitaires. Les nombreux faits litigieux, commis à mon égard,
par notamment ce directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) sont toujours disponibles
sur mon blog (cette fois, ce dernier pouvant être qualifié de personnel) intitulé
« Analyse citoyenne indépendante » (lui aussi connu de toutes les autorités ad hoc, les juridictions, le public, la presse, etc.). Plusieurs plaintes
avaient d'ailleurs été déposées auprès du Procureur de la République ; avant
que Monsieur Pierre VOLLOT ne vienne solliciter, finalement, l’apaisement en me
demandant de ne pas donner suite à ces plaintes. Ce que j’avais accepté. Depuis,
il m’avait laissé construire des projets intéressants ; et je lui renouvelle, publiquement, mes remerciements pour cela.
Mais, à nouveau, Monsieur Pierre VOLLOT semble
récidiver.
Et pourtant, en plus des faits rappelés dans
ladite lettre ouverte en date du 10 avril 2021, il y a lieu d’ajouter
ce qui suit pour faire taire, définitivement, les détracteurs du
CTIAP et de son responsable (moi en l’espèce).
Le 21 août 2015, « HOSPIMEDIA L’actualité des territoires de santé », un quotidien en ligne lu par notamment la
hiérarchie hospitalière et les établissements de santé, publie un article
intitulé « Le
CH [centre hospitalier] crée un centre territorial d’information indépendante
et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] ».
Dans cet article, il est clairement précisé ceci :
« Un blog sera en outre
prochainement opérationnel » (Cf. pièce jointe à la fin de cet article).
Dès le 11 juillet 2015, et suite à un communiqué
de presse co-signé par Monsieur Pierre VOLLOT (directeur de l’hôpital de
Cholet) et moi-même, le journal Ouest-France
précisait que le CTIAP sera également :
« disponible via internet » (Cf. le premier article du CTIAP, publié le 20 août 2015, sous le titre « Bienvenue » ; puis cliquer sur le lien proposé concernant le lancement, effectif, du projet du CTIAP).
La direction du centre hospitalier de Cholet a déjà
relayé, à plusieurs reprises, des articles publiés sur ce site du CTIAP :
dans ses communiqués de presse, sur le compte Twitter de l’hôpital de Cholet
(@ch_cholet), etc. ; comme le prouvent les exemples suivants :
« Conférence très intéressante sur le médicament, assurée par Mr le Dr Amine Umlil. Les échanges avec le public ont été enrichissants », un Tweet du Centre Hospitalier de Cholet (@ch_cholet) en date du 5 février 2020 qui propose un lien vers l’article publié, le 3 février 2020, par le CTIAP sous le titre : « Avis du public présent. Conférence sur le médicament : les commentaires d’une association de patients, d’un journaliste, et d’un directeur d’hôpital (Joël Doumeau) ». Nos lecteurs sont invités à lire ces commentaire de cette association de patients, de ce journaliste, de ce directeur d’hôpital exerçant au centre hospitalier de Cholet (le plus ancien directeur à l’hôpital de Cholet) ;
Un Tweet de l’hôpital de Cholet, en date du 22
janvier 2020, informant le public ainsi : « « Comprendre le médicament : son
aventure à l’intérieur du corps humain » : Cinquième réunion d’information
indépendante animée par le Dr Amine UMLIL destinée au public : jeudi 30
janvier 2020, Salle Verlaine à 18h @ch_cholet » ;
Un 3ème exemple : le 7 avril 2020, la direction du centre hospitalier
de Cholet (@ch_cholet) « retweete » un Tweet du CTIAP (@ctiap_cholet) :
« Cette réunion (à
distance) est prévue le samedi 11 avril 2020, à 15h ; sur Facebook :
groupe « Conférence CTIAP Centre Hospitalier Cholet ». Les personnes
souhaitant participer à ce moment d’échange sont invitées à rejoindre ce groupe » ;
Un 4ème exemple : un Tweet du
@ch_cholet en date du 5 avril 2019 informant le public d’une nouvelle réunion d’information
indépendante organisée par le @ctiap_cholet et portant sur le rapport
bénéfice/risque du vaccin GARDASIL° ;
Etc.
Le 18 janvier 2016, je porte à la connaissance de
Madame la directrice générale de l’agence régionale de santé (ARS) des
Pays-de-la Loire un article publié sur ce site du CTIAP sous le titre « Essais cliniques et médicaments :
informations d’ordre général ». Deux
jours après, soit le 20 janvier 2016, ce même directeur (Monsieur Pierre
VOLLOT) m’écrit ceci :
« Docteur,
J’ai lu avec intérêt votre article et vous en
remercie.
Cordialement.
Le Directeur
Pierre VOLLOT »
Suite à la publication d’autres articles sur ce
même site du CTIAP, ce même directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) m’écrit encore
ceci dans un e-mail en date du 31 août 2016 :
« Bonjour docteur,
Vos 2 derniers articles sont interessants, clairs
et précis.
Cordialement. P. Vollot »
Suite à la reprise, par plusieurs organes de
presse, de certains articles publiés sur ce site du CTIAP, ce même directeur
(Monsieur Pierre VOLLOT) m’écrit à nouveau l’e-mail suivant en date du 14 mai
2018 :
« Merci Docteur pour ces articles.
Je vous confirme par ailleurs mon accord de
principe pour votre doctorat [en Droit], selon des modalités à préciser.
Bien cordialement.
Le Directeur
Pierre VOLLOT »
Le 23 novembre 2017, une pharmacienne, et ancienne Présidente de l’Ordre
national des pharmaciens, m’écrit : « Absolument bravo ! ».
Le même jour (23 novembre 2017), un Conseiller au
cabinet de Madame la Ministre des solidarités et de la santé m’adresse ceci : « Je voulais juste vous remercier pour
vos messages et vous assurer que, même s’il est parfois difficile de répondre à
tous les courriels, qui sont nombreux, nous avons bien reçus les éléments que
vous avez envoyés et que nous vous en remercions ».
Le 14 octobre 2017, une journaliste, ayant assisté à la première réunion d’information indépendante du CTIAP portant sur l’« affaire LÉVOTHYROX° », m'écrivait ceci :
« Bonjour
Merci à vous pour votre exposé très clair et
très pertinent, qui a fait beaucoup de bien à de nombreuses personnes. Votre
attitude respectueuse a été saluée.
J’ai d’ailleurs écrit un article dans la
foulée, qui devrait paraître en début de semaine prochaine.
Bon week-end
(…) »
Mais,
lorsque le CTIAP souhaite informer le public sur le rapport bénéfice/risque des
vaccins contre la Covid-19, soudainement, cette même direction du
centre hospitalier de Cholet soutient publiquement l’invraisemblable ; et
sans gêne aucune.
La direction du centre hospitalier de Cholet, et
notamment Monsieur Pierre VOLLOT (directeur), est parfaitement informée de ces
nouvelles attaques. Elle les contemple ; au lieu d'intervenir dans le but de protéger le CTIAP et son responsable.
Face à ces agressions, de quelques personnes minoritaires
d’ailleurs, le CTIAP reçoit énormément de témoignages écrits de soutien,
et par différents moyens, de la part de ses lecteurs dont certains sont
nouveaux ; et nous leur renouvelons, publiquement, nos remerciements. Cela
est illustré par les quelques exemples suivants qui ont été également portés à
la connaissance de ladite direction de l’hôpital de Cholet ; et en particulier à celle du directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) :
« Au lieu de défendre votre praticien
hospitalier, vous préférez le livrer en pâture aux hyènes se délectant des commentaires
haineux, souvent anonymes. Laissez la place à une science avec conscience,
comme celle du Dr Umlil. Ses publications et son travail intègres en témoignent. » ;
« @ch_cholet Honte à vous ! Vous
aviez la possibilité d’être reconnu pour une réelle intégrité avec le docteur
Umlil. Vous avez préféré baisser la tête. Vous ne faites honneur à vos soignants
en agissant ainsi. Respect @amine_umlil » ;
« Inadmissible. CH Cholet devrait au
contraire vous mettre en avant, être fier et porter haut votre intégrité
scientifique. L’hôpital de Cholet est dans l’erreur. Vous êtes lu, compris et
reconnu par bcp de soignants. Respect et soutien à vous. Honte à eux ! » ;
Etc. (une longue liste est disponible).
La crédibilité du CTIAP jaillit également de
l’intérêt que des Avocats, notamment, accordent à ses
publications. Comme le montre le nouvel exemple suivant ; un article
publié le 19 avril 2021 sous le titre : « Covid-19 – Vaccination : Rétablir la confiance par une réelle transparence ».
Alors, le moment venu, les détracteurs du CTIAP, et
mes agresseurs, auront à répondre de leurs agissements devant les organes ad hoc. Tout comme les serviteurs de ce
régime qui semblent ignorer que tout agent public ne doit pas exécuter des
ordres manifestement illégaux de nature à compromettre gravement l’intérêt
public. Tout comme les responsables des structures de contrôle,
de régulation et de sanction qui étaient censés intervenir pour mettre un terme
à ce trouble dans un hôpital public.
N.B. : Et sans même évoquer les autres « affaires » telles que celles décrites (ci-dessus) dans l’article publié, le 18 décembre 2020, par le Courrier de l’Ouest sous le titre : « Cholet. Internée d’office, la médecin accuse l’hôpital d’avoir voulu la faire taire » ; avec un supplément sous le titre « Cholet. Au centre hospitalier de Cholet, des relations hiérarchiques tendues ».
Par ailleurs, dans ce même centre hospitalier de
Cholet, s’est produit aussi un autre événement rare dans un hôpital
public : démissions, soudaines et groupées, des membres de la commission
médicale d’établissement (CME) : l’instance, composée notamment par
des médecins, pharmaciens, sages-femmes élus… et présidée par ladite médecin « internée d’office » et qui a, selon cet article de presse, porté « plainte fin août pour faux,
usage de faux et séquestration ».
L’article indique que ce médecin a été « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête » (cf. mon analyse de cette « affaire » dans un article disponible à la fin de ladite
lettre ouverte du 10 avril 2021 qui a été adressée au directeur de l'hôpital de Cholet (Monsieur Pierre VOLLOT)).
Mais, rien que ces démissions, soudaines et groupées,
des membres de la CME auraient dû conduire les autorités ad hoc à diligenter une enquête de l’inspection générale
des affaires sociales
(IGAS) comme cela s’est fait dans un autre
établissement.
Depuis au moins 2005, toutes mes demandes, réclamant une telle inspection de l’IGAS, sont restées sans réponses. Aujourd'hui, une telle inspection n'aurait plus aucun sens puisque la gravité de la situation, vérifiable sur pièces, a été même admise, et publiquement, par notamment le Président du conseil de surveillance du centre hospitalier de Cholet, Maire de Cholet, Président de l’agglomération du choletais, Député honoraire, Monsieur Gilles BOURDOULEIX qui a employé ledit terme de « criminalité » vis-à-vis des Français. Et comme le révèle mon deuxième livre intitulé « Médicament : recadrage. Sans ton pharmacien, t'es mort ! », dès 2004, ladite IGAS sollicite ma contribution dans le cadre d'une enquête pénale diligentée suite au décès d'un enfant : les inspecteurs avaient découvert mes alertes adressées aussi bien au laboratoire pharmaceutique concerné qu'à l'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS ; actuellement ANSM : agence nationale de sécurité du médicament). Ces inspecteurs m'ont écrit ceci : « Bonjour, nous avons bien reçu votre envoi et nous vous en sommes très reconnaissants. Bien à vous ».
Alors, oui, la tribune des Généraux semble
avoir occulté cette délinquance, voire criminalité, en col
blanc, notamment hospitalière et médiatique. Et le présent article ne
présente qu’un exemple ; les faits, ci-dessus décrits, n'étant pas exhaustifs.
Enfin, à nouveau, nous invitons nos fidèles
lecteurs à prendre connaissance, avec attention, du contenu de la huitième
Conférence du CTIAP tenue, le 27 avril 2021, et ayant pour thème : « Vaccins contre la Covid-19 : un doute sérieux sur la validité du consentement ? (suite aux recours de plusieurs citoyens auprès du Conseil d’État) ».
Docteur Amine UMLIL
Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier
Juriste (Droit de la santé)
Extrait du Curriculum vitae (C.V.)
Les deux pièces jointes (citées dans l’article
ci-dessus) :
Extrait du « Guide médical »
du centre hospitalier de Cholet :
Article d’HOSPIMEDIA « Le CH [centre hospitalier] crée un centre territorial d’information
indépendante et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] », le 21 août 2015 :
Bonjour Docteur, il est toujours intéressant de constater ces mille et une petites attaques quotidiennes contre tout ce qui pourrait ressembler à un pas de coté, même étayé d'une expertise irréfutable, par rapport à la doxa du moment, qui est elle-même fort variable.
RépondreSupprimerOn remarquera aussi la vieille technique rhétorique utilisé par ce "Chef de service tech @ bfm" qui tente de discréditer le message plutôt que le messager.