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vendredi 17 septembre 2021

Pharmacologie sociale à l’ère de la Covid-19. « Journal d’un condamné, sans procès équitable, à la peine capitale psychologique » : J+2, vendredi 17 septembre 2021

 

La prescription politique et médiatique de l’obligation vaccinale a conduit à la suspension de plusieurs professionnels de santé ainsi que d’autres professionnels relevant d’autres professions. C’est un fait de société qui trouve sa source dans la divergence d’interprétation des normes médicale, pharmaceutique et juridique notamment. Incontestablement, un tel sujet relève de la pharmacologie sociale dont une introduction vous est proposée dans l’article publié, le 7 juin 2020, dans le journal Le Point.

Ce vendredi 17 septembre 2021 consacre mon deuxième jour de suspension automatique. Ma rémunération est interrompue depuis deux jours. Et, je suis interdit de tout travail rémunéré. Je continue donc de vous proposer des réflexions à titre gratuit et à distance.

D’abord, j’aimerais vous remercier infiniment pour les très nombreux messages de soutien et de générosité que j’ai reçus en provenance de différents territoires français, et sous diverses formes aussi touchantes les unes que les autres ; dont certaines vont même jusqu’à s’inquiéter de ma situation financière.

Afin de ne pas rompre le lien, fort, qui, désormais, unit le CTIAP à ses lecteurs, il semble utile de suivre l’évolution des événements. D’où l’instauration de ce « Journal d’un condamné, sans procès équitable, à la peine capitale psychologique » en référence à l’image que j’ai proposée dans ma réponse, en date du 15 septembre 2021, au courrier du directeur (Monsieur Pierre VOLLOT) du centre hospitalier de Cholet en date du 14 septembre 2021.

Et surtout, cette idée cherche à continuer de donner de l’espoir à plusieurs de mes collègues, quelle que soit leur profession, qui m’ont témoigné leur grande souffrance en pareilles circonstances.

Aujourd’hui, j’ai quelques nouvelles à porter à votre connaissance.

 

Sur la chaîne de télévision CNEWS, Madame le docteur Brigitte MILHAU avoue ce que le CTIAP vous disait avant même la mise sur le marché des vaccins contre la Covid-19

 

Sur cette chaîne, ce médecin admet enfin : « À ceux qui disent effectivement que le vaccin est toujours en phase d’expérimentation, oui vous avez raison, il est toujours en phase d’expérimentation ».

Elle précise : « Je vous rappelle tout de même que le vaccin Moderna à ARN est en phase d’expérimentation jusqu’en octobre 2022 ; et le Pfizer sera toujours en phase d’expérimentation jusqu’au 2 mai 2023. Donc oui, on en a pour un moment ».

Mais, elle tente de justifier, ce qui a été jusqu’à présent caché à la population, par un argument irrecevable. Elle affirme que c’est « pour de bonnes raisons : c’est sérieux et c’est pour votre sécurité ». Une justification qui signe, presque mécaniquement, la négation du consentement libre et éclairé ; qui est, pourtant, mis au rang des libertés fondamentales et relié à la dignité de la personne humaine. Cette justification est d’autant plus irrecevable que ce consentement est renforcé lors d’une telle « expérimentation » impliquant des personnes humaines : des milliards de personnes.

Sur l’une des agences de presse du Gouvernement, un médecin contredit donc Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé notamment. Alors, si c’est CNEWS qui le dit, je pourrais être rassuré : désormais, les données acquises de la science se dictant sur les plateaux de télévision.

L’un des articles du CTIAP publié, le 5 juillet 2021 sous le titre « Vaccins contre la Covid-19. Le consentement libre et éclairé : « un frein à l’expérimentation médicale », « un obstacle à l’obligation vaccinale » (par Philippe SÉGUR, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan », mérite une nouvelle lecture.

Dès le 12 novembre 2020, le CTIAP vous alertait : « Vaccin contre la Covid-19 : ce que la population devrait savoir ».

Mais, le CTIAP a été la cible de plusieurs attaques ; telles que celle formulée par l’Agence France Presse (AFP) – Factuel et par l’AFP. Mais, désormais, l’AFP semble s’intéresser aux articles du CTIAP.

 

Une journaliste de l’Agence France Presse (AFP) m’écrit

 

Je suis surpris de découvrir la correspondance qui m’est adressée par une journaliste de l’AFP ; alors que je suis désormais suspendu. Elle semble s’intéresser aux articles du CTIAP et sollicite des informations sur l’un des articles.

Ce qui m’a permis de lui adresser la réponse suivante :

 

« Bonjour Madame,

Je vous remercie pour votre message (…) et de l’intérêt que vous semblez porter aux articles du CTIAP.

Je ne refuse pas de vous livrer les informations sollicitées.

Mais, au préalable, je souhaite savoir pourquoi l’AFP-Factuel avait publié un article concernant le CTIAP et me concernant ; alors même que je n’ai jamais été contacté, ni même informé de la parution dudit article. De même, ma réponse contradictoire, en date du 8 mai 2021, n’a suscité, non plus, aucun intérêt de la part de l’AFP-Factuel et de l’AFP.

Serait-il possible de voir l’AFP rectifier ce que je peux, encore, considérer comme une erreur ?

Dans l’attente de votre réponse,

Bien à vous,

(…). »

 

Le directeur, Monsieur Pierre VOLLOT, m’écrit, lui aussi, à nouveau. Et plus que ça même...

 

Deux « courriers RAR [recommandé avec avis de réception] » datés du 15 septembre 2021, jour de ma « suspension », me sont adressés par Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier de Cholet ; le premier me fixe une mission impossible ; le second m’enjoint :

 

« Aussi, au titre de mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai décidé que le blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu inaccessible au public à effet immédiat »… Alors qu’il n’a cessé d’affirmer à ce public que ce blog était « mon » blog « personnel »

 

Premier courrier recommandé

 

Le premier courrier m’indique : « (…) je vous informe que vous êtes suspendu à compter de ce jour, mercredi 15 septembre 2021 (Décision jointe) ».

Il me rappelle : « Vous avez déjà été informé des conséquences de la décision de suspension, notamment par courrier du 14 septembre 2021 (…) que la suspension emporte notamment interdiction d’exercice et privation de toute rémunération ».

Et, il m’« invite à vous [me] présenter à un entretien, à mon [son] bureau, jeudi 16 septembre 2021 à 10h00, pour (…) [l’]informer du mode de régularisation que vous avez [j’ai] retenu et faire le point sur votre [ma] situation au regard de l’obligation vaccinale COVID 19, sauf à ce que vous ayez clarifié votre [ma] position avant cette date ».

 

Il m’adresse donc un courrier en recommandé le 15 septembre 2021 qui, au mieux, arrivera le 16 septembre 2021 dans la journée ; afin que je me présente à un « entretien » dès le matin, à 10h00, de ladite journée du 16 septembre.

 

Le 17 septembre 2021, je découvre l’existence de ce courrier en consultant ma boîte e-mail personnelle. J’y découvre l’e-mail que Pierre VOLLOT m’a adressé le 15 septembre à 14h36. Dans cet e-mail, il m’indique une chose étrange :

 

« Docteur,

L’assistante de direction s’est présentée à votre bureau à 13h20 pour vous remettre en main propre une décision de suspension (…) Elle a aussi tenté de vous joindre à 13h51 par téléphone [de mon bureau à l’hôpital].

Du fait de votre absence, ce courrier n’a pu être remis en main propre. C’est pourquoi je vous l’adresse par messagerie électronique en pièce jointe, que vous recevrez par ailleurs par voie postale avec accusé de réception.

(…). »

 

« Du fait de votre [mon] absence » ?

 

Je croyais que j’étais « automatiquement interdit d’exercer votre [mon] activité » et que cette « suspension emporte interdiction (…) de vous [me] rendre sur votre [mon] lieu de travail » comme cela m’a été enjoint par le même Pierre VOLLOT dans son courrier en date du 14 septembre 2021 et auquel il renvoie dans son courrier du 15 septembre 2021.

 

Si vraiment Pierre VOLLOT voulait me joindre par « téléphone », pourquoi ne m’a-t-il pas appelé sur mon portable personnel ? Comme il m’a adressé un e-mail sur ma boîte personnelle.

 

Ce 15 septembre 2021, deux heures après, soit à 16h36, Pierre VOLLOT m’adresse également un second e-mail.

 

Second courrier recommandé

 

Et donc à 16h36, le directeur m’adresse ce second e-mail :

 

« Docteur,

Je vous prie de trouver ci-joint copie du courrier qui vous a été adressé ce jour par voie postale.

(…). »

 

L’« Objet » de ce courrier indique : « Dysfonctionnement CTIAP ».

 

Dans ce courrier, Pierre VOLLOT soutient :

 

« Docteur,

De nombreux dysfonctionnements m’ont récemment été signalés concernant le contenu du blog (…) [lien vers le CTIAP] du Centre hospitalier de Cholet.

Ainsi, les articles les plus récents de ce blog ne correspondent absolument pas à la communication définie originellement pour le CTIAP et, en particulier, présentent un caractère insuffisamment informatif sur le plan scientifique (voire ne contiennent strictement aucun avis de nature pharmaceutique) et ont un contenu clairement polémique.

Certains articles usent de termes outranciers et irrespectueux qui sont totalement inadaptés à la communication informative d’un établissement public de santé.

De plus, plusieurs articles remettent gravement en cause la politique et l’action des pouvoirs publics en matière de lutte contre la pandémie de la COVID 19 et vont même jusqu’à contester la loi relative à l’obligation vaccinale contre la COVID 19 (loi du 5 août 2021) et à recommander aux personnels de contester son application.

 

D’autres articles font état de différends personnels et internes de leur auteur avec la Direction de l’établissement et de critiques vives à l’encontre de la note de service transmise au personnel et relative à la mise en œuvre de l’obligation vaccinale au Centre hospitalier de Cholet.

De tels articles du blog (…) [lien vers le CTIAP] portent atteinte à l’image et à la réputation du Centre hospitalier de CHOLET et de ses soignants (tant en interne auprès des patients et du personnel qu’au-delà de l’établissement notamment auprès des pouvoirs publics et des professionnels de la santé).

D’ailleurs, ces articles publiés au nom du CTIAP impliquent l’établissement et ses soignants dans la polémique relative à la vaccination contre la COVID-19, et donnent même largement l’impression que l’établissement et son personnel sont opposés aux actions décidées et mises en œuvre actuellement par les pouvoirs publics pour lutter contre la pandémie notamment par la vaccination.

 

Cette situation s’est particulièrement aggravée depuis un mois et doit cesser immédiatement.

 

Aussi, au titre de mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai décidé que le blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu inaccessible au public à effet immédiat.

 

En parallèle, je charge la direction de la communication en lien avec le service informatique de réfléchir aux modalités pratiques et techniques de l’hébergement d’une communication numérique adaptée aux missions du CTIAP.

 

En conséquence, je vous prie de bien vouloir immédiatement :

-       mettre hors ligne le blog (…) [lien vers le CTIAP] pour rendre sa consultation impossible par les utilisateurs d’internet,

-       remettre à la direction de la communication et au service informatique les codes d’accès et d’administration du blog (…) [lien vers le CTIAP] et les informations techniques utiles pour son administration au nom du centre hospitalier,

-       remettre à Madame (…) directrice adjointe chargée de la communication et Monsieur (…), responsable du service informatique la liste et le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament répondant à la mission du CTIAP.

A ce sujet, avec les représentants de la CME [commission médicale d’établissement] nous aurons très prochainement l’occasion de nous réunir avec vous, pour mettre à plat le fonctionnement du CTIAP et notamment préciser ses modalités de communication.

 

Pour conclure, je vous invite à me faire des propositions adaptées concernant la communication du CTIAP.

 

Je vous prie d’agréer, Docteur, l’expression de mes salutations distinguées.

 

Le Directeur,

Pierre VOLLOT. »

 


Que dire ?

 

Souvenez-vous…

 

Le directeur, Monsieur Pierre VOLLOT, me suspend, me prive de ma rémunération, m’interdit toute autre activité rémunérée. Mais, il me donne des tâches à accomplir.

 

Je ne m’attendais pas à une telle prose. Car, le 6 août 2021, alors que j’étais en congés annuels, Pierre VOLLOT m’a menacé de « sanctions disciplinaires » et de « poursuites pénales » en me dénonçant, de façon injustifiée, au CNG (centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière) qui est l’autorité investie du pouvoir de sanction des praticiens hospitaliers et des directeurs.

 

Et le 13-14 août 2021, le journal Le Courrier de l’Ouest est venu s’associer au lynchage public ciblant le CTIAP et son pharmacien responsable.

 

Dès le 28 juillet 2021, le journal FranceSoir publie un article sous le titre « L’Hôpital de Cholet prive ses visiteurs d’accès au service de pharmacovigilance et CTIAP puis modifie ».

 

Le 12 août 2021, FranceSoir publie un nouvel article intitulé : « Le Dr Amine Umlil, pharmacologue et juriste, intimidé par sa direction ».

 

Désormais, Pierre VOLLOT avoue que le CTIAP et son blog font bien partie intégrante du centre hospitalier de Cholet : « (...) concernant le contenu du blog (…) [lien vers le CTIAP] du Centre hospitalier de Cholet ».

 

Alors que depuis le mois d’avril 2021, il n’a cessé de soutenir publiquement, sur notamment le réseau social Twitter, que le blog du CTIAP était « mon » blog « personnel » qui n’avait aucun rapport avec l’hôpital de Cholet ; en me livrant aux insultes et aux injures de mes détracteurs sur ce réseau social.

 

Manifestement, ma réponse circonstanciée en date du 23 août 2021, accompagnée de ses pièces jointes, que j’ai adressée notamment audit CNG et au Procureur de la République s’avère totalement fondée ; laissant, à nouveau, mon détracteur (Pierre VOLLOT) sans issue.

 

Alors, il récidive autrement, avec les mêmes reproches qui ne citent aucun fait précis et qui se contentent de nourrir une appréciation d’ordre général. Des griefs qui sont totalement infondés et qui pourraient être qualifiés de projection.

 

Il tente donc de m’intimider à nouveau avec son soi-disant « pouvoir d’organisation du service ». Son but est clair : priver les lecteurs du CTIAP d’une information, claire, loyale, appropriée et indépendante ; et par conséquent, les priver d’un droit qui conditionne la validité de leur consentement libre et éclairé dans le cadre de l’actuelle vaccination contre la Covid-19 : « Aussi, au titre de mon pouvoir d’organisation du service, je vous indique que j’ai décidé que le blog (…) [lien vers le CTIAP] doit être mis hors ligne et rendu inaccessible au public à effet immédiat ».

 

Son but est très clair. Il veut empêcher le CTIAP de révéler les informations inexactes et les contradictions, desdits pouvoirs publics, qui ont été diffusées auprès de la population : « De plus, plusieurs articles remettent gravement en cause la politique et l’action des pouvoirs publics en matière de lutte contre la pandémie de la COVID 19 ».

 

Monsieur Pierre VOLLOT ne semble toujours pas avoir compris qu’il n’y a rien de plus puissant qu’une idée venue à maturité. Et cette idée siège dans mon respect et ma fidélité, absolus, au Serment de Galien notamment. Et que ʺsonʺ pouvoir cède face à mon indépendance professionnelle qui est là non pas pour mon confort personnel, mais pour « la protection du public ». Il s’agit de protéger les personnes humaines dont la vie et l’intégrité physique et morale peuvent être menacées par des choix faits par des Administrations publiques, notamment. Et mes affirmations sont extraites de notamment les écritures de l’Ordre national des pharmaciens. Mon indépendance professionnelle est non négociable.

 

Il est stupéfiant de voir un directeur administratif s’ériger en juge du pharmacien : « Ainsi, les articles les plus récents de ce blog ne correspondent absolument pas à la communication définie originellement pour le CTIAP et, en particulier, présentent un caractère insuffisamment informatif sur le plan scientifique (voire ne contiennent strictement aucun avis de nature pharmaceutique) et ont un contenu clairement polémique ».

 

Il me demande donc de confier la gestion de ce qu’il qualifiait de « mon » blog « personnel » à la « directrice adjointe chargée de la communication et Monsieur (…), responsable du service informatique ».

 

En réalité, et sauf évolution que j’ignore, cette « directrice adjointe chargée de la communication » est une « cadre faisant fonction de directrice adjointe ». Dès son arrivée au centre hospitalier de Cholet, elle a pris l’initiative de vider de sa substance le site intranet de l’hôpital dont je suis le concepteur au niveau fonctionnel et que j’ai créé pour la coordination des vigilances sanitaires ; l'une de mes autres responsabilités. Comme tous les autres dossiers qui m’ont été confiés, ce site intranet avait apporté à l’établissement le maximum de points lors des visites de certification menées par les experts de la Haute autorité de santé (HAS). Mais, désormais, ce site intranet nous livre un proverbe par jour et nous informe sur le repas du jour au self, la météo, les tournois de pétanque, la fête de la musique, etc. Et, Pierre VOLLOT me demande de lui « remettre (…) les codes d’accès et d’administration du blog (…) [lien vers le CTIAP] et les informations techniques utiles pour son administration au nom du centre hospitalier » ainsi que « la liste et le contenu des articles informatifs relatifs au mésusage du médicament répondant à la mission du CTIAP »

 

Puis, Monsieur Pierre VOLLOT m'invite à se « réunir » avec les soi-disant « représentants de la CME [commission médicale d’établissement] (…) pour mettre à plat le fonctionnement du CTIAP et notamment préciser ses modalités de communication ». Des ʺreprésentantsʺ élus avec une procédure illégale ; une telle illégalité est reconnue par Pierre VOLLOT, lui-même, dans ses propres réponses qu’il m’avait adressées suite à mes nombreuses alertes. Une petite « bande locale », déguisée en « blouses blanches » et dont les méthodes pourraient être comparées à celles d’un « système mafieux » ; comme j’ai pu le soutenir, à plusieurs reprises, auprès des autorités et des juridictions ad hoc notamment.

 

Et la plus belle preuve, de ce fonctionnement défectueux et dangereux pour les patients, est celle qui a été révélée par un journaliste du Courrier de l’Ouest ; et que je résume dans un article publié, le 16 février 2021, sur mon blog personnel, cette fois, sous le titre : « Retrait du maire de Cholet du conseil de surveillance du centre hospitalier : lettre ouverte à Monsieur Gilles BOURDOULEIX, maire de Cholet ».

 

Le maire, lui-même, parle de « criminalité ».

 

Et la présidente de cette CME a été, selon ledit article du Courrier de l’Ouest, « ficelée dans son bureau » par « plusieurs personnes » qui lui ont « mis un drap sur la tête »… avant d’être expédiée, le « 31 mars » 2020, vers « l’hôpital Saint-Jacques du CHU de Nantes » : un hôpital psychiatrique. Au moment de ces faits, et en pleine crise liée à la Covid-19, il me semble que ce médecin était également le chef de service de réanimation… Selon le Courrier de l’Ouest, ce médecin « a porté plainte (…) pour faux, usage de faux et séquestration ».

 

Cette même « bande locale » qui a géré la vaccination contre la Covid-19…et dont le « chef » me propose une réunion avec elle...

 

Et le directeur, Pierre VOLLOT, qui vient de me propulser dans une situation inédite, m’écrit : « nous aurons très prochainement l’occasion de nous réunir avec vous ».

 

Je ne serais plus le pestiféré qu’il vient de jeter dans les oubliettes pour une durée indéterminée ; sans procès équitable, ni même un entretien préalable ?

 

Ce jour, le directeur Pierre VOLLOT a aussi donné l’ordre au service informatique de l’hôpital de bloquer mon accès informatique à mes dossiers professionnels, à mes messageries professionnelles (dont celle du CTIAP) que je pouvais consulter à distance

 

Ce soir, vers 21h, je souhaitais consulter mes e-mails. Sans succès. Je contacte alors l’astreinte du service informatique. L’informaticien m’indique :

 

« Bonsoir Dr Umlil,

Suite à votre appel à l’astreinte informatique du CH, je vous confirme que nous avons eu pour consigne d’inactiver votre accès au SIH [système d’information hospitalier].

Nous attendons donc la consigne inverse de la part de la direction pour le réactiver.

Cordialement.

(…). »

 

J’ignorais que l’accès à distance à mes dossiers et à mes messageries professionnelles, dont celle du CTIAP, pouvait représenter un risque pour la santé des personnes. Pierre VOLLOT en supportera la totale et l'entière responsabilité en cas de non-traitement d'un dossier ou d'une alerte urgents.

 

Donc, je ne peux plus lire vos e-mails que vous m’adressez notamment à l’adresse mise à votre disposition sur le site du CTIAP (elle aussi est suspendue, et sans préavis) : ctiap@ch-cholet.fr

 

Il y a quelques années, Pierre VOLLOT m'avait supprimé le même accès au système informatique, à trois reprises...


En réalité, et comme je l’ai indiqué à Pierre VOLLOT dans ma réponse en date du 15 septembre 2021, il profite de cette occasion (de l'obligation vaccinale contre la Covid-19) pour régler ses comptes personnels en m'infligeant de véritables sanctions et en toute impunité... pour l'instant.

 

La violence de ces deux courriers recommandés, et de cette interdiction inattendue à l’accès au système informatique, a été atténuée par la réception de deux magnifiques cartes postales, manuscrites, envoyées par des lecteurs du CTIAP.

 


Deux douceurs : l’une venue de la Cité de Carcassonne ; l’autre de l’île de la Réunion

 

 

« Cher Monsieur,

De très nombreuses personnes vous soutiennent dans votre combat contre la non science. Nous sommes contre cette absurdité d’obligation ʺvaccinaleʺ pour les médecins, infirmiers, aides-soignants, etc. Courage !

M. Umlil, Tenez bon. »

Message du Sud… CITÉ DE CARCASSONNE

 

 

 

« Un arbre endémique de l’île de la Réunion pour vous.

Le bois de joli cœur.

Un grand MERCI et BRAVO pour vos travaux et leurs partages, votre engagement et ténacité à vous et à votre équipe, de tout cœur, merci,

Raphaële. »

 

 

 

Un grand merci à vous !

Gardons espoir.

 

Et à bientôt.

 

 

 





3 commentaires:

  1. Oui, gardons espoir ...et que la lumière soit. Qu'elle se multiplie.

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  2. Ce sont des renégats. Monsieur Pierre Vollot s'acharne contre vous et la rage qu'il y met l'emportera en enfer....Pauvre Monsieur Vollot, repentez-vous, il en est encore temps. Bravo à vous Docteur Amine Umlill, vous êtes un Juste. Vous vous battez avec droiture et honnêteté pour la Vérité et pour sauver le plus grand nombre, je l'espère de tout coeur, de cette infâme injection expérimentale en AMM quand des traitements efficaces ont fait leurs preuves.
    Honte à ces menteurs, manipulateurs, qu'ils soient au plus vite jugés !

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  3. Tout est copié collé pour ne pas oublier et gardez en vous la force de votre courage les citoyennes et citoyens demanderont des comptes en temps et heures. Courage et détermination. Les justes seront entendus et reconnus, ils le sont toujours. Merci à vous

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