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mardi 27 juillet 2021

« Effets indésirables » des vaccins contre la Covid-19 : le nouvel « aveu » du Ministre des solidarités et de la santé (Monsieur Olivier VÉRAN)

 

Dans ses précédentes analyses concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet a déjà mis en évidence les affirmations, pour le moins, inexactes que le Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN, a publiquement tenues.

 

Par exemple, il suffit de se référer à l’article du CTIAP qui a été publié, le 14 juillet 2021, sous le titre « Vaccins contre la Covid-19. Allocution du Président de la République du 12 juillet 2021, 20h : Emmanuel MACRON oublie de révéler aux Français ce que le Ministre de la santé (Olivier VÉRAN) a écrit au Conseil d’État ? ».

 

Et le 23 juillet 2021, dans un message publié sur le réseau social Tweeter, le journal Le Parisien est venu livrer une information capitale concernant les effets indésirables. Selon ce journal, Monsieur Olivier VÉRAN aurait affirmé notamment ce qui suit :





 


« Olivier Véran a cherché à rassurer sur les vaccins :

 

« Si les effets secondaires [indésirables] n’apparaissent pas après 2 à 6 mois d’utilisation, il n’y a pratiquement aucun risque qu’ils surviennent plus tard. Il n’y a aucun risque d’infertilité. » »

 

Or, comme cela a été rappelé lors de la huitième conférence du CTIAP en date du 27 avril 2021, trois jours après l’attribution de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) « conditionnelle » au vaccin COMIRNATY° des laboratoires BioNTech/Pfizer, la haute autorité de santé (HAS) a écrit, le 24 décembre 2020, notamment ceci :

 

« Les résultats des études cliniques ont un recul de 1,5 mois. »

 

Ce vaccin a donc été mis sur le marché et utilisé chez des milliers - des millions, voire des milliards - de personnes sans attendre les « 6 mois d’utilisation » évoqués par Monsieur Olivier VÉRAN.

 

Pourtant et dès ce mois de décembre 2020, et dans le but d’extirper le consentement des personnes, le message qui avait été diffusé à la population, française notamment, consistait à dire que ce vaccin était « sûr et efficace ». Alors qu’en réalité, le Ministre de la santé, lui-même, avoue en ce mois de juillet 2021 - soit quelques mois plus tard - qu’il faut au moins « 6 mois d’utilisation » pour voir apparaître les éventuels effets indésirables.

 

Ce nouvel aveu du Ministre des solidarités et de la santé pourrait être traduit de la façon suivante : ce vaccin a été administré à des personnes humaines sans connaître le profil des effets indésirables (du moins à moyen et à long terme).

 

La question fondamentale reste toujours la même : les personnes vaccinées ont-elles été informées de ce délai de « 6 mois d’utilisation » nécessaire à l’identification desdits effets indésirables ?

 

Par cette nouvelle révélation, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé est venu contredire également les affirmations, elles aussi inexactes, de notamment certains professionnels de santé qui ont avancé un délai limité à « 2 - 3 mois ».

 

En réalité, des effets indésirables pourraient survenir au-delà même de ce délai de « 6 mois ». À ce jour, il est difficile de prédire le profil réel des effets indésirables de ces vaccins contre la Covid-19.

 

En effet, et par exemple, comment Monsieur Olivier VÉRAN peut-il affirmer qu’« il n’y a aucun risque d’infertilité » alors même que les enfants, notamment, qui se vaccinent aujourd’hui ne sont pas en âge de procréer ?

 

Comment Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé peut-il deviner ce qui peut arriver, par exemple, chez les enfants nés de mères actuellement vaccinées alors qu’elles sont enceintes ?

 

Depuis le début de cette vaccination contre la Covid-19, des affirmations inexactes sont diffusées auprès du public : elles concernent aussi bien le bénéfice que le risque de ces vaccins.

 

Ces méthodes heurtent notamment notre corpus juridique qui est composé de textes nationaux (français), régionaux (européens) et internationaux.

 

Ce dossier est inédit.

 

 






5 commentaires:

  1. Le vaccin passe t-il la barrière placentaire? si oui, doit-ont s'attendre à des souffrances fœtales ou autres effets secondaires, une femme enceinte a t'elle le droit de refuser la vaccination? Merci à vous

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    1. comme cette injection diffuse (= ne reste pas au point d'injection) tout est possible, d'autant que ce n'est pas un virus atténué qui est injecté mais bien une partie synthétisée (pour patenter une trouvaille il faut qu'elle n'existe pas sous la forme mise sous patente dans la nature donc on reprend le gène naturel et on le synthétise pour le mettre sous patente, soit une manipulation supplémentaire)de génome de ce virus. On nous injecte une partie génétique de virus, et il doit bien y avoir un but recherché à cela... que notre corps y réagisse, non? Hors des chercheurs ont remarqué que la polymérase thêta( impliquée dans la détection et la réparation en cas de rupture ou d'erreur dans les brins d'ADN) partagent certaines de ses “mauvaises” qualités avec la transcriptase inverse, une enzyme qui est capable de convertir l’ARN en ADN, que l’on peut retrouver notamment dans le VIH. Ces enzymes sont utilisées pas les rétrovirus qui contiennent de l'ARN.D'ailleurs lors des études préalable à cette injection les patients SIDA ont été traités différemment des techniques utilisées sur les autres "cobayes", cela n'était certainement pas sans raisons.
      Si ce produit migre il le peut dans l'ensemble du corps d'autant que la barrière placentaire n'est pas équipée pour filtrer les produits ADN (les virus ADN toxoplasmoses et autres rubéoles la passent par ex.).
      Il est á noter que les notices des emballages spécifiaient la nécessité de se protéger de grossesse possible en cas d'injection de ce produit. Que se passera-t-il si le vaccin a lieu en cours de grossesse ... ? En tous cas de nombreuses jeunes femmes ont signalé des problèmes de règles grandement perturbées suite à l'injection (aménorrhées, ménorragies, hyperménorrhées ...) ce qui est pour le moins suspect d'avoir un impact sur l'organe reproducteur... toutefois il y a suspicion d'effets immuns comme causant ces effets, l'immunité étant touchée - effets négatifs- les règles qui en dépendent seraient perturbées. il y a aussi eu pas mal de fausses-couches directement suite á l'injection ...
      Bref, la messe n'est pas dite mais malgré les injonctions des autorités officielles à se faire injecter en cours de grossesse, il serait bon de réfléchir à deux fois avant de se décider á le faire car aucune étude ni connaissance n'est acquise á ce jour pouvant assurer de l'innocuité de cet acte envers la mère (immunité fragilisée avec risque infectieux renforcé?)ni de son enfant (stérilité á l'age adulte). Pensez á la thalidomide qui dans les années 70-80 était considérée comme sans risque durant la grossesse...

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  2. Nous devons attaquer le mensonge.

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  3. des femmes enceintes qui sont injectés par ses produits ont pour certaines fait des fausses-couches (je n'ai pas le %). Certaines études ont décelé que le produit se diffusait dans le lait maternel. Donc, le bébé sera directement exposé. C'est horrible.

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  4. Il se dit tout et n'importe quoi ! Comment voulez vous que nous les réfractaires au vaccin soyons rassuré quand les représentants du gouvernement mentent de façon aussi éhonté sur les effets indésirables des vaccins ! Je honnis ce gouvernement qui manipule les Français et impose des mesures policières pour nous obligé a tous nous vaccinés !

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