Il y a quelques mois,
trois décès ont été notifiés à la pharmacovigilance suite à l’administration d’un
protocole à base de cyclophosphamide (ENDOXAN®).
Le mystère était
resté entier.
Mais, récemment, une
source me permet de lire que « l’accident »
serait « de type « aléa
thérapeutique » lié à l’association
décalée dans le temps de deux produits ayant conduit à une cardiotoxicité aiguë non identifiée
jusque-là à son juste niveau de dangerosité
par la communauté scientifique internationale. »
C’est un nouvel
exemple qui rappelle le raisonnement
proposé suite aux récents décès de patients ayant été traités, cette fois, par
le docétaxel (TAXOTERE®). Dans ce cas, la question que j’avais soulevée était :
« a-t-on pensé à l’hypothèse d’un effet rémanent d’un autre médicament pris avant le Docétaxel ? ».
D’ailleurs l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) a fini par lever
la suspension de ce produit et s'est orientée vers l’encadrement des pratiques.
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